Sortir de l'ascenseur émotionnel


"Les origines de la domination" BDM/DM: 121 

Si l’homme connaissait réellement les mécanismes obscurs de la pensée, l’homme réagirait fortement à toute intrusion dans son mental de certaines formes de pensées qui ont pour conséquence, à court ou à long terme, de lui créer l’illusion d’impuissance. 

 

"On est violés par les Hommes c’est une grande souffrance, ça limite notre évolution, ça limite notre autonomie, puis un jour, probablement que l’Homme réalisera que non seulement, l’Humanité, est violée par les Hommes, mais que l’Humanité est aussi violée par les forces occultes qui sont derrière la conscience humaine, qui se cachent derrière la pensée, ainsi de suite. 

 

Le viol, sur la Terre, fait partie de la systématique destruction de la volonté humaine, et la systématique destruction de la volonté humaine, sert à l’automatique construction d’une autre volonté qui n’est pas celle de l’Homme en tant qu’individu, mais qui est celle de systèmes, qui est celle de forces, qui est celle qu’on pourrait appeler des agents provocateurs.

 

"L’homme dans sa nature fondamentale, c’est un être de lumière, mais cette lumière-là est totalement étouffée et tant qu’il ne prendra pas en main sa vie, ça veut dire prendre en main tous les courants de pensée qui se manifestent dans son mental en relation avec des expériences extérieures ou des évènements extérieurs, l’Homme ne pourra pas connaître son propre phénomène".

 


 Edwige

L'abondance d'énergies d'évolution actuelle exacerbe notre besoin de distanciation, de retranchement du monde extérieur et de recroquevillement sur nous-même. Ces énergies nous amènent à devenir sélectifs à tous les niveaux, c'est un passage incontournable et prioritaire dans les relations interpersonnelles, avec lesquelles on ne vibre plus au quotidien

 

Cependant nos confrontations émotionnelles avec ces relations, proches ou non, résultent plus des miasmes logés dans notre propre astralité que de "la faute à l'autre dans l'astral", croyance qui est un piège naïf dans lequel nous tombons encore. L’humain dans sa phase évolutive ne peut plus vivre sous l'ingérence de puissances invisibles qui agissent à son insu sur sa conscience. Le lien énergétique qui connectait les personnes au plan des entités de la mort est rompu chez les personnes en processus de fusion... Ce plan est bien vivant et actif sur les personnes encore dans leur processus involutif, celles-ci peuvent nous entraîner dans le sillage de leurs énergies astralisées, dont elles sont chargées à bloc, si elles sont trop proches de nous dans des relations toxiques, perverses, maladives, mortifères.... L'astral agit sur nous chirurgicalement par procuration de ces personnes à notre insu, au leur également, mais sous contrôle de la lumière de l'énergie de l'esprit car lui seul sait où il doit frapper pour faire "bouger l'ego". Dans ce processus l'astralisation est artificiellement utilisée par lui comme moyens de tests évolutifs. C'est de sa responsabilité pour nous guider vers la libération du mental inférieur avec la participation active de la volonté de l'ego et de l'âme, à la fin du programme de son involution, vers la fusion avec le double qui se matérialisera. Ce travail capital de la lumière de l'énergie de l'esprit nous permet de vivre notre personne réelle, pas notre personnalité, en agissant sur l’énergie émotionnelle de la mémoire astrale, spirituelle, blindées de formes illusoires qui ont aliéné notre identité des éons durant.

 

Même si les artéfacts et résidus astraux sont et seront pour longtemps plus ou moins actifs chez les personnes en chemin d'évolution, c'est de nos mémoires karmiques polarisées que nous sommes encore prisonniers… Quand nous serons réellement conscients, libres des parasites et des engrammes, nous ne souffrirons plus. Ça ne veut pas dire qu'on sera heureux, ne pas souffrir c'est être bien dans ses souliers en n’étant plus enchaînés à ses souffrances émotionnelles. Quand on sera réellement conscient du double mental on pourra gérer intelligemment notre souffrance afin de ne pas cristalliser dans notre conscience "le mal de la mémoire". On aura toujours les mêmes obstacles de la vie mais on les vivra différemment. 

 

Une chose non vérifiable mais supputable est la mémoire évolutive de la matière, jusqu’aux particules élémentaires intégrée au cœur profond du cerveau émotif. Cette évolution fait sens et écho à la vie cosmique dont nous sommes issus avec des divergences de situations vécues qui conduisent à des divergences de perceptions, de réactions et finalement de mode de pensées et de raisonnements, rendant les humains différents les uns des autres. Cependant chaque humain à "la main" sur sa vie, dans chaque situations vécues, celles-ci étant rattachées à une situation émotionnelle en rapport avec les situations antérieures ancrées au plus profond de ses mémoires karmiques, dans l’objectif basique de nous maintenir vivants: voir le cerveau émotionnel.

 

Souffrir est afférent à une velléité parasitique qui nous déséquilibre psychiquement, sachant qu'en fonction de nos engrammes on est tous plus ou moins parasités. Si nous savions être sans qualité ni défaut nous serions libres de la polarité et conséquemment libérés des forces descendantes!. L'aspect mental de l'émotion fait partie de l'activité de ces forces conjointement à la puissance de notre mémoire, c'est à nous de nous en désengager pour être libre de nos culpabilités et autres émotions qui en découlent. (voir en fin d'article un aperçu de la formation des plans)

 

Notre âme est un sac à dos de mémoires nécessaires à notre évolution, à l'archivage de nos diverses personnalités en évolution, au développement de notre conscience, elles servaient initialement à l'organisation psychique et mentale de notre ego. Mais la mémoire de l'âme, partie intégrale du mensonge cosmique, est devenue une force motrice utilisée par le corps émotionnel pour obscurcir nos pensées et mettre constamment en surbrillance les aspects négatifs de notre personalité. La gamme d'émotions est aussi vaste qu'un bottin mondain avec des puissances occultes qui sont constamment à l'œuvre pour créer de la souffrance afin que notre ego évolue en conscience.  Ces émotions oscillent de la plus extra-ordinaire à la plus débilitante et cette polarité est le point d'orgue de ces puissantes énergies qui créent du déséquilibre psychique dans notre conscience.

 

Souffrir est la manufacture des engrammes qui ont un lien avec les parasites. Être engrammé signifie qu'une partie de notre énergie émotionnelle n'est pas sous le contrôle de notre esprit, elle est sous le contrôle de l'âme, donc connectée à nos mémoires. Lorsqu'on vit des expériences difficiles, des chocs à l'âme, on est plus enclins à recevoir des engrammes. Ceux-ci s'installent lorsque notre conscience est troublée, ainsi les centres psychiques s'ouvrent ils se mettent en mouvement et, à cet instant T, les engrammes s’incrustent et créent du stress. Lorsqu'on en devient conscient on le repère aisément, avec le temps on parvient à se gérer pour protéger notre mental, notre vitalité psychique et physique.

 

Scientifiquement un engramme est le substrat physique de notre mémoire. Une assemblée de neurones, réactivés lors d'un évènement qui rappelle un souvenir particulier, va opérer sur celui-ci de manière ciblée par une forte activité nerveuse. Une activation même partielle de l’engramme peut être suffisante pour que l’ensemble «s’enflamme» complètement et que le souvenir revienne lui aussi complètement. De cette façon un souvenir peut en évoquer un autre, qui à son tour en évoquera un autre, etc. Un engrame est donc une trace biologique de la mémoire, trace ou artefact mnémonique dans le cerveau  laissées dans la mémoire par le passage d’une expérience sous l’effet d’un choc… 

 

Occultement un engramme est une énergie fondamentale qui fait partie d'une programmation de naissance. Cependant nous sommes capables de nous en libérer en transmutant notre ego, en élevant notre conscience au-delà de notre mémoire personnelle et planétaire. Selon BDM "un engramme est la déformation systématique d’une mémoire utilisée par l’homme pour le bénéfice de certaines intelligences dans des mondes qui font parties de l’organisation psychique de l’homme sur la terre. Un engramme utilisé d’une façon positive détruit le mental humain en juxtaposant le mental animique pour la performance des forces de domination". C'est un processus mental qui crée en nous une substitution, c.a.d que quand on pense à une chose si ce à quoi on pense n'est pas ce qu'on veut on vit un engramme.

 

Quant au parasite psychique, occultement c'est une énergie manifestée par une ou des forces descendantes (entités) lorsqu'on vit des chocs à l'ego, des oppositions en tous genres. Ces forces sont dangereuses parce qu’on les identifie à notre personnalité. Lorsqu'on est parasité on vit une communication télépathique avec elles, celles-ci créent l'impression en nous que nous sommes ce qu'elles ressentent, c’est l’effet miroir. Elles vont ainsi projeter sur nous leurs peurs ou tout autres états, défauts, qualités, nous faisant tomber dans la croyance que c'est nous qui avons peur etc.

 

Engrammes et parasites sont tous deux des dangers pour nous car ils violent notre conscience, ils nous empêchent de nous libérer de nos mémoires, de prendre conscience des pouvoirs créatifs de notre esprit qui nous permettraient de nous libérer de ces forces.

 

Nous avons à travailler sur nos mémoires qui remontent incessamment en surface par le biais d'émotions hors de notre contrôle et de notre volonté. Celles-ci génèrent en cascade des énergies perturbatrices qui déséquilibrent notre mental et notre ego choqués de bien des manières. Ceux-ci sont incapables de vivre des chocs évènementiels sans émotion car ils vivent ces chocs en souvenir des mémoires que l'émotion fait remonter en eux. Si les tests sont si récurrents c'est pour nous aider à ne plus attribuer de valeur émotionnelle a tout ce qui nous assujetti à nos mémoires, qui souvent n'ont rien à voir avec l'évènement lui-même, et paralysent notre conscience… On apprend à surfer sur l'énergie des émotions, au lieu de se les faire vampiriser, en refusant la domination et la soumission à l'invisible, notamment par le biais de la culpabilité qui égrène le chapelet de toutes les émotions qui lui sont afférentes…

 

L’élimination de la culpabilité dans notre conscience est primordiale, c'est elle qui nous empêche d'entrer dans notre intelligence. Elle nous empêche aussi d'être réels, libres, créatifs, de passer de l'inconscience a la conscience. En observant l’aspect occulte de la culpabilité on découvre les manipulations émotionnelles par le biais des ressentis et des sentiments qui, depuis des lustres, ont été les leviers des conditionnements de nos personnalités afin de nous empêcher de découvrir le mensonge cosmique.

 

Pour en finir avec la culpabilité un mental puissant et intelligent est nécessaire, doublé de la volonté de neutraliser cette culpabilité par la transmutation de nos corps subtils qui impactent nos corps physiques. Il y a du reste une relation entre maladie et émotion, la maladie pouvant servir de support pour épurer toutes sortes de maux liés aux émotions. Nous devons en passer par un lent processus de conscientisation comme la reconnaissance des subterfuges et des manipulations mémorielles constantes que nous devons supprimer de notre disque dur animique.

 

BDM: La culpabilité est probablement le plus grand piège de l’esprit humain. Son danger est tellement grand et tellement vaste qu’il affecte tous les hommes à un moment donné de leur vie. Aucun homme ne peut dire que dans sa vie il ne s'est pas senti coupable. Il y a des gens qui vivent des vies remplies de culpabilités, ces vies sont tellement terribles et tellement dangereuses pour l’évolution de l’ego et le développement de l’individualité de la personne, que ceux qui en profitent, que ceux qui à cause de leurs positions sociales moralisantes influent chez les êtres de grande sensibilité. Ce sentiment de culpabilité retarde leur évolution et met en danger sans le réaliser l’évolution de toute une planète, de toute une civilisation, de toute une culture".

 


Bref condensé de la formation des plans dans le big bang re-visité.

L'énergie de tous les temps, première source originelle de toute forme de vie terrestre, y compris de l'humain, aurait créé l’esprit universel ou conscience supérieure, sur un plan (parmi tant d'autres) nommé supra-mentalL’esprit universel à son tour créa un plan qui devint le plan sur-mental ou plan mental supérieur, résidence des esprits ou ajusteurs de pensée. Pour maintenir l’équilibre de ce plan trop riche en énergie primordiale, les ajusteurs de pensée se délestèrent de leur excédant en cédant une part de ces énergies a des forces appelées lucifériennes et sataniques, celles-ci étant des entités parasitaires  hautement intelligentes, avec une volonté apparentée à la nature de la volonté humaine. Ces forces fabriquèrent leur monde avec ces énergies qui devint un plan de parasitage et de vampirisme qui généra une conscience inférieure. A ce niveau résident des entités et des parasites qui se nourrissent des énergies excédantes du plan sur-mental ci-dessus. Ceci explique pourquoi dans notre cycle évolutif des egos vivent dans ce plan et non dans le plan supra-mental, car même s'ils ont un double éthérique, contre toute attente ils ont conservé les attributs de leur personnalité egoïque de domination, de vampirisation etc... Ce plan accoucha d'un dernier qui devint le plan astral (ou monde de la mort), également niveau de parasitage et de vampirisme. Pour conquérir la terre, ces forces lucifériennes et sataniques n’ayant pas de corps propre utilisent le corps humain en restant en dessous du seuil de sa conscience. A ce niveau résident des egos, des parasites et des entités spirituelles qui se nourrissent des énergies excédantes du plan précédent ainsi que du plan humain. L'échelle hiérarchique de ce plan est identique au plan terrestre il monte du plus bas vers le plus haut... Ceci faisant partie d'une histoire méconnue et du grand mensonge cosmique...

 

*** Sur terre à la ferme, dans les taudis ou dans les châteaux il y a toujours "des restes" pour les animaux domestiques... ce qui est en bas est comme ce qui est en haut...***

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Commentaires: 37
  • #1

    Edwige (jeudi, 13 décembre 2018 10:48)

    Le cerveau primitif est la source des comportements réflexes répondant à nos besoins fondamentaux tels que nos instincts basiques et nos réactions primitives qui perturbent les relations par des réactions émotico/épidermiques. Considérant la structure hiérarchique des plans, créés en 4 étapes, ce cerveau primitif est "the Quartier Général" des émotions qui génèrent à lui seul les ¾ des énergies fournies au bénéfice des deux niveaux de parasitages et de vampirisme.... Les manipulations et utilisation des énergies, libérées par nos émotions en tous genres, relèvent d'un management optimal des forces occultes pour que nous survivions dans ces égrégores marécageuses absolument involutives... Le nettoyage, le siphonage, le vampirisme de ces énergies excédantes a donc pour but de désengorger le plan terrestre, trop dense et indigeste pour nous, en même temps qu'il nous vide volontairement de notre source de vie. Aussi tant que nous sommes régis par ce cerveau reptilien, il ne peut y avoir conscience de la fonction opératoire de ces plans qui, tout en opérant pour l'équilibre énergétique cosmique et terrestre, nous prive de notre lumière et nous maintien dans un cycle involutif qui a sa place, qu'on le veuille ou non, dans le programme universel...
    Actuellement la sortie du mensonge cosmique nous amène son lot de conscience pour dé-spiritualiser notre vie et crever les plafonds de ces hiérarchies dominantes. La volonté et l'intelligence nous engage sur le chemin ardu de la dé-mentalisation de notre ego qui, en contact avec l'esprit, nous fait entrevoir dans sa conscience un aspect de l'âme qui elle aussi veut fusionner. La fusion passe par la désagrégation totale du cerveau primitif qui n'est plus utile en tant qu'outil de la préservation de l'espèce... Cette fusion continuera son travail par le nettoyage des deux autres cerveaux (intuitif, rationnel) pour en créer un autre, le cerveau éthérique plus en adéquation avec les projets de l'esprit incarné.
    Nous souffrons donc de la lumière qui embrase notre feu intérieur... Le Lucifer en nous c'est le feu cosmique qui exacerbe les attributs de notre personnalité égotique, personnalité dont se sert l'esprit pour nous recentrer en vue d'une fusion avec lui.
    En sortant des polarités de nos mémoires ancestrales on peut créer une voie de communication consciente dans un corps vibratoire équilibré qui maintiendra cette non-polarité en nous, chez autrui et dans nos expériences de vie. C'est un long processus qui se régule en étant dans le respect du stade où en est chacun car c'est souvent dans la lueur de notre obscurité qu'on y voit le plus clair…
    Arrivée au stade de l'évolution, notre âme perd peu à peu de ses prérogatives et par une lente fusion, qui neutralise tout ce qui est adjacent au périsprit, elle s' ajuste au taux vibratoire de l'esprit. Nous perdons progressivement notre mémoire personnelle et nous ne pouvons plus fonctionner au niveau des émotions. En devenant simple, dans le sens occulte du terme, on ne fait plus partie du monde l'âme on entre dans le monde de l'esprit.

  • #2

    josée la haye (dimanche, 06 janvier 2019 23:22)

    très intéressant. tu étudies l,engrenage qui relie l'égo à ce qu'on appelle le passé. je vais réserver le mot "passé" pour parler de l'événementiel qui a eu lieu dans un temps antérieur quelconque et garder le mot "mémoire" pour parler de la charge d'énergie qui a été stockée dans l'âme au passage de cet événementiel. tandis que le passé lui-même a existé objectivement, la mémoire, relent individuel du passé, EST la subjectivité.
    au fur et à mesure qu'elle augmente au fil du temps, cette banque de données énergétique qu'est cette subjectivité ou mémoire est susceptible d'être lue et relue par les forces descendantes matérialisantes dans la spontanéité créative de l'astralisation. en effet les données sont ainsi mises à profit afin de densifier la mémoire le plus possible. les tendances sont exacerbées jusqu'à la caricature, si fertile en souffrance et autres émotions.
    plus tard, cette banque de données énergétique sera m^me le plus souvent carrément déformée par certaines de ces forces pour intensifier la confusion et l,errance propices à l'instant T. à partir de l'instant T, la manipulation psychique que subit dans la mesure de son inconscience l'être en voie de fusion semble être une continuité de ces différentes exploitations de notre passé par les races astrales ou par les sphères spirituelles. ou devrais-je dire plutôt que la personne en voie de fusion commence à réaliser la manipulation psychique qu'elle subit et elle reconnaît rétroactivement la manipulation psychique qu'elle subissait avant l'instant T. la rétrospective de son passé lui est instructive mais il y a là un jeu de l'esprit. de fait, l'astralisation comme elle avait lieu n'a plus lieu chez la personne en voie de fusion. c'est un semblant d,astralisation qui est utilisé par le double. le diable est un outil de dieu. de là à permettre que les deux se chevauchent, il y a un pas qui s'annonce. c'est effectivement la mémoire seule et directement la mémoire qui est travaillée par le double dans la psyché en processus de fusion.

  • #3

    josée (dimanche, 06 janvier 2019 23:39)

    observer l,aspect occulte de la culpabilité par exemple ne devient possible qu'avec l'acquisition des yeux de la conscience, qui sont des yeux extrêmement décidés, extrêmement motivés, ou plutôt devrais-je dire, motivés par le noyau de l'être. la neutralisation de l'action occulte sur soi n'est possible qu'une fois les deux pieds sur place. ce que tu appelles l'instant T, qui est le passage du karma au développement de la conscience (une conscience de moins en moins spirituelle), fait accéder à un programme nous préparant à une série interminable de découvertes formant la plus intérieur des progression.

  • #4

    Edwige (mardi, 08 janvier 2019 17:30)

    Un ego qui par son évènementiel emmagasine de la charge énergétique de vies en vies... nous l'avions déjà traversé je ne sais plus où... Imaginons un instant la bombe atomique qu'il deviendra quand il ne sera plus que le résultat de la somme intégrale de ces énergies, au décours de sa fusion avec le cerveau éthérique (incluant les cerveaux émotionnel, intuitif, rationnel) l'âme et l'esprit !! Cela ressemblerait-il au Big Bang originel? Et pour retrouver cet état originel imaginons encore rembobiner ou détricoter nos histoires afin de boucher la vue à ces forces ou races densifiantes et confusionantes. Ainsi arrivés au carrefour des manipulations, comme les nœuds dans la laine, nous donnerions des grands coups de ciseaux reprogrammant ces multiples instants T pour jouer enfin dans la cours des grands... Esprits Grands s'entend... Donc fusionner directement sans passer par toutes les cases du "jeu de l'oie", faisant copain/copain ou chevauchant avec le double et le diable (envers l'un de l'autre) en tenant bon sur nos deux étriers pour sauter haut par dessus bord de tous les pièges tendus par les faux sentiments de culpabilité. Chaque saut en hauteur, guidé par les yeux du double et du diable, nous conduirait vers une dé-spiritualisation de la conscience avec de multiples sauts quantiques sur les sentiers de nos chevauchées endiablées et tellement fantastiques...

  • #5

    josée (mardi, 08 janvier 2019 17:40)

    on fait l'expérience d'un programme précis de développement de la volonté. l'expérience de ce programme fait souffrir, ce qui a pour effet que la volonté définit de plus en plus son but : ne plus souffrir. la sensibilité augmente et fait augmenter la conscience du processus et de ses exigences. tu énumères ces facettes de la volonté qui se renchérissent et se stimulent entre elles. tu reviens beaucoup sur celle qui parle de sortir des polarités intrinsèques à la mémoire : la volonté de neutraliser le relent émotif de la mémoire pour devenir universellement neutre. j'en suis là aussi. quant à la volonté de me construire un corps vibratoire équilibré qui maintiendra cette non-polarité, je ne la ressens pas encore... mais vu que je vis celle de créer une voie de communication consciente ça revient au même, non ? qu'en dis-tu ? n'est-ce pas un parcours qui se régule en fonction du profil de chacun ? je vois que ça y va en fonction du type d'intuition de chacun par exemple. j'aime bien justement quand tu parles de l'importance de revenir dans le respect de l'autre et du stade où il en est. c'est un aspect des choses à surveiller mentalement quand on veut cesser de souffrir de la polarisation. le jugement est généralement aux commandes de la psyché, inconscience inconsciemment glissée dans la pensée mais, égatif ou positif, le jugement lui-même ne doit pas être jugé, au contraire, puisque, comme tu le dis "c'est dans la lueur de notre obscurité qu'on y voit le plus clair…"

  • #6

    Edwige (mercredi, 09 janvier 2019 11:09)

    Il me semble qu'on expérimente également l'INTELLIGENCE, quand à l'Amour l'a t-on déjà vécu sans être habité par un ego assoiffé de l'autre?... Il me semble que c'est notre intelligence qui nous pousse dans notre volonté à ne plus vivre des souffrances sans objectifs réels dans cette évolution... ou quoi que ce soit d'autre, qui n'a plus utilité à entrer dans nos vies étants désormais conscients des exigences du processus de fusion...
    Toutes nos expériences, que nous trouvons agréables ou pas, sont des leviers les unes pour les autres. Souvent de l'une découle l'autre, ainsi stimulée elles enrichissent ce fameux stock énergétique dont nous sommes l'unique possesseur. Cette richesse dépend beaucoup de la polarité ambiante dans ce stock ce, afin que la somme intégrale de cette énergie en fusion avec l'esprit soit la plus neutre possible pour ne pas faire exploser nos corps physiques... Les bœufs passent avant la charrue... La volonté de créer un corps vibratoire (ou réceptacle subtil) passe avant la création d'une voie de communication consciente, qui coule de source, car c'est cette voie qui se chargera de travailler sur l'équilibre de ce corps pour maintenir en lui une énergie non-polarisée. D'où l'intérêt de bien "bichonner" le corps matériel futur véhicule de l'esprit incarné.
    D'accord avec toi pour ces divers processus qui s'élaborent en fonction du profil de chacun, surtout ceux liés à sa programmation et son plan de vie. Revenir dans le respect de l'autre et du stade où il en est est un plus qui majore avantageusement l'ensemble du process, il fait partie également de cette programmation quand ce ne fût pas intégré parfaitement durant la période involutive des jeux polarisés de la domination/soumission. Le jugement pour autrui ou pour soi est souvent l'ombre d'une partie défunte de nous-même qui cherche à remonter à la surface pour mourir définitivement... C'est en effet dans la lueur de l'obscurité de la tombe mémorielle qu'on y voit le plus clair…

  • #7

    josée la haye (mercredi, 09 janvier 2019)

    tu as raison, c'est la part intégrée d'intelligence qui éclaire les choix au cours de ces années qui, si on les regarde de loin, sont un lent dépouillement. mais pour moi, il n'y a pas d'intégration d'intelligence, donc pas d'intelligence intégrée, sans l'étape de la volonté qui doit lui être antérieure. ces deux relations à la conscience se renchérissent en un cycle qui tient du mouvement perpétuel mais personnellement je vois la nécessité de la volonté en 1er lieu pour ensuite passer à l'intégration d'intelligence. quant à l'amour, voici ce que j'ai à en dire : il se fait désirer spirituellement, il se fait rare (je n'en ai jamais fait l'expérience en dehors de discussions très affirmées qui se comptent sur les doigts d'une main) et il demande une collaboration des deux autres relations à la conscience.
    je suis d'accord aussi pour voir le respect de l'autre comme un défi proportionnel aux jeux polarisés de la domination/soumission de la période involutive, lesquels "jeux" remontent à la surface durant la période évolutive en revêtant la forme d'ombre ou de jugement spectral, tel le revenant déterminé à "mourir définitivement" et qui a besoin pour cela de s'exposer à la rigueur de la lumière. évidemment, j'ai tout mis à l'envers, car c'est la lumière qui fait émerger l'ombre.

  • #8

    Edwige (jeudi, 10 janvier 2019 09:06)

    S'il n'y a pas d'intelligence intégrée ou à intégrer cela sous entend que cette intelligence est innée et de tous les temps, enfouie dans le cerveau éthérique, qui se réveille avec le processus de fusion durant la phase dite initiatique. Bien entendu nous ne parlons pas ici de l'intelligence du mental intellectuel que chacun possède peu ou prou d'une façon ou d'une autre.
    Les 3 principes de l'évolution de l'homme se construisent avec l'Intelligence la Volonté et l'Amour... Cette hiérarchie n'est pas gravée dans le marbre... chacun vit ces 3 principes dans l'ordre de sa propre expérience. Parlant de la mienne je citai la volonté en premier, c'est l'attribut que j'avais à ma naissance. C'est elle qui a permit à mon "intelligence lamda" de survivre aux violents courants de la vie qui, eux, ont réveillé l'INTELLIGENCE RÉELLE enfouie dans mon cerveau éthérique. Cet éveil progressif à créé, par voie de conséquence, une voie de "communication consciente" pour travailler sur l'équilibre de mes corps vibratoires et maintenir une énergie non-polarisée. D'où ma "volonté consciente "d'entretenir mon corps matériel, futur véhicule de l'esprit, aussi bien que ma voiture, qui passe à la révision tous les ans, pour qu'elle me déplace où je veux aller le plus longtemps possible...
    Concernant l'Amour nous sommes un bon paquet sur terre à n'en avoir jamais fait l'expérience! Je traiterai de menteur celui qui, droit dans les yeux, me dirait qu'il AIME.. Comme tu le dis justement AIMER demande une collaboration des deux autres relations à la conscience et... ça... franchement... à part toi j'ai pas beaucoup vu d'intelligence chez des personnes qui se disent consciente... L'humain se croyant "conscient", qui utilise le support de sa conscience astrale, n'est pas intelligent car il est naïf et sans discernement. J'avais initié un article où nous avons échangé de façon constructive, depuis tout ce temps d'observation de près ou de loin de la blogobulle supramentalienne...
    Ceci étant dit si AIMER demande en effet une collaboration de l'Intelligence et de la Volonté il manque à l'humain une 3ème composante pour éprouver l'AMOUR REEL. J'oserai avancer que cette composante se révèlera lorsque nous aurons éradiqué totalement nos mémoires ancestrales, celles-là même qui nous embrigadent dans tous les dés-amours millénaires possibles et inimaginables... A ce moment-là seulement place nette existera pour faire entrer l'énergie de l'AMOUR en soi.
    Il n'y a rien à l'envers chez toi, c'est ton ordre à toi (comme dis plus haut), la lumière fait émerger l'ombre qui cherche la lumière...

  • #9

    josée la haye (dimanche, 13 janvier 2019 16:41)

    tu as l'air de dire que d'après moi il n'y aurait pas ce phénomène qu'on appelle l'intégration d'intelligence, est-ce que je me trompe ? si oui je me suis mal fait comprendre vu que ce phénomène a récemment commencé à descendre sur terre. et à mesure que "place nette existera pour en faire entrer l'énergie", il continuera à le faire au rythme du développement de la fonction de chacun, celle-ci devant s'actualiser dans cette vie ou dans la prochaine. (je suis d'avis que les différents processus de fusion avec la lumière - ou projets de processus - que vivent les uns et les autres visent ainsi à des termes plus ou moins éloignés dans une chorégraphie correspondant aux besoins de répartition des porteurs de lumière sur les décennies et les siècles mais correspondant surtout aux besoins de désastralisation de chacun, pouvant justement consister au besoin de neutraliser le désir d'être parmi les premiers chronologiquement (ou l'impatience de vivre au niveau morontiel, etc., etc.). le mensonge augmente dans l'industrie et l'arène politique comme dans la mauvaise volonté des quidams aux âmes moins matures mais heureusement la vérité perd de son attrait auprès des âmes plus matures et lâche prise au cœur des relations. les choses s'accélèrent. sûrement préparée par la spirale volonté-intelligence des derniers temps et amenée par quelqu'injection de radiation solaire (j'ai de l'imagination, attention), une nouvelle installation d'intelligence explique mieux les choses enfin.
    bon je reprends car je canalise mal cette majoration de clarté ! voilà : jusqu'à récemment, il n'y avait exclusivement que des jeux polarisés de domination/soumission dans notre pensée quand celle-ci se portait sur un des personnages de notre vie. nous n'en sommes plus au même point. mettons la figure de bernard par exemple. tout le monde bouillonnait d'images à son endroit. notre pensée se faisait chercheuse mais sans nous rapprocher du réel de l'événement qu'il représentait. c'était de l'émulation ou de l'idéalisation une année, c'était le contraire l'année d'après. la sensibilité croissante rendant ce bouillonnement d'images douloureux, la volonté travaillait à se désastraliser, et la volonté se désastralisait et la volonté se réveillait et elle le faisait à mesure que venait l'alimenter la lumière porteuse de volonté, comme l'eau de fonte venant au moulin, mais aussi à mesure que venait l'alimenter la lumière porteuse d'intelligence. à la différence des sursauts de volonté qui naissaient de notre sensibilité profonde, ces apports d'intelligence au contraire n'étaient pas évidents à distinguer dans le bouillonnement astral. (je soupçonne qu'en ce moment je suis en train de prendre de l'astral pour de l'intelligence : ce récit fait au passé dénote une arrogance certaine. ce petit éclair illustre en direct l'aspect fugace du mouvement de l'intelligence.) pourquoi ce bilan en plein hiver 2019 ? la réponse m'échappe. il reste qu'on a maintenant plus de conscience travaillant sur moins d'inconscience. l'épreuve de la souffrance est toujours partie prenante mais un certain seuil est franchi. je goûte à plus d'intelligence de l'autre. l'intelligence qui se répand partout semble raccorder sa cohérence. on en est encore au balbutiement d'images, on n'est pas sorti du recours aux images pour se positionner face aux autres ou plutôt face à des principes de relation à l'autre, mais ces images sont nouvelles et mieux articulées. du moins s'agit-il d'images beaucoup plus simples et qui donnent l'impression très vive de mieux s'articuler au réel. à ce nouvel étage 2019, le bouillonnement astral est moins criard, l'aveuglement moins entêté et le dégagement moins théorique. ça fait du bien.

  • #10

    josée la haye (mardi, 15 janvier 2019 19:43)

    " à ce nouvel étage 2019, le bouillonnement astral est moins criard, l'aveuglement moins entêté et le dégagement moins théorique. ça fait du bien. " ? non madame. le mensonge est juste plus subtil.

  • #11

    Edwige (mercredi, 16 janvier 2019 13:27)

    A moins que ma mémoire disparaisse à vitesse grand V il me semble que je parlais de l'intelligence de l'esprit, logée dans le cerveau éthérique, celle qui toque à la porte de l'ego au début du processus de fusion ou phase initiatique. C'est ce phénomène d'éveil de l'intelligence qui est nouveau et l'esprit patient et tenace (malgré son propre agenda) toquera jusqu'à ce que l'ego lui ouvre la grande la porte de sa forteresse. Parfois cette porte ne reste qu'entrouverte selon la désastralisation plus ou moins lente des corps mémoriels, des egos pressés d'être parmi les meilleurs de la classe ou encore de ceux impatients de vivre morontiellement… ça revisite des concepts spiritualisant qui nous maintiennent dans l'ignorance avec un vocable qui ne parle pas à nos oreilles et ne nous enseigne pas sur ce qu'est réellement l' immortalité ou le royaume des "Dieux" ?
    Ces mensonges qui augmentent dans l'industrie et l'arène politique sont proportionnels à ceux de la mauvaise volonté de tes quidams aux âmes moins matures et, comme tu le dis, la vérité qui est son envers perd de son attrait quand en évoluant on lâche prise sur toutes sortes de croyances, de conditionnements, d'illusions, d'espérances de diverses natures…
    Les relations hommes/femmes, négatif/positif, polarisées à souhait dans des relations entre dominants/dominés, arrivent lentement à leurs termes. Ce sont les femmes qui, ayant souffert de soumission quasi-professionnellement, vertueusement et religieusement vont les premières "mettre la hache dedans"…
    La figure de Bernard pour ses étudiants est pour nous un peu la même chose que notre ego qui navigue entre émulation ou dé-idéalisation de cette fusion avec les mêmes remous et vagues sulfureuses porteuses de lumière. Elles accroissent ce discernement qui nous permet de ne pas confondre désirs arrogants de l'égo et intelligence pure de l'esprit…
    Je suis OK avec toi que nous avons maintenant plus de conscience qui travaille sur des parts de nous de moins en moins inconscientes. La souffrance reste inconditionnelle au processus d'évolution, c'est un accouchement qui se fait jusqu'au seuil de la matrice…
    Comme toi j'aime fréquenter l'intelligence d'autrui lorsque je la croise, elle brille comme un phare qui nous sort de l'obscurité générale qui veut tout engloutir sur son passage. A ce nouvel étage 2019 le mensonge est plus subtil parce que nous avons à faire a des puissances énergétiques d'un autre niveau d'intelligence que celui des entités du plan de la mort. Ces supra-intelligences nous impactent d'une autre manière à mesure qu'on se dépolarise, qu'on se déastralise, qu'on se conscientise, elles participent à notre évolution à condition de jamais oublier que nous sommes le seul maître à bord de notre véhicule… Nous ne devons jamais céder notre place de conducteur à ceux qui roulent plein phares en sens inverse, c'est le b.a.-ba du code de la route aussi poussiéreux soit-il…

  • #12

    josée la haye (mercredi, 16 janvier 2019 15:07)

    j'ai souri et ma tête faisait oui quand je lisais ta fin de message : "A ce nouvel étage 2019 le mensonge est plus subtil parce que nous avons à faire a des puissances énergétiques d'un autre niveau d'intelligence que celui des entités du plan de la mort."
    je suis d,accord en profondeur, comme mon corps l,a montré à la lecture. mes problématiques sont plus liés à ma spiritualisabilité qu'à de l'animalité. quoiqu'il est vrai que j'ai encore des sursauts de compétitivité qui me remplissent d,animalité et de l'impression d'être sous influence astrale. j'ai encore aussi des manies maladives comme une avarice qui me possède face à l'eau, au bois, au papier mais pas tellement avec l,argent. de plus je n'ai pas développé assez de certitude en tant que principe pour être en mesure de certifier comment se présente ma nouvelle programmation, à savoir, par exemple, si ma psyché est désormais dépourvue de rapports directs avec des défunts. mais le fait est que je goûte à la saveur spiritualisante de mes tests ces temps-ci. tu parles du vocabulaire céleste et certaines pensées m'arrivent avec des idées de voyages dans le soleil quand ce n'est pas des idées de formation d'une communauté résidentielle de gens en voie de fusion. je réponds à ces pensées de façon intellectuelle et théorique et je n'adresse pas l,astral du test, qui est si gros que je pense voir là un nouvelle ligne de travail, un nouveau contrat de ménage qui toque à la porte de mon ego dans sa grande forteresse. monsieur le baron se défait de son chateau en lambeaux et sa noblesse se plaît même dans cet acte de dépouillement… mais va-t-il condescendre à arracher le vieux blason de sa supposée valeur, l'ultime, la spirituelle ? la suite, vous la verrez en suivant ses péripéties tout au long de la saison nouvelle.

  • #13

    Edwige (vendredi, 18 janvier 2019 13:42)

    En effet les relents spirituels sont pires que ces parfums dont le sillon persiste des heures interminables sur son chemin… obligeant à marcher en se bouchant le nez…
    Les miasmes astraux dans notre corps astral sont à l'identique de ces parfums, il nous faut nous régénérer encore et encore pour s'en débarrasser, une véritable détoxination de végétarien… L'eau et le bois, il en faut des $ ou des € pour arroser ses légumes et se chauffer... heureusement donc que tu n'es pas avare avec l'argent ça ne restera jamais qu'une énergie compatible avec l'humain dont il n'aura plus besoin passé l'initiation.
    Lorsqu'on est en chemin vers la fusion nos corps deviennent littéralement répulsifs aux défunts qui eux sont totalement incompatibles avec nos nouveaux taux vibratoire… Au point qu'on ne se pose plus de questions sur les ancêtres, ça ne nous intéresse plus… Mais goûter à cette saveur spiritualisante des tests permet sans doute des pauses "rafaîchissantes" dans cette évolution dont l'esprit lui-même a sans doute besoin?… Que sait-on des vacances qu'il prend entre deux ouvrages? Peut-être qu'il a les même idées de voyages que toi ou de rassembler en un même lieux les personnes en voie de fusion? Tu imagines un peu dans cette résidence ce bruit de "toquage" de porte qui ferait s'effondrer la plus solide des forteresses?... Car "on devient plus intelligent quand on est plus tout seul". Dis donc je crois bien que la saison nouvelle avancera à grand pas…

  • #14

    Josee la hayw (mardi, 05 février 2019 04:13)

    Il y a un ascenseur émotionnel qui suit les mouvements de l'ascenseur spirituel. Il est fort le spirituel, il m'hypnotise avec plus d'efficacité que les tests de bas astral, rancune, ennui, insécurités, etc. L'ascenseur me faisait surplomber le monde quan j'avais des idées de voyages dans le soleil ou des idées de formation d'une communauté résidentielle de gens en voie de fusion. Le combat évolutif, tu dis le mot juste, était en pause rafraîchissante. Le rebondissement du mois c,est la descente de l'ascenseur. Je négocie le moindre compromis avec Marc, je me détache de ma mère, je ne suis plus portée par une image flatteuse de ma compréhension de la vie. Et si je repense à mes idées de voyages dans le soleil et à ce désir de formation d'une communauté résidentielle de gens en voie de fusion qui m'habitait jusqu'il y a peu de temps, ça pue le parfum trop lourd, touché. Et avec les mouvements de l'ascenseur spirituel, suivent ceux de l'ascenseur émotionnel, parce que tout en moi veut rêver.
    Tout ? Non. Parce que je ne suis plus complètement astrale et qu'il faut désormais compter avec une perspective supramentale, aussi brumeuse soit-elle.

  • #15

    Edwige (mercredi, 06 février 2019 09:28)

    Si on descendait de l'ascenseur pour prendre l'escalier...? Notre capacité physique à monter les marches jusqu'à l'étage suivant nous ferait peut-être mieux sentir où mène le souffle spirituel qui fait stagner dans l'illusion de soi et le souffle de l'esprit qui "amène la volonté et la puissance"...

  • #16

    Josèe (jeudi, 07 février 2019 05:25)

    Bernard vient de dire à pâlotte que l'homme fera tout pour habiter chacune de ses molécules sur tous ses plans. Ça rejoint l'image de lâcher l'ascenseur pour l'escalier.

  • #17

    Josée (jeudi, 07 février 2019 05:34)

    Payotte, pas pâlotte, et c,est ptête la FP -20, pas sûr.

  • #18

    Edwige (vendredi, 08 février 2019 05:01)

    Descendre de l'ascenseur pour prendre l'escalier revient à intégrer l'évolution de la conscience des cellules en montant une marche après l'autre : L’évolution de la conscience des cellules : P 412 P 412 La Genèse du Réel. La conscience des cellules efface progressivement la mémoire subjective pour laisser place à une force créative dans une relation instantanée entre l’ego et le double universel. On en revient à "l'ego qui veut tout et l'esprit qui peut tout" dans le meilleur sens du terme…. Nous prenons conscience de nous-même par cette activité cellulaire inhérente au lien vibratoire entre le cerveau matériel et le cerveau éthérique. Nous avons déjà échangé sur ces deux cerveaux en évolution et sur les changements afférents de leurs taux vibratoires qui nous permettent de supporter la science de l'intelligence par le déconditionnement de la mémoire.

  • #19

    Josée (mardi, 12 février 2019 16:56)

    C'est très dur parfois pour l'ego quand la mémoire fout le camp à cause du nouveau rôle des anciens cerveaux dans leur lien au cerveau morontiel en construction. L'ego perd ses moyens habituels de gestion émotionnelle et d'organisation de sa vie matérielle, en plus d'être aux prises avec sa supra sensibilité croissante. Ça donne des temps de vertige qui ponctuent le processus de la construction du corps morontiel, qui par ailleurs permet l'augmentation continue de la stabilité de l'ego. Ce contraste même entre cette stabilité et le vertige dû à la perte mémorielle vient bousiller le tendance à s'enfler la tête et réinvite l'ego à l'effort et au rendez-vous entre sa centricité et le rayon.

  • #20

    Edwige (mardi, 19 février 2019 09:58)

    C'est là que me revient en mémoire ton post #22 dans L'instruction: expérience personnelle & survivants où tu parlais des grandes différences des processus et du tout petit point commun qui nous conduit chacun dans notre processus pour conclure que "le canal gagne en transparence, la parole se manifeste, la translation se déplace vers le prochain voile".
    Je te vois et je vois cette différence dans ce même processus... Pour ma part j'aime perdre la mémoire, dès l'instant que je me rappelle du prénom d'Aloysius Alzheimer... hihihi

  • #21

    Josée (mardi, 19 février 2019 22:10)

    aloysius ? ça fait déjà cervelle d'oiseau.

  • #22

    Edwige (lundi, 25 février 2019 09:31)

    Pas très gentil pour l'oiseau qui serait incapable de réfléchir ? Beaucoup d'oiseaux démontrent une grande intelligence mémorielle dans leurs capacités à utiliser des outils pour leur nourriture et pour séduire leurs conquêtes… certains humains n'ont plus qu'à se rhabiller… hihihi

  • #23

    Josée (mercredi, 27 février 2019 05:36)

    J'ai aimé voir du monde rhabillé en oiseaux dans des parades de carnaval.

    Ha ! 27 février? Je regarde la date et je me dis ´´ il doit y en avoir plein en ce moment même, des parades de carnaval en Espagne ou au Brésil, etc'´. Puis mes pensées me manoeuvrant d'un point à un autre, je me dis que mes souvenirs de plumes colorées dans des parades de carnaval datent de quand la montée de l'astralisation ne m'était pas encore visible et que je voulais me faire impressionner visuellement par un carnaval de plumes colorées et que je préfère aujourd'hui l'espace vide de mon lac gelé et la danse de mes articulations.

  • #24

    Edwige (vendredi, 01 mars 2019 12:23)

    On se fait bluffer constamment par le carnaval coloré des ego dans leur désirs astro-mentaux… Notre saturation de ces egos nous guide vers le confort douillet de nos espaces intérieurs remplis, entre-autres, de mouvements évolutifs dans nos corps émotionnels.

  • #25

    josée (dimanche, 03 mars 2019 16:07)

    je me faisais bluffer quand j'ai écrit il y a quelques jours que je préfère aujourd'hui l'espace vide de mon lac gelé et la danse de mes articulations. ce que je dois préférer c'est ce que je suis en train de vivre. car comment ''préférer l'espace vide de mon lac gelé et la danse de mes articulations'' alors que, ce que je suis en train de vivre, c'est mon matelas et l'immobilité... confinement sporadique dû évidemment à un excès sporadique de danse articulatoire à marcher sur le lac gelé. il n'y a d'autre présence que celle à ''nos espaces intérieurs remplis, entre-autres, de mouvements évolutifs dans nos corps émotionnels.'' même une immensité de blancheur peut jouer le rôle du carnaval coloré.

  • #26

    Edwige (mercredi, 06 mars 2019 09:49)

    Préférer ce que vivons dans l'instant présent, que cela nous fasse croire que c'est agréable ou non, c'est conscientiser les mouvements évolutifs dans tous nos corps subtils en particulier le corps astral et le corps émotionnel. Une immensité de blancheur sur un lac gelé ou au sommet d'une montagne de neige peut jouer le rôle d'enchanteur de l'esprit.

  • #27

    josée (mercredi, 06 mars 2019 23:38)

    la terre est une école où on apprend à s'exprimer au diapason de l'équilibre interne, que ça soit Valderi valdera ou ayoy tabarnac, la phrase qui nous balance.

  • #28

    Edwige (samedi, 09 mars 2019 16:56)

    OOOH y'a pire mais trouverai-je pire que ayoy tabarnac? ou que "putain de dieu, bordel de merde"...?

  • #29

    josée la haye (mercredi, 13 mars 2019 18:33)

    bon catholique, mon père n'a jamais blasphémé. moi bonne fille et par mon caractère, je ne me suis jamais fâchée... surtout que je m'acoquinais avec des gens au caractère opposé et qui "péchaient" à ma place. par exemple, j'ai partagé un bout de ma jeunesse avec un gênois qui disait porca madonna et dio verme (soit quelque chose comme Marie la truie et notre père Ver de terre au niveau du sens des mots mais en plus fâché dans le ton). Ça prend toute sorte de monde pour faire un monde.
    avec cette diversité dans les droits qu'on se donne de par le caractère, vient celle des registres émotionnels. il y a des registres émotionnels naturels pour tel et tel caractère. pour l'un c'est l'émerveillement spirituel, pour l'autre c'est la colère. mais finalement peu importe puisqu'on finit par observer ces traits en tant qu'énergie e basta. on ne juge plus les choses ni en bien ni en mal quand le temps vient d'en absorber l'énergie. quoi, quand, comment? le mouvement est potentiellement évolutif dès qu'il offre la chance d'avaler dans le réel ce qui traîne dans tous nos corps à notre insu. on se voit soudain capable de désintégrer l'influence sur soi des attitudes qu'on est habitué d'avoir en les inondant de la lumière froide et légère qui naît de la centricité.

  • #30

    Edwige (lundi, 18 mars 2019 10:47)

    Les personnes sur notre chemin nous permettent de réaliser des saynètes avec eux, et de jouer a des personnages les uns pour les autres sur l'estrade du théâtre de la vie, avec pour public tous les doubles qui applaudirons à la fin d'un spectacle souvent kafkaïen... Spectacle qui donne la part belle aux émotions, que nos doubles ne voient que comme énergies dépolarisées du développement de la volonté dans nos egos, en colère intelligente et non astrale...

  • #31

    josée (vendredi, 22 mars 2019 19:42)

    toute ma vie j'ai gardé en tête une phrase lue dans un genre de récit initiatique contant l'histoire d'une mère et de sa fille qui ne s'entendaient pas du tout et qui une fois mortes se sont retrouvées et se félicitaient d'avoir bien joué leurs rôles.

  • #32

    Edwige (samedi, 23 mars 2019 06:24)

    Concernant l’astralisation lorsque nous sommes en processus de fusion c’est le lien énergétique, qui nous connecte au plan des entités de la mort, qui est rompu et non ce plan lui-même supposé défunt... Ce plan est bien vivant et actif sur les personnes encore dans leur processus involutif, celles-ci peuvent nous entraîner dans le sillage de leurs énergies astralisées, dont elles sont chargées à bloc, si elles sont trop proches de nous dans des relations toxiques, perverses, maladives, mortifères.... L'astral agit sur nous chirurgicalement par procuration de ces personnes à notre insu, au leur également, mais sous contrôle de la lumière de l'énergie de l'esprit car lui seul sait où il doit frapper pour faire "bouger l'ego". Dans ce processus l'astralisation est artificiellement utilisée par lui comme moyens de tests évolutifs. C'est de sa responsabilité pour nous guider vers la libération du mental inférieur avec la participation active de la volonté de l'ego et de l'âme, à la fin du programme de son involution, vers la fusion avec le double qui se matérialisera. Ce travail capital de la lumière de l'énergie de l'esprit nous permet de vivre notre personne réelle, pas notre personnalité, en agissant sur l’énergie émotionnelle de la mémoire astrale, spirituelle, blindées de formes illusoires qui ont aliéné notre identité des éons durant.

    Dans le processus de fusion les changements graduels de notre taux vibratoire sont comme des répulsifs pour ces entités anti-vie, anti-homme. Ce que nous croyons venir de l’astral sont les tests de notre esprit qui peut se servir de ce plan comme pourvoyeur de défis juste pour nous secouer. En observant de près l’expérience on peut sentir une grande différence dans la charge émotionnelle qu’elle génère et le peu de résidus qu’elle laisse derrière elle comparé a "avant le processus". C’est très subtil au début et ça devient de plus en plus énorme, conscient et flagrant. Surtout rester dans l'observation, ne rien polariser ni juger ce qui vient, "focusser" et voir si ça résonne sans chercher une quelconque vérité… Ainsi le ”mouvement de vie” s’élargie au fur et à mesure qu'on n’attend plus rien ni du passé, ni du présent, le futur qui n’ayant aucune existence… Marcher sur le sentier de la conscience au rythme de sa propre météo et de ses propres saisons intérieures, sans penser ni à la fusion, ni à rien qui nous attacherait de près ou de loin à cette conscience en devenir… Voilà ce que signifie dé-émotiver sa vie et ça c'est réellement nouveau…

  • #33

    Edwige (dimanche, 24 mars 2019 09:04)

    "se félicitaient d'avoir bien joué leurs rôles".
    Elles avaient deux bons metteurs en scènes...hihihi

  • #34

    josée (mardi, 26 mars 2019 21:53)

    quel mega théâtre que celui qui chorégraphie des milliards de personnages ayant chacun leur propre metteur en scène, et quels metteurs en scène que ces milliards de télépathes en constante improvisation synthonisée !

    je veux réagir au début du no32
    les personnes encore dans leur processus involutif ne peuvent pas nous entraîner dans le sillage de leurs énergies astralisées, dont elles sont chargées à bloc. elles ne peuvent sembler le faire que dans la mesure où nous-mêmes nous enfargeons dans le test initiatique que représente la situation. notre émotion n'est jamais la faute d'autrui.
    les emportements oú nous nous retrouvons en nous enfargeant dans le test initiatique que nous a amené le double sont à être considérés comme des vidangeages astraux et sont bénéfiques à notre équilibre lorsqu'ils sont ressaisis au vol par l'objectivité de la conscience.
    cette capacité de ne prendre aucune émotion au sérieux gagne en poids dans notre spontanéité quand nous dépassons notre seuil de tolérance à la toxicité émotionnelle.
    où se trouve ce seuil?
    est-il précis ou non dans le temps?
    quel impact a-t-il?
    chacun aura ses réponses.
    il reste que le passage de notre seuil de tolérance à la toxicité émotionnelle n'est pas un gage de bonne gestion des émotions parce que la maturité peut aussi bien s'accumuler avant qu'après. il n'est qu'un autre aspect de l'unicité de notre parcours à respecter absolument.

  • #35

    Edwige (jeudi, 28 mars 2019 09:59)

    En effet les personnes en processus involutif nous entraînent à notre insu dans le sillage de leurs énergies astralisées, surtout lorsque nous ne comprenons pas sur le champ les tests de l'esprit que représente la situation. Et oui nos émotions nous appartiennent, leur vidangeage hormonal astralisé peut-être salvateur, sachant que leurs énergies sont récupérées par les plans, donc affaiblissantes… Mais ce videngeage participe à l'équilibre des corps subtils lorsque ce délestage est conscientisé… En observant nos émotions pour ce qu'elles sont, des réactions mémorielles-neuro-chimiques, travailler son seuil de tolérance aux personnes, environnements, etc... toxiques et se distancier de ceux-ci est un gage d'un bon entraînement a une réussite progressive de sa gestion émotionnelle.

  • #36

    josée (dimanche, 31 mars 2019 19:06)


    le double nous crée des tests en nous présentant des pensées et des personnes dans notre journée et, parmi elles, aucune pensée ni personne n'est toxique. nous ne pourrons jamais nous désintoxiquer si ce n’était que la toxicité est générée par notre propre action inconsciente. Nous sommes encore marionnettés par notre propre action inconsciente d'incarner certaines attitudes via un réflexe mémoriel de l’ego. Mais nous vivons aussi la certitude que nous sommes en processus de conscientisation de tous ces réflexes mémoriels de l’ego. Et, par cette mëme conscience, nous les voyons se désactiver, ces réflexes… parce que tous ces réflexes mémoriels de l’ego se désactivent à mesure que s’intègre notre mémoire.

    bernard racontait comment il aimait fréquenter des hommes serpents. à l'entendre, il ne versait dans aucune naïveté, aucun complexe. pourquoi ? parce que la mémoire de son caractère ne s'interposait plus à ce stade, ayant été suffisamment intégrée par le biais de son programme évolutif. Le double de chacun concocte un programme évolutif individuel à l’intérieur duquel on va continuer à se pourrir soi-même la vie tant qu'on subit psychiquement ce programme. On se contorsionne personnellement, on choisit de se déformer parce qu’on n’est pas prët énergétiquement. C’est un processus et il est sur mesure. Le processus aide dans le sens qu’il nous provoquera tant qu’on lui répondra « à l’ancienne ». il sera impitoyable tant qu’on est encore marionnettable par de la mémoire, tant qu'on est encore engagé émotionnellement vis-à-vis les formes qui furent nos croyances, tant qu’on « oublie » que, dès que la pensée ou personne présentée par le double évoque de la mémoire, c'est le temps opportun de se dégager émotionnellement.

    je ne dis pas que ce n'est pas un tour de force, que ce n'est pas un exploit. ça l'est vu que c'est le plus souvent inatteignable. notre astralisabilité ou émotionnalisabilité coïncide avec tout aspect encore actif de notre très long et profond passé. toutes nos réactions sont vieilles et pesantes. le réflexe a beau avoir l'air nouveau de l'année, il attendait dans les replis de notre baggage. le sac se transformera en bon intestin et la mémoire s'y transformera en fusion. Mais l’ego, qui est cet intestin conservateur qui répugne à digérer , doit s’accorder au programme. Tout àa est long et commande la patience, surtout qu’on voit bien que, plus on nourrit longtemps le réflexe d'une attitude, plus on s'y identifie et plus on y est aveugle... alors qu'en même temps augmente les dégâts internes.

    Par "dégâts internes", je veux parler de cet inconfort pour lequel dans notre ignorance on développe une tolérance, et qui pourtant goûte toxique. il y a erreur dans l'interprétation de la mécanique psychique et au bout du compte on démonise à tour de bras. la mémoire non intégrée se traduit par des images. le fait que je me vois subliminalement comme un ange aux prises avec des suppôts de satan répond parfaitement à un positionnement historiquement très ancré dans ce que je trimballe d'image de moi-même. mais mémoire et énergie ne sont que des énergies que chacun apprend à gérer à sa façon. moi je laisse émerger ces images et ces positionnements comme des énergies qui demandent à s'expanser, gonfler, s'oxygéner. l'important est l'indifférence qui petit à petit fait son nid. l'indifférence est arrivée en moi en tant que suite logique aux excès de toxicité de mon implication émotionnelle. je me permets de jouer mes personnages de sorte que maintenant je peux me recentrer très vite parce que je ne tolère plus ma propre toxicité

  • #37

    Edwige (mercredi, 03 avril 2019 06:34)

    L'idée qu'aucune pensée, ni personne n'est toxique est intéressante en soi, cela sous-entend que dans un monde spirituel tout est bisounours et qu'on s'embrasse tous a chaque instant…
    Sauf que le propre des tests, qu'ils soient véhiculées par des pensées rebutantes ou des personnes vampiriques, donc toxiques, sont justement de mettre l'ego dans un tel inconfort psychique qu'il est obligé, arrivé à son seuil de tolérance, soit d'élever son curseur pour tolérer davantage, soit dire basta je me respecte en disant stop à l'empoisonnement… Là il y a action consciente de se respecter ou de continuer de ne pas se faire respecter…

    Les attitudes de vieux réflexes mémoriel de l’ego vont dans les deux sens, c'est à chacun de couper court à ces vieux réflexes en imposant une relation équitable et respectueuse.
    La certitude ou le doute d'être en processus de conscientisation des réflexes mémoriels n'empêche pas l'ego de ne plus supporter l'inconfort des toxicités qui le frappe tous azimuts.
    A cela, par volonté, il doit réagir quand il a atteint les limites de ses zones d'inconforts, à cela s'intègre progressivement la mémoire.
    Nous avons parfois une tendance masochiste à se pourrir soi-même la vie de façon inconsciente et dans l'involution cela sert les plans de bien des manières… Mais lorsqu'arrive le moindre signe de conscientisation c'est un des premiers réflexe naturel; abolir une à une toutes choses ou personnes qui empoisonnent cette vie car on ne se sent plus obligé de subir... et ne subissant plus on se détache de plus en plus… on ne diabolise ni ne juge plus non plus ce qui a servi à nous sortir de notre chrysalide, en gros on ne met pas au rebut de bons outils de travail sur soi… Ils deviennent moins toxiques au fur et à mesure que soi-même on n'est plus une éponge aux émotions mal gérées des autres