Etudier sa souffrance et ses états intérieurs pour comprendre sa vie

 Edwige


AVANT-PROPOS

"Être sur le chemin de l’évolution c’est mener une étude" BdM PE-028

Ces FOCUS sont des espaces réservés aux échanges d'idées pour faire évoluer l'instruction Supra-Mentale de façon créative, collaborative et générative. Prière de ne pas déformer, ni plagier, les transcriptions originales de l'œuvre de Bernard de Montréal proposées pour étude, dont la seule référence est l'audio qui l'accompagne. Un résumé personnel, des citations et/ou des liens sont admis pour initier ces échanges. Vous pouvez proposer un thème, un sujet qui sera mis en ligne après vérification. Aucune inscription ni abonnement n'est requis, l'anonymat est garanti.

** Polémiques stériles et énergivores, non-respect de la parole de l'autre, critiques malveillantes, tribune spirituelle pour ego surdimensionné… iront directement dans la corbeille.


Petit clin d'oeil de la nature, joueuse, guérisseuse et... farceuse...😀 

Une porte de soins énergétiques à la sortie de SOUIN, 

route du Hautacam (Haut-à-Calme...) Hautes Pyrénées.


Compilation/Résumé à partir de notes personnelles

d'Intensives de BDM 1994 à 2003 

L’étude de la souffrance est une science, pas seulement une perception, quand on étudie sa souffrance on ne la perçoit plus car elle ne fait plus partie de l’ego. Les souffrances sont nécessaires à l'ego, personne n'y échappe car la pensée est polarisée, elle ne vient pas de l’humain, elle vient des plans. Quand on sait que les choses viennent d’ailleurs, on peut les renverser, on a tous accès aux plans mais souvent le contact s'établit avec des plans astraux. Les états intérieurs sont composés par les plans pour nous mettre en vibration. L’étude de notre état intérieur permet d'avoir une mesure de la relation avec les plans, de leurs actions et des manipulations émotionelles dans nos corps subtils. On est attaqué dans nos faiblesses qu'on doit identifier car nos souffrances c’est de l’entrainement pour passer à l’étage au-dessus.

 

Comprendre c’est analyser, le savoir c’est dans le canal, la force intérieure c’est seulement une mesure avec les plans et le fait d’en prendre conscience. La souffrance s’étudié occultement, on peut rééquilibrer sa vibration en ne la regardant pas d'un point de vue subjectif mais coordonnée avec les plans. Quand c’est personnel on souffre à travers notre mémoire et par l’énergie astrale dans cette mémoire et celle de nos rêves. La souffrance physique ou psychique c’est un test à long terme qui évalue la patience que l'on pour elle. Quand on souffre on est plongé dans un état psychologique personnel, on est dans la subjectivité. Ces souffrances ne nous appartiennent pas, elles sont créées par les plans, elles font partie de l’évolution de l’âme, c’est une programmation. Avec l'intégration de sa conscience et la maitrise émotionnelle on ne souffrirai plus de la même façon, ni des plans...

 

On doit apprendre à s’interroger sur sa souffrance pour pouvoir désamorcer l’ego qui souffre de sa personnalité, pourtant nous sommes plus grand que notre personnalité. Dans l’étude de la souffrance, on ne doit pas interroger sa souffrance, mais s'interroger soi-même et faire ressortir son moi pour qu’il prenne de l’expansion, sinon l’astral fera tout pour lui faire voir la petitesse de son être. La liberté commence quand l’homme déchire le voile.  Le talon d’Achille c’est la faiblesse de l’âme qui ne réduit pas l’effet psychologique des morts avec les plans pour couper ou briser les liens. Le talon d’Achille c’est le point sur lequel les plans activent le plus fort, c’est le point le plus haut dans l’astralité qui peut venir nous chercher. Les morts vivent de l’homme, de l’émotion de l’homme. Le mort, dans la mort, n’évolue pas. Le mort a perdu contact avec son double, mais il ne vit pas l’homme. Le mort a un lien avec son karma, qui peut être son père, sa mère ou autre, il peut avoir des liens avec des karmas très lointain. Il faut faire le mouvement vers l’esprit et l'aimer car c’est top d’être dans son esprit.


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29 Comprendre sa vie Note confprivée 4 a
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Commentaires: 25
  • #1

    Josée (samedi, 09 mars 2019 13:51)

    Je vis une longue crise de santé qui me fait vivre beaucoup de doute, non pas sur mon avenir comme quand on vit de l'inquiétude, mais sur ma personnalité avec ses comportements excessifs vu que c'est mon addiction à l'excès qui a causé la crise que je vis actuellement sur le plan physique. Or je me rends compte qu'il n'y a pas de bonne ou mauvaise personnalité et que cette approche ne fait que carburer du doute. Ce n'est jamais la personnalité qui causera le problème mais la pollution qui la dévie de sa fonction et défigure et camoufle sa nature. Tant qu'il n'y a pas de respect de soi, il y a la tension du doute à cause de l'image de soi.
    L'image de soi est une peur et cette peur est incroyablement puissante. D'une façon ou d'une autre, la personnalité y est confrontée, elle est ingrammée par du mémoriel émotionnel parce que l'effort de conformisation est dur à conscientiser. La crise de santé révèle la présence dans le corps de cette accumulation d'ingramme, révélation correspondant d'ailleurs à une expansion de la conscience. pour éliminer le doute, ça prend de la colère contre l'occulte.
    pour avoir de la colère contre l'occulte, ça prend de la conscience. Pour avoir de la conscience, ça prend de la permanence d'attention interne et de résilience émotionnelle. Et pour avoir de la permanence d'attention interne et de résilience émotionnelle, ça prend des crises qui permettent de perdre une couche d'inconscience.
    on ne gagne des points qu'énergétiquement. parfois, quand je me vois vibrer suffisamment de souffrance, je le vois clairement comme le fruit de mon assujettissement au vaste apparatus de l'invisible, que je jette alors à terre le temps que mes fils se touchent. mais la plupart du temps, l'imposition de mon autorité est plus du calibre de la main qui chasse des mouches. peu importe si on est dans la vaguelette ou le tsunami, sans cette contestation ferme du travail que fait sur moi l'invisible, pas de désémotionnalisation possible pour moi.

  • #2

    Josée (samedi, 09 mars 2019 13:53)

    au moment même où ils sont en train de vibrer, les pics de désagrément et de confusion sont des opportunités de contester et de jeter à terre le travail de l'invisible qui est derrière le voile des pulsions qui ont conduit à la souffrance en train de vibrer.

    maudire les dieux demande d'établir avec eux une relation, aussi instantanée fût-elle. ce n'est qu'en établissant une relation avec un ou des êtres que nous l'avons soudain comme notre vis-à-vis. il n'y a relation possible avec notre vis-à-vis que lorsque nous avons suffisamment remplacé l'image que nous avions de lui par le réel de lui. il y a un seuil dans ce remplacement de l'image par le réel passé lequel le phénomène de l'autre commence à exister et devient même notre vis-à-vis.

    par ailleurs, être conscient du fait que le travail de l'invisible est derrière la préparation de la souffrance en train de vibrer augmente la capacité à être conscient du fait que le travail de l'invisible est toujours derrière le voile à tramer son truc qui résulte toujours en de la souffrance

  • #3

    Josée (samedi, 09 mars 2019 13:54)

    ils sont cachés, ils sont hyperconnectés, un peu comme des pirates de l'informatique qui seraient en attaque permanente. ils forment l'appareil de la souffrance de l'homme. mais contrairement à son ordinateur, la psyché de l'homme est le siège de la puissance de l'homme. l'homme peut tout déjouer et démasquer déjà en cessant de ''croire''. il peut aussi gagner des points sur la capacité de l'occulte à le manipuler en se rebellant violemment contre l'appareil de sa souffrance. la puissance de l'homme se développe ainsi très graduellement. elle est potentiellement supérieure à la puissance de tout ce qui, dans l'immensité invisible, a toujours fait de l'ego une poubelle. l'homme qui cesse de croire voit enfin le temps commencer à travailler pour lui.

  • #4

    Edwige (samedi, 09 mars 2019 18:44)

    A ce stade du "mal-a-dit" et de gros conflits astraux en soi, on peut envisager une séparation entre la lumière de l'énergie de l'esprit (notre double) et de l’esprit universel initiée par les plans qui burinent notre égo personnalité, ouvre notre mental supérieur pour nous faire vivre la polarité émotions/pensées subjectives, spirituelles ou non, et remettre en question toutes les formes, y compris celles de "la bonne santé". Les forces spirituelles se servent de tout notre bagage mémoriel pour créer des tensions mentales, sachant cela c’est à nous de rien prendre au sérieux jusqu'à ce le corps mental, nettoyé de ses pensées subjectives, soit réhabilité par des pensées objectives pour communiquer avec notre double.
    La bonne ou mauvaise personnalité qui doute vient d'un jugement polarisé des entités qui se nourrissent des énergies que génère la "mauvaise image de soi" et la peur à sa vue dans le miroir d'autrui… Seule la colère consciente, contrôlée et réellement dirigée contre les plans, nous aide a maitriser notre vie. Cette saine colère permet d'évoluer contrairement aux autres types de colères astrales qui sont des énergies de travail, des outils qui développent notre volonté et éliminent des couches d'inconscience comme des pelures d'oignons (il y a un début à tout)...

  • #5

    josée (samedi, 09 mars 2019 21:02)

    Réaction à l’intro de l’article (d’où est tiré l’extrait)
    “La force intérieure c’est seulement une mesure avec les plans. La souffrance s’étudie occultement, on peut rééquilibrer sa vibration en ne la regardant pas d'un point de vue subjectif mais coordonnée avec les plans. (…) On ne doit pas interroger sa souffrance, mais s'interroger soi-même et faire ressortir son moi pour qu’il prenne de l’expansion, sinon l’astral fera tout pour lui faire voir la petitesse de son être. La liberté commence quand l’homme déchire le voile.”
    La crise de vie et la souffrance majorée qui l’accompagne ainsi que leur réverbération sur tous les aspects de notre vie forment un petit décor de rendez-vous intime entre nous et nos traficoteurs psychiques.
    Le hic c’est que le rideau sépare le lieu de rendez-vous au beau milieu et que tant qu’il reste en place, l’homme se croit sur une scène de théâtre. Il est dans sa subjectivité de l’angoisse psychologique inconsciente des plans,
    Mais pour l’homme conscient des plans pour avoir maintes fois déchiré le voile, le rideau ne peut pas rester en place. Sa subjectivité ne peut pas régner et l’engourdir.
    Dans sa sensibilité, il voit la crise comme rien d’autre qu’une opportunité encore plus grande de se secouer de sa subjectivité et de se mesurer aux plans - que ne le sont les souffrances de moindre ampleur durant lesquelles, parfois, à l’occasion, il lui vient de démasquer la source de sa souffrance.
    L’objectivité passe par une conscience des plans invisibles qui nous jouent dans la tête. Et à mesure que nous deviendrons aiguisés dans cette conscience des plans, nos crises susciteront encore plus d’objectvité, et ce, de plus en plus automatiquement.
    Plus avant sur le chemin de nos intiations solaires individualisés, nous aurons une plus grande motivation à faire usage de notre autorité face aux plans parce que perdre le bras de fer avec eux nous fera chaque fois plonger dans un nid de serpents de plus en plus apte à nous convaincre de la petitesse de notre être. Mais nous-mêmes seront aussi de plus en plus apte à nous remettre vite sur le chemin libre de toutes ces hallucinations que tente l’invisible.

  • #6

    Edwige (samedi, 09 mars 2019 22:20)

    La force intérieure c'est aussi repérer les faiblesses de son âme quand elle ne peut rien contre les manipulations des défunts pour briser leurs liens karmiques avec elle. Nos faiblesses, nichées dans la mémoire, sont les points les plus sensibles de notre corps astral, les morts, sachant où ça fait le plus mal, appuient fort dessus car ils ont un besoin vital de l'énergie de nos émotions. Pour s'interroger soi-même et faire ressortir notre moi afin qu'il s'expanse, nous devons déchirer le voile qui nous fait croire à la séparation de notre lumière intérieure et croire également que nous ne sommes pas l'architecte de notre vie. Dans cet état d'inconscience tous nos scénarios de vie sont écrits d'avance par un metteur en scène qui seul connait les tenants et les aboutissants de l'histoire qu'il a lui-même écrite… Le seul con anxieux et angoissé est l'acteur qui doit jouer la scène dans sa totale perfection en répétant x fois les même prises… L’homme conscient refuse ce rôle, si bien payé soit-il, les jeux de pouvoir avec les plans en scène ne l'intéresse plus… Dans sa motivation à faire usage de son autorité, face a ces chiens vampiriques, il évitera de plonger dans la marmite bouillonnante de l'ascenseur émotionnel où on lui fait croire "chaudement" à la petitesse de son être. Apte à se remettre en selle il sera libre de choisir son scénario de vie, sans carotte ni bâton, pour faire avancer son cheval de bataille…

  • #7

    josée (samedi, 09 mars 2019 22:23)

    Réaction au message no 4, au sujet de la faille et de la prise au sérieux (cf l’extrait)
    “C’est à nous de rien prendre au sérieux jusqu'à ce le corps mental, nettoyé de ses pensées subjectives, soit réhabilité par des pensées objectives pour communiquer avec notre double.”
    Pourquoi est-ce qu’un épisode de crise crée une souffrance soutenue? Parce que la crise, sous ses apparences matérielles, est le volcan des faiblesses qui sont particulières à la personne en crise et que la personne ne peut faire autrement que de prendre l’éruption particulièrement au sérieux.
    Quand on conduit une auto, il y a un angle mort auquel il faut pallier par une torsion du cou. Mais les angles morts de la conduite de l’ego sur le chemin de ses jours demandent une intervention extérieure à l’ego. Pourquoi, parce que l’existence des angles morts est une indication de l’incapacité de l’ego à procéder par lui-même â une expansion de sa conscience. Quelle sera cette intervention extérieure , ce sera la crise, ce rendez-vous avec les plans sources de la souffrance.
    Ces mondes sont variés et seul parmi eux notre double a décidé du rendez-vous mais peu importe dans un premier temps, seule compte notre conscience du fait que notre souffrance a sa source dans l’invisible.
    Heu vraiment point d’interrogation (mon clavier ne me donne plus le point d’interrogation)
    La conscience du fait que notre souffrance a sa source dans l’invisible ne peut pas suffire non plus car elle est récupérée par notre appétit inconscient de connaissances théoriques. Il y a tant d’aspects inconscients.
    Nos faiblesses, nos aspects inconscients, seront tous éliminés, et ce, â mesure qu’ils couineront plus fort parce qu’ils seront devenus a la fois très actifs dans le comportement et très inaccessibles au regard, l’un entraïnant l’autre d’ailleurs. Et la crise s’adresse, chaque fois qu’elle survient, aux angles morts inaccessibles qui sont en train d’agir fortement et aveuglément sur le comportement.
    Grâce a la crise, l’homme n’est plus dans la théorie, il est sur le lieu du rendez-vous, sa faille, le point le plus personnel, le plus naïf, le plus passif, le plus subjectif et inconscient de tout ce qu’il trimballe d’inconscience, faille qui défigure sa personnalité, et faille qui est une chance de faire entrer la lumière. Ça casse ou ça passe.
    Et si ça passe, si l’angle mort est vu comme quelque chose qui, si tu as le courage de cesser de le nier te sert a faire entrer la lumière, alors tu commences a voir qu,il y a du bon pour toi dans le travail de l’invisible.
    Ce bon c’est celui qui organise absolument tous les rendez-vous petits et grands. Il a bien des noms et bien des visages successifs comme on commence a distinguer son existence. C’est le double, ton meilleur ami dans le sidéral.

  • #8

    josée (samedi, 09 mars 2019 22:36)

    Je voudrais seulement déposer quelques extraits des notes de conférence qui ont été prises lors d’une conférence de Bernard et qui sont disponibles dans l’intro de l’article. Merci pour cet apport très éclairant.
    « Quand vous ne vous référez pas à l’extérieur, vous êtes obligé de développer une angoisse progressive, cette angoisse va devenir une fondation solide pour cimenter votre identité. (…) L’angoisse progressive veut dire que vous êtes mis à mort à petit feu, c’est-à-dire que le contrôle vous est ôté, qu’il faut vous mettre en vie, qu’il faut reprendre le contrôle. (…) L’angoisse progressive c’est un champ de mines pour la conscience, il faut que l’homme la traite avec certitude. L’angoisse progressive, c’est toujours une angoisse idéale pour mesurer la certitude. (…) C’est toi qui choisis d’être là ou là. Tu es comme sur deux sommets en même temps. Tu es le plus vulnérable et le plus fort. Tu choisis la vulnérabilité, tu t’astralises. Si tu choisis la force, tu vas augmenter la conscience des plans. »

  • #9

    Edwige (dimanche, 10 mars 2019 08:42)

    Ce chemin d'évolution si unique, dans ce sens qu'il est individuel, est pavé d'absence de références à part les siennes propres…Nos expériences de vies passées et présentes sont la fondation en béton armé de notre l'identité. Angoisses, stress et autres symptomatologies psychiques sont des barbecues permanents pour nos cellules nerveuses. Éteindre le feu de nos souvenirs mémoriels est la seule option pour ne plus être sous contrôle de notre programmation et des plans qui lui sont associé, ainsi on redevient l'architecte de sa vie et en contrôle de sa volonté. On ne choisit pas un destin "programmé" mais décider de ne plus être vulnérable pour ne plus se faire astraliser équivaut à emmagasiner de la force pour augmenter sa conscience des plans "champ de mines et de batailles pour l'ego".
    L'expérience de la souffrance, physique et /ou psychique, qu'elle soit importante ou modérée, engrange de la mémoire et sensibilise la psyché humaine à plus ou moins long terme. Ce sentiment laisse une empreinte (engramme) dans la mémoire de l'âme et celle-ci ressurgie de bien des façons lors d'évènements de santé (maladies et symptômes divers) stressants ou traumatiques. En s'accumulant comme un mille-feuille les souffrances ouvrent des brèches aux entités qui vont se frayer un chemin jusque dans les engrammes, là où nos vulnérabilités sont les plus vives. Celles-ci sont perverses et manipulatrices, elles nous ont à l'usure et à petites doses au début, conséquemment ces mémoires sont des rdvs programmés avec elles qui n'attendent qu'un choc psychique ou physique pour s'incruster et siphonner durablement l'énergie de nos émotions. Ceci étant dit tout humain a un chemin de vie et un agenda gravé au millième de seconde près... si son expérience passe par la maladie, les dépressions et autres troubles psy et s'il prend conscience de la réalisation du processus astral vampirique il fera une étude intelligente de sa souffrance pour "faire ressortir son moi et prendre de l’expansion". S'il n'en prend jamais conscience l’astral en lui fera tout pour lui faire croire à la petitesse de son être, il sombrera dans cette expérience qui enrichira son âme … Prendre conscience donc que c'est dans notre sac mémoriel que réside les souvenirs plus ou moins souffrants, les plus involutifs pour l'ego et pour l'esprit sont ceux qui maintiennent l'humain dans une conscience inférieure… La gagnante dans l'histoire c'est l'âme, non polarisée donc pas "regardante", qui est addicte à toutes expériences de vie et à l'énergie de ces expériences quels que soient leur taux vibratoire, du plus bas au plus haut... Nous savons maintenant que ce stock d'énergies atomiques sera utilisé durant sa fusion avec l'esprit...

  • #10

    Edwige (dimanche, 10 mars 2019 09:31)

    Pour rebondir su ce que tu disais en #1
    "Je vis une longue crise de santé qui me fait vivre beaucoup de doute... sur ma personnalité avec ses comportements excessifs..."
    Dans sa conférence avec Daniel Ménard 001 - Possession et maladies mentales Bernard nous dit ceci:
    "Le doute ! Ecoutez, un Homme qui n'a pas de doute, c'est un Homme qui n'a plus besoin, sur le plan matériel de cette vie, de se demander quelque question que ce soit, en ce qui concerne la réalité. Il ne vit plus le doute, mais pour en arriver à ne plus vivre le doute, ce qui fait partie de l'évolution de l’Homme, ce qui est normal, ce n'est pas normal que l’Homme vive du doute parce que, vivre du doute, dans le fond, ça veut dire avoir une partie de soi qui n'est pas intelligent ; bon, un Homme qui est dans son intelligence créative ne connaît pas le doute, mais pour en arriver à détruire le doute, il faut en arriver à le vivre, le doute ! Et qu'est-ce qui va faire vivre le doute à l’Homme, c’est sa Source qui travaille sur son évolution, et c'est aussi l’astral qui va constamment créer la confusion dans son mental. Si l’Homme se méfie de l'astral, si l’Homme fait attention de la subjectivité de sa conscience et qu'il commence à ne vibrer, et à ne vivre et à ne travailler, et à ne fonctionner que par rapport à une certaine intelligence, qui n'est pas encore parfaite mais qui est là, parce que l’Homme a tout de même de l'intelligence dans le mental, et que de temps à autre, il est testé, il est testé, il est testé et qu’il ne vibre pas, éventuellement, le doute va se détruire, mais si l’Homme met de l'émotion dans l'expérience, il va continuer à perpétuer le doute, parce que qu'est-ce que c'est le doute ? Le doute, c'est l’incapacité mentale de l'ego de comprendre, de façon parfaite, qu'il est intelligent.

  • #11

    Edwige (dimanche, 10 mars 2019 09:54)

    Pour rebondir également sur ton post #8 à propos de "L’angoisse progressive = champ de mines pour la conscience" dans sa conférence suivante avec DM 002 - "Les sources de l’angoisse" bernard nous dit:
    "DM : Est-ce que vous dites que se comprendre suppose un aspect subjectif, c’est-à-dire une réflexion qui soit juste et que comprendre la vie, c’est dépersonnaliser ?
    BdM : C’est objectif. Comprendre la vie, c'est une science intérieure, c’est une science du mental, se comprendre c'est une réflexion sur soi.
    DM : Est-ce que c'est ça la source de l’angoisse, de l'anxiété ?
    BdM : C’est ça qui est responsable de créer dans l’Homme l'illusion d'un certain équilibre, et il s'aperçoit au cours de son expérience qu’il y a encore d’autres choses qui arrivent… qu’il y a encore d’autres choses qui arrivent… qu’il y a encore d’autres choses qui arrivent, et si la chose continue constamment à arriver, effectivement, il vit une grande anxiété, ceci est repris par les rêves, ceci est repris par les événements et l’Homme ne semble jamais être capable de casser quelque chose, et la raison pour laquelle il n'est pas capable de casser quelque chose, c'est parce qu’il n'a pas l'expérience de son intelligence, il n’a que l'expérience de son intellect, il n'a que sa façon purement mémorielle subjective de voir les choses, il n'a que son intellect pour lui donner un aperçu de ce qui n'est pas réel, donc il s’enfonce, il s’enfonce et il s’enfonce, et vous ajoutez les émotions là-dedans, vous ajoutez la mémoire là-dedans, vous ajoutez la manipulation astrale psychique dont l’Homme est totalement inconscient là-dedans, vous avez facilement accès à l'anxiété".

  • #12

    josée (dimanche, 10 mars 2019 19:04)

    tu casses ta façon astrale de penser ? tu casses ton anxiété existentielle ! tu passes de l'insupportable vibrato psychologique à un vibrato sans mélo. ce dernier est déconcertant et envahissant, il fait froid dans le dos, il vide le corps mais il est une direction.

    la souffrance inconsciente, elle, n'a d'autre direction que celle toujours changeante de sa pensée astrale. oui il croit avoir une direction dans la vie, celui qui va se conformer aux égrégores, c'est-à-dire aux pensées astrales partagées par tout le monde dans son entourage. mais cette direction a la consistance d'une flèche formée par des papillons en vol : elle est un leurre servant au maintien de l'inconscience.

    il n'y a pas cette fausse certitude quand on est en processus de conscience. d'abord la conscience commence là où l'influence extérieure a été éliminée. ensuite la conscience ne sera jamais statique. il y aura toujours expansion et mutation. la direction sert de certitude mais la stratégie ou la manoeuvre demeure ouverte et créative du fait même qu'on contient la conscience du mouvement dans l'instant.

  • #13

    josée (dimanche, 10 mars 2019 20:05)

    un peu comme le spaghetti qu'est devenu cet enchevêtrement de messages écrits par edwige et moi, le processus de conscience est une table de dialogue entre deux interlocuteurs qui meneraient plusieurs discussions en même temps. au début, l'homme est un perroquet de l'astral et son interlocuteur, le double, doit lui renvoyer cela dans la face. mais plus avant dans le processus, l'échange prend lieu, et ce, sur plusieurs fronts en alternance comme dans ce focus entre edwige et moi.

    il commence à y avoir une ébullition d'énergie quand les deux créent une équipe. comme un contracteur et un ingénieur penchés sur un plan de bâtiment en pleine conception, homme et double renégocient perpétuellement la meilleure idée possible à chaque étape de leur collaboration. dans les messages nos 6 et 8, il est question de reprendre le contrôle. dans mon exemple, l'homme est-il le contracteur ou l'ingénieur ? je dirais qu'il est le bâtiment mais un bâtiment qui lui-même est parfaitement engagé dans sa construction au point d'accepter tous les travaux que le double ingénieur et contracteur lui présente pour le construire. le contrôle de l'homme est énorme, parce que pour demeurer dans cette ébullition, cette renégociation permanente de sa programmation suivant les besoins rencontrés, il y a un contrôle parfait du site de construction. aucun poète guitariste, aucun vagabond perdu, aucun rockeur kickeur de bas de murs, aucun déshérité en mal de logis (ok on a le topo) ne viendront interférer. la construction procède et c'est ce que commandait véritablement l'homme derrière tous les désirs de contrôle qu'il a pu jamais avoir.

  • #14

    Edwige (jeudi, 14 mars 2019 08:56)

    La survie de nos âmes dépend de leurs besoins énergétiques pour leur fusion, ce besoin étant concomitant aux expériences présentes, passées et à venir et en relation avec le taux vibratoire du corps matériel pour l'incarnation du double lumineux. L'entêtement contre les changements de paradigmes freine l'évolution, cependant on ne peut que difficilement aller contre sa programmation qui est évolutive que ça nous plaise ou non, avec peu ou prou des souffrances physiques et/ou psychiques ou les deux à la fois. La rupture avec les forces ascendantes ne peut être amenée que par l’homme qui travaille sur son corps émotionnel pour vider son âme du très lourd sac de mémoires devenues obsolètes dans le processus de fusion. Les vulnérabilités sont colmatées par de l'énergie en quantité colossale venant de l'intelligence de l'esprit qui nettoie jusqu’à la moindre faille du corps astral pour amener l'ego à mettre un grand coup de hache dans son contrat cosmique.
    Les vulnérabilités sont colmatées par de l'énergie en quantité colossale venant de l'intelligence de l'esprit qui nettoie jusqu’à la moindre faille du corps astral pour amener l'ego à mettre un grand coup de hache dans son contrat cosmique.

  • #15

    Josée (jeudi, 14 mars 2019 08:56)

    nos vulnérabilités sont des failles où entre la vie en quantité colossale.
    étrangement les failles sont colmatées par la lumière-même qui y pénètre à mesure qu'on en dépolarise l'énergie.
    toi et moi communiquons sur le thème de phénomènes qui ne se déroulent pas au vu et connu de tout le monde et avec des vocabulaires qui ne se recoupent pas toujours. pourtant ça marche vu qu'on apprend l'une de l'autre au niveau des principes en plus de développer du respect. c'est un exemple de faille qui se colmate avec la lumière qui passe dedans, si on convertit volontairement la tentation d'émotion en vie neutre.

  • #16

    Edwige (jeudi, 14 mars 2019 08:58)

    Nos doubles savent communiquer avec nos egos qui se respectent dans leurs personnalités si complémentaires et si riches en devenir...
    Un processus de conscience dans un dialogue en petit comité à ceci comme avantage, grâce à plusieurs discussions en même temps, qu'il n'y a pas dispersion d'énergie quand elle est en ébullition dans cette petite équipe… L'avancée des idées les rends probablement meilleures chacune à leur tour selon le jour et l'heure de leurs émissions… Cette construction participe à tous les désirs de contrôler la fluidité de l'espace qui devient créatif à souhait à chaque frappe du clavier…

  • #17

    Edwige (jeudi, 14 mars 2019 09:07)

    "Quand on souffre on est plongé dans un état psychologique personnel, on est dans la subjectivité. Ces souffrances ne nous appartiennent pas, elles sont créées par les plans, elles font partie de l’évolution de l’âme, c’est une programmation. Avec l'intégration de sa conscience et la maitrise émotionnelle on ne souffrirai plus de la même façon, ni des plans..."

    La souffrance puis les symptôme et problèmes de santé qui en découlent apparaissent d'abord dans les corps subtils. Si l'origine de la maladie est astrale ou programmée seul le corps éthérique peut être guéri et non le corps astral "troué ou déchiré". Le son d'un instrument musical ou certaines musiques de très hautes vibrations, ont la capacité de guérir ce corps éthérique, il permet ainsi au corps astral de s'apaiser car partout où l'homme s'épanoui son corps astral se dépollue, souvent à son insu. En dehors de la médecine invasive qui s'occupe du corps physique, les "trous et les déchirures" du corps astral, liés à une maladie déjà installée, ne peuvent être guéris par personne d'autre que nous-même qui pouvons agir sur notre programmation par la désastralisation de notre corps émotionnel et de notre sac mémoriel... La maladie à elle seule peut être une voie de guérison de notre inconscience ou un "vidangeage" de vielles mémoires...
    Le son et le taux vibratoire de la parole ont la capacité de guérir le corps astral mais ce dernier est plus long à se rétablir quand la personne n'est pas suffisamment consciente, elle ne peut absorber la vibration de cette parole contrairement à une personne consciente qui pourrait guérir rapidement. La parole qui guéri le corps astral doit alors être REELLE, VIBRANTE et thérapeutique comme celle de Bernard. Il y en a d'autres, certainement, partout dans ce monde qui ont cette capacité de rendre leur parole "guérissante"... Je ne parle pas d'hypnose, quoi que...

  • #18

    josée (dimanche, 17 mars 2019 21:58)

    c'est intéressant. ça me fait réaliser la largeur de la fourchette de moyens créatifs pouvant servir de portes de sortie à l'arrivée d'une souffrance.
    d'abord tu mentionnes le détachement - qui n'oblitère pas la souffrance ' mais qui la rend fertile.
    ensuite tu mentionnes la validité de voir dans son episode de souffrance le signe d'une condition karmique, d'une condition de départ du corps astral. non seulement il y a ce diagnostic un peu scientifique qui aide au détachement mais il y a une volonté d'autoguérision dans cette façon de voir, et déjà là il y a un moyen de guérison.
    tu parles après ça de l'importance de l'épanouissement du corps astral. je comprends par là, l'importance du plaisir. la recherche d'activités nouvelles, vivantes et équilibrées brise la programmation vicieuse qui s'est renforcit à l'insu de l'ego et celui-ci se dépollue - à son insu aussi.
    enfin, dis-tu, et je suis tellement d'accord, il y a la prise de parole, ma solution chouchou. la parole est pas obligée d'être physique ni même avec autrui. non non, juste s'exprimer, articuler son affaire, c'est tellement ça l'échelle pour sortir du trou !

  • #19

    Edwige (lundi, 18 mars 2019 08:18)

    Les moyens créatifs pour laisser sortir nos souffrances intérieures incluent en effet un recul intelligent et constructif par rapport à elle et à ce qu'elle charrie de déversements karmiques, programmés et engrammés dans le corps astral. La volonté d'auto-guérison et son moyen de guérison passe par la dépollution de celui-ci. L'importance du plaisir participe à l'épanouissement de ce corps par les moyens que propose la nature car sa matière subtile (éther), composée de la lumière de l'énergie de son esprit, transporte une force et un courant électromagnétique qui envoie une charge électrique dans nos corps pour les dépolluer et une force répulsive, autour de ces corps, pour maintenir leur stabilité.
    La parole avec son double c'est ce que tu dis "l'échelle pour sortir du trou !"

  • #20

    Josée (jeudi, 28 mars 2019 03:37)

    Tu parles du plaisir d'ordre électromagnétique qu'on perçoit dans la nature. Ici c'est le temps des sucres, quand, en mars surtout, on perce les troncs pour intercepter la sève qui jaillit des racines. Je m'abstiens de percer cette année et c'est mon propre corps qui vit le plaisir d'ordre électromagnétique de la sève qui jaillit des racines. quelle belle aventure que la restitution de l'énergie dans mes jambes durant ces. deux derniers mois - pourquoi ? Parce que j'ai confiance. Tout est guérison. J'ai beau me voir devenir moins naïve, l'équation sensation égale guérison continue. L'équation présence égale puissance aussi. La nuit est toujours éprouvante pour moi parce que je pense à cent mille à l'heure où en multi-couches en superposition au sommeil. Ce constat ne m'abat pas. Me contenter facilement est une façon de m'articuler avec ma journée. Tout "moment" qui me trouve en mode équilibrage face aux contrariétés de ma journée est un entraînement à être identique à mon double, un rayon émetteur. En fait c'est ce jet émis par ma volonté qui est l'échelle faisant sortir du puits

  • #21

    Edwige (jeudi, 28 mars 2019 09:35)

    Tes jambes, devenues comme tronc et racine de ton équilibre interne, sont réalimentées par une énergie nettoyée durant cette hibernation hivernale… C'est ainsi que le printemps revenu ton corps vit le plaisir électromagnétique de la sortie de tes souffrances qui coïncide avec la montée de sèves des érables, ici ce sont les boulot qui font cet office... Une détoxification initiée par l'énergie de l'esprit... Avoir confiance que la souffrance est aussi guérison est une belle et grande confiance en son double…

  • #22

    josée (vendredi, 29 mars 2019 17:39)

    j'ai des douleurs au bassin aux genoux, aux pieds et partout entre. or n'importe quelle perd sa dénomination de douleur en se convertissant en sensation. sans vouloir prècher, surtout que mon histoire est très particulière, je dirais que tout est là dans cette conversion de la douleur en sensation. mon ego devient spectateur, il veut toujours donner la place à la douleur, ce qui est un tel rattrapage des années de mon manque total d'attention et de sensibilité à ce que pouvaient ressentir mes jambes, pieds, hanches. le spectacle semble visuel et lumineux pour une autre sorte de conscience non sensorielle qui est mienne même si je ne sais pas comment elle s'arrime avec moi. l'immoblité forcée induit un lot de routine plus apaisée. je passe mes relents d'hyperproductivité à garder la cuisine propre, je ne sémerai pas ou presque, etc. ça laisse le temps de penser à mes péchés comme dit l'expression… et d'installer une vue nouvelle des choses qui part du fait que justement rien n'est péché ! oui je suis encore naîve et j'ai encore peur d'être abusée mais j'en ris, c'est là toute la chose. toi aussi d'ailleurs tu as l'air en paix, "heureuse d'un printemps qui te chauffe la couenne" peut-être ?

  • #23

    Edwige (mardi, 02 avril 2019 10:50)

    Nous sommes tous et chacun particuliers, différents, hors du commun, avec des histoires extraordinaires et incroyables. Chacun avec sa douleur, ici et là, qu'il transmute en énergies d'expériences pour l'âme en voie de fusion. L'ego auparavant plaintif puis observateur devient l'acteur de cette transmutation jusqu'à l'aboutissement d'une manifestation de "paix en soi", content d'être ici, dans cette vie-là et pas ailleurs…

  • #24

    Fabrice (mercredi, 08 mai 2019 14:15)

    Bonjour à vous tous (deux ?).
    Je viens de croiser ce blog aujourd'hui. Quelques lectures; pour ne pas dire seulement vos interventions... lol
    Sans être importun, je l'espère, je relève la situation de josée.
    Je sors moi-même d'une période de 3 ans assez piquante; des symptômes importants sans être graves mais suffisamment pour diminuer l'énergie en plus des douleurs chroniques.
    Je suis arrivé au même avis que ce que vous exposez au dessus, il y a explications,raisons,utilité même. Et le remède est amer; j'avoue.
    Bon, je m'étale; rectifions...
    Juste pour partager quelques infos donc, émanant de ce parcours:

    Maladie psychosomatique (en médecine chinoise elles le sont quasiment toutes je crois)
    Problème Alimentaire Digestif (Voire régime Acido/Basique/Compatibilité alimentaire) pour moi,en plus. (Burn out Inclus)

    Voie de Sortie suivie:
    Accompagnement ostéo/Kinésiologue.
    Régime alimentaire hors gluten,acides,céréales,viande rouge,lait...
    Vous évoquez la parole, c'est important.
    Sur les conseils de cette même thérapeuthe, méthode d'écriture qui suit.
    Crayon Papier, Feuille Papier, Allumettes Bois pour la suite.
    Ecriture (émotionelle) sans penser/contrôler le sujet choisi (parents,enfance,ex compagnon, travail, école, ou juste libérer une émotion choisie etc...)
    Le déroulement est imprévu, du début à la fin.
    La cohérence n'est pas de mise (contrôle mental).
    Ne pas tenir compte du politiquement correct ds les mots, hurler est une possibilité, tout est possible pendant l'écriture. Les premières fois c moins facile; pratique oblige, c un peu vomir ce n'est pas super agréable mais salutaire ensuite.
    (Vous devez connaître le principe, je n'en doute pas)

    Petit conseil perso; prévoir du temps pour des scéances longues est intéressant; mais éprouvant. Le fil se déroule au fur et à mesure.
    Cela n'empêche en rien de faire des petits épisodes.

    Ensuite; relire lentement toute l'écriture et laisser remonter les émotions si il y en a.
    (Cela amplifie le nettoyage/brassage émotionnel)
    Avant de brûler les pages avec les allumettes. Récuperer les cendres pour les remettre à la terre. Pour se décharger enfin de ces charges/énergies.
    Il est possible de devoir le faire plusieurs fois pour un même sujet.
    En une fois ce serait trop beau non ? Mais tout ce qui est enlevé est enlevé...

    Cette méthode m'a aidé (voir sauvé à un moment!) ; même si elle ne m'a pas guéri par elle même. Peut être le fera t elle pour vous; et d'autres.
    Un complément rapide et appréciable a été apporté par methode NAET; allergies,ADN, auto-immunité, et surtout défauts d'assimilations.
    A quoi bon se gaver de pilules ou compléments même naturels si on n'en profite aucunement; et plus grave l'alimentation en général (!!!)

    J'avoue que le fin mot de mon parcours reste dans l acceptation d'un parcours pas voulu par une partie restante d'ego rebelle à abdiquer à mon choix de vie/incarnation.
    La paix est plus présente aujourd hui; je (vous) souhaite à tous ceux qui liront ce message exactement la même chose.

    P.S. Pas sûr de revenir voir les réponses. Ne pas tenir rigueur... Merci. Avé.

    Cordialement. Fab. Loire (42)

  • #25

    Edwige (mercredi, 08 mai 2019 14:59)

    Bonjour Fabrice, merci pour votre passage et votre témoignage dans lequel tout en chacun peut se reconnaître, peu ou prou, dans ce chemin d'évolution si ardu...

    Les principaux symptômes ont été évoqués dans deux rubriques, ci-dessous, vous pourriez y apporter d' ajouts personnels, éventuellement, pour compléments...

    https://www.edwigedebenoist-marcher-autrement.fr/2018/08/18/le-feu-de-la-kundalini/

    https://www.edwigedebenoist-marcher-autrement.fr/2018/09/13/son-primordial-mutation-cellulaire-taux-vibratoire/