Le retour à la nature & Relation entre l'homme et la nature

 Edwige


AVANT-PROPOS

 "Être sur le chemin de l’évolution c’est mener une étude" BdM PE-028

Ces FOCUS sont des espaces réservés aux échanges d'idées pour faire évoluer l'instruction Supra-Mentale de façon créative, collaborative et générative. Prière de ne pas déformer, ni plagier, les transcriptions originales de l'œuvre de Bernard de Montréal proposées pour étude, dont la seule référence est l'audio qui l'accompagne. Un résumé personnel, des citations et/ou des liens sont admis pour initier ces échanges. Vous pouvez proposer un thème, un sujet qui sera mis en ligne après vérification. Aucune inscription ni abonnement n'est requis, l'anonymat est garanti.

** Polémiques stériles et énergivores, non-respect de la parole de l'autre, critiques malveillantes, tribune spirituelle pour ego surdimensionné… iront directement dans la corbeille.


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Relation entre l'homme et la nature BDM
130a - Relation entre l'homme et la natu
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Compilation/Extraits


Le retour à la nature

"Autant le corps matériel que les corps subtils de l'humain sont des corps qui ont besoin d’aération. La nature est un champ d’énergie sur plusieurs plans et ce champ d’énergie permet à l’Homme de pouvoir rebalancer ses forces vitales, elle lui permet aussi, de rebalancer son système astral, son système mental. Si l’Homme vit trop loin, trop longtemps de la nature, il perd contact avec une énergie vitale qui peut le reposer, le remettre en équilibre et lui redonner un goût de vivre qui ne fait pas partie de toutes ces attentions dirigées vers la construction d'une société ou d'une conscience sociale qui ne fait que lui apporter que des bienfaits matériels.

 

Le contact entre l’Homme et la nature est un contact extrêmement important, mais il doit être développé, il ne doit pas être fondé sur une trop grande attitude. Aujourd’hui, les gens retournent ou ont une tendance à retourner à la nature, mais le retour à cette nature est un retour qui est dicté par des attitudes sociales, par des mouvements, par des modes, par des courants de pensée dans la société. Autant ces gens peuvent bénéficier de la nature, autant aussi ils peuvent perdre l’avantage réel qu’ils pourraient avoir vis-à-vis ce très grand éventail d'énergie qui fait partie de la structure interne de notre monde matériel. 

 

Pour que l’Homme vive en contact avec la nature d’une façon équilibrée, il faut qu'il soit suffisamment conscient, qu'il puisse aller chercher dans la nature les ressources qui sont cachées et qu’il se donne de bénéficier de ces ressources en relation avec son énergie, en relation avec le mouvement rythmique de sa vie interne, dictée par son évolution et dictée par sa capacité de comprendre son lien étroit avec cette nature. Plus l’Homme se conscientisera naturellement, plus il deviendra sensible à la nature, parce qu'une des grandes choses qu'offre à l’Homme, la nature, c'est la paix, l'absence de la cacophonie, l'absence des cris autrement dit, l’absence de tout ce ruissellement de sons qui crée dans l’Homme une sorte d'excitation au niveau de son système nerveux et qui lui empêche de vivre une sorte de tranquillité sur le plan de l'émotion, sur le plan de la mentalité.

 

l’Homme ne comprend pas réellement les mécanismes qui lient la nature à sa conscience humaine, mécanismes qui se découvrent et s'ajustent au fur et mesure où sa conscience devient plus grande, où son besoin de calme et de solitude se fait plus remarquer, et à partir du moment dans sa vie où il a réellement besoin, non pas d’une solitude sociale, mais d'une solitude personnelle, de l'environnement personnel, et il est très opportun de dire qu’au fur et à mesure où l’Homme se conscientise, son système nerveux change, ses besoins psychiques, psychologiques prennent une autre forme, et il s'aperçoit à un certain moment, qu’il a effectivement besoin de ce grand repos que peut lui offrir la nature, à l'intérieur d’un environnement que seul, lui, peut se donner selon ses besoins, selon sa vision des choses, et selon sa capacité de se les donner.

 

Nous devons faire l’effort intelligent pour récupérer les forces vitales dont elle est imprégnée afin de pouvoir nous donner à la longue, une sorte d'équilibre sur tous les plans de notre être, nous permettant ainsi d'allonger notre vie, de bien balancer notre vie, et de retrouver à l'intérieur de cette nouvelle façon de vivre, un équilibre qui coïncide parfaitement avec notre conscience, c’est-à-dire avec les aspects intérieurs et personnels de notre être. Et ce besoin devient de plus en plus grand au fur et à mesure que l’Homme réalise jusqu'à quel point sa sensibilité est affectée par le monde extérieur. 

 

L’Homme qui va vers la nature doit apprendre à réaliser que la nature est un lieu en relation duquel il doit travailler, bâtir, construire, faire quelque chose. Il faut que l’Homme travaille dans l'environnement naturel, il ne s'agit pas simplement d'avoir un camp ou une petite cabane dans les montagnes, il s'agit de pouvoir avoir une petite cabane, si vous voulez, dans les montagnes, mais de travailler la petite cabane dans les montagnes comme nous travaillons notre appartement dans la grande ville, afin que l'énergie qui est imprégnée dans la nature, dans la roche, dans la fleur, dans le gazon, dans les airs, dans les arbres, afin que cette énergie puisse se mélanger à celle du corps matériel, et donner à ce corps matériel une nouvelle vibration sur le plan de l’éther de la Terre.

 

Le but d’être en contact avec la nature est, dans le fond, un but tellurique, il faut que l'énergie de la nature, qui est coupée dans la ville, revienne et se mélange avec l’énergie de l’Homme, avec ces deux courants, que ces deux forces puissent harmonieusement vibrer l’une à l’autre, donnant ainsi à l’une et à l’autre une plus grande qualité, une plus grande nature, donc un plus grand bien. Il faut que l’Homme, lorsqu’il est en contact avec la nature, se sente ou sente qu’il fait partie de l’environnement total, dans ce sens que, l’Homme, peut se servir de cette nature, de cet espace qui n'est pas dit civilisé et donner à cet espace une qualité qui correspond à sa mentalité. Il faut que l’Homme se sente dans la nature, chez lui. 

 

L’Homme qui se conscientise, qui va de plus en plus vers le centre de lui-même, sentira un jour le besoin de posséder un peu d’espace qui lui est sien, sur lequel il peut faire ce qu’il veut, et envers lequel il peut bénéficier d’énergie, de vitalité, parce que la nature est beaucoup plus présente dans ces espaces éloignés que dans les villes qui sont devenues pour nous des centres d'exploitation de la conscience humaine, où la vitalité de l’Homme est constamment assujettie à un phénomène d’aspiration laissant l’Homme, l’individu, de plus en plus démuni de forces vitales, ce qui le rend malade, ce qui le rend agressif, ce qui le rend nerveux, etc… etc… 

 

Le retour à la nature, est un retour simple, un retour qui n’est pas «attitudinal», un retour qui est normal, un retour qui fait partie du résultat de l’effort de l’Homme… Ce retour n'a pas de prix en lui-même parce que ce retour fait partie de la vie, il fait partie de l’harmonie entre l’Homme et la planète, il fait partie de l’harmonie entre l’Homme et des activités sur ce terrain, dans cet espace qui coïncide finalement avec son bien-être, avec son plaisir de vie, avec sa joie de vivre. 

 

La vie, c'est quelque chose qui doit être planifiée à l’avance, mais qui doit être vécue dans le présent. Vivre dans le présent, c'est une chose, vivre de jour en jour, c'est une chose, vivre d’instant en instant, c’est une chose, et l’Homme doit vivre dans le présent, mais ce n'est pas parce que l’Homme vit dans le présent qu'il doit mettre de côté son avenir, c'est justement en vivant parfaitement dans le présent qu’il construit son avenir, c'est justement en vivant parfaitement dans le présent qu’il est capable, demain, de s’acheminer de plus en plus vers une qualité de vie qui coïncide avec l’application intelligente, graduée dans le présent de tous les jours, dans le présent de toute l'année, dans le présent de toutes les semaines".  BDM


Relation entre l'homme et la nature

"Lorsque je parle du retour à la nature, je parle d’un retour à la nature en relation avec l’évolution des besoins de l’homme, consistant avec la sensibilité de sa conscience nouvelle comme étant un besoin naturel évolutif de la conscience supérieure de l’homme, qui fait partie du développement naturel de la conscience humaine.

 

L’homme nouveau, l’homme conscientisé qui retourne à la nature doit retourner en fonction de sa sensibilité interne, il doit retourner dans son temps et non pas dans le temps des autres, et il doit retourner dans un temps qui l’invite, personnellement, à pouvoir remplir la condition de cette nouvelle époque. J’insiste pour dire que ceux qui vont ou iront dans cette direction doivent y aller les deux yeux très grands ouverts, très conscients de la relation entre ce mouvement et un nouveau mode de vie, un nouveau type de vie ou une réorganisation de leur vie.

 

En ce qui concerne le retour à la nature, l’homme doit être intelligent. Il doit être confiant que ce retour se fera, Si vous arrivez un jour à laisser la cité pour aller vers la nature, c’est pour perfectionner votre vie, pour la rendre plus agréable, pas pour la rendre plus difficile. Donc, vous devez regarder cette nouvelle condition, comme étant une époque qui est très importante, qui est très vitale, mais qui ne peut pas être créée avec facilité. Le retour à la nature est forcément un retour naturel qui n’est pas le produit de l’imagination de l’ego, qui n’est pas le produit du corps de désir de l’ego, mais qui est le produit du besoin naturel de l’homme en relation avec sa conscience de plus en plus définitive, de plus en plus créative, de plus en plus sensible, de plus en plus grande. 

 

Le retour à la nature fait partie de l’évolution de l’homme dans la deuxième époque de sa vie qui commence à grandir, qui commence à se faire sentir à partir du moment où l’homme a suffisamment développé de moyens, à cause du perfectionnement de sa psychologie, à cause du développement de sa créativité, pour finalement se donner des outils de travail qui conviennent à une concrétisation d’un grand besoin et d’un grand rêve dans la vie intérieure de tous les hommes. Lorsque l’homme retournera à la nature, il lui faudra être capable de vivre, soit seul ou en relation avec sa famille, sur un espace de terre ou dans un espace quelconque qui le forcera à être capable de supporter une plus grande solitude, parce que justement, dans un tel endroit, dans un tel environnement, l’homme ne bénéficie pas de tous les à-côtés de la vie citadine.

 

S’il retourne à la nature dans un temps qui convient à son esprit, qui convient à ses besoins, qui convient à l’équilibre de son corps émotionnel et de son corps mental, l'homme sera très bien dans une solitude telle que celle-ci, dans un environnement plus restreint tel que celui-ci, et il ne souffrira pas de l’extérieur ou il pourra se contenter de petits bénéfices qui font partie de l’activité périphérique autour de son environnement ou dans le milieu où il vit ou dans le milieu où il vivra. 

 

Retourner à la nature est réellement une nouvelle étape dans la vie de l’homme et ce retour ne pourra se faire que dans le temps où l’homme lui-même sera prêt à s’exécuter. Et ce retour à la nature convient parfaitement à l’exigence d’une conscience supérieure. Il convient parfaitement à une puissance créative nouvelle. Il convient parfaitement à une nouvelle orientation de notre propre vie et il ne peut être exécuté que lorsqu’effectivement nous sommes arrivés à la plénitude de notre maturité mentale. Lorsque nous sommes arrivés à la plénitude de notre maturité mentale, nous sommes arrivés à un point dans notre vie où, finalement, nous sommes capables de prendre une décision de vie sociétale à la mesure de nos besoins et nous sommes capables de nous rendre à cette mesure en fonction de nos capacités. Nous ne sommes plus dans l’illusion de vivre ou de pouvoir vivre une telle vie, nous sommes dans la certitude du besoin d’une telle vie et aussi dans la certitude d’être capables de nous donner une telle vie. 

 

Et tant que nous ne sommes pas arrivés à cette maturité mentale qui fait partie de l’évolution de chacun et qui possède sa propre chronologie, il ne faut pas que nous croyions à des histoires de campagne, à des histoires de terrain et de maison dans la nature ou à des histoires de belle nature. L’homme doit être conscient, ce qui veut dire qu’il doit être réaliste, autrement dit qu’il doit avoir les deux pieds sur la terre.

 

Si nous parlons du retour à la nature, nous parlons d’une façon intégrale, nous parlons d’une façon totale, nous ne parlons pas d’une façon partielle ou divisive. Nous parlons d’un mode de vie qui convient à un total épanouissement de la personnalité de l’homme. Et ce total épanouissement de la personnalité de l’homme ne peut pas être manifesté dans un temps où l’homme encore a des choses à apprendre, a des choses à perfectionner afin que se libèrent en lui certaines forces qui demain pourront lui rendre la monnaie de son expérience. Donc l’homme conscient doit respecter les étapes, parce qu’il y a des étapes qui mènent à cette vie, à ce genre de vie, des étapes qui peuvent être même très longues, mais ces étapes nous permettent de mesurer pas à pas ce que nous pouvons faire". BDM


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Commentaires: 61
  • #1

    Edwige (dimanche, 17 mars 2019 20:55)

    Marcher Autrement, dans un voyage vers la source de nos authenticités, est une expérience unique et personnelle pour se re-connaître, aller au-delà ses limitations. C'est avancer sans retour vers le passé, observer, goûter l'instant présent, sentir ce qui vient à nous : vibrations du corps, amplitude de l'inspir et de l'expir, mouvements des bras et des pieds, flux et reflux des "pensées", des "idées"... C'est plonger dans les profondeurs de soi-même pour "interagir" avec l’énergie du réel en soi. C'est apprivoiser les éléments de la nature, en toutes saisons, pour transmuter les énergies denses de nos souffrances et réaliser une transformation évolutive de son ego. C'est acquérir une meilleure vision des aspects opaques de sa vie pour prendre des décisions intelligentes, pour rompre avec des engrenages mortifères et se libérer de ses prisons émotionnelles, mémorielles, ancestrales.

  • #2

    Edwige (lundi, 18 mars 2019 07:51)

    La matière subtile des montagnes (éther), composée de la lumière de l'énergie de son esprit, transporte une force et un courant électromagnétique qui envoie une charge électrique dans nos corps pour les dépolluer et une force répulsive, autour de ces corps, pour maintenir leur stabilité.

  • #3

    josée la haye (mercredi, 03 avril 2019 01:53)

    Sûrement qu’avec ta sensibilité à l’énergie, Edwige, tu ressens vibratoirement la « matière subtile » qu’est l’éther quand tu grimpes dans tes montagnes. Je le ressens juste assez moi-même pour te reconnaître là-dedans et apprécier la valeur de ta science. Non seulement je connaissais un peu ta sensibilité à l’énergie mais en plus tu parles maintenant de l’éther et de son courant électromagnétique en précisant les choses plus scientifiquement ce qui accroche mon oreille.
    Avec cette facilité donc, qui t’est particulière, à percevoir l’impact électrique sur toi de l’invisible, tu as pu observer que le courant électromagnétique qui court dans l’éther (détrompe moi s’il le faut) envoie dans ton corps une charge électrique dépolluante et autour de ton corps une force répulsive – quelle révélation! - qui agit dans ton corps et peut selon toi en maintenir la stabilité. Notre relation à la nature est un beau sujet. C’est un article plein de promesses. En tout cas j’ai bien des questions.
    1- Pour commencer je me demande comment tu distingues cette force répulsive stabilisante… de ce qui relève de la lumière de l'énergie de ton esprit ? …vu que celle-ci aussi transporte une sorte de « force répulsive stabilisante ».
    2- Autre question, les sens-tu de façon distincte, ces deux courants d’énergie, celui de l’énergie éthérique mentale qui passe par ton canal et celui de l’énergie éthérique tellurique qui provient de la nature où tu baignes ?
    3- Enfin, quand tu sens ces deux forces en mëme temps, ces deux courants d’énergie mentale et éthérique, les sens-tu résonner ou vibrer l’une à l’autre ?
    C’est une véritable entrevue !
    J’ai lu ce que tu rapportes dans ton intro du verbatim de 130b sur ce dernier point (l’inter-résonnane de l’homme et de la nature). et, dans les grandes lignes, ce que bernard dit c’est que ces deux rayons sont sensés résonner ensemble tout à fait « harmonieusement », « donnant ainsi à l’une et à l’autre une plus grande qualité d’énergie» que ce que véhiculent autrement ces deux courants.
    Autrement dit, le contact entre le supramental et le tellurique propulserait le développement du supramental qui nous est si cher… mais aussi celui du tellurique qui n’est donc pas indépendant de l’homme ! La nature bénéficie, dit bernard, de l’homme conscient.
    Quoi ? J’admire le corps humain d’accord oui mais de là à embrasser toute la nature de la même considération et lui prêter la même richesse, heu… Je suis abasourdie qu’il dise que la matière naturelle, cette fontaine de photons, électrons et tacchions qui parfois est vivante parfois non, comme le roc, soit assez foisonnante, assez alimentée, assez universelle et multidimensionnelle pour véritablement s’arrimer avec notre énergie interne et en tirer profit.
    Je continue au prochain message.
    .

  • #4

    Edwige (mercredi, 03 avril 2019 18:33)

    Dans le processus évolutif de l'ego les changements du taux vibratoire de ses corps (physique et subtils) conduisent à modifier volontairement, ou non, les habitudes et comportements à bien des niveaux (alimentaires, corporel, nocturnes, diurnes etc…) Ceci entraîne une sensibilité croissante au moindre mouvement subtil dans les plans éthériques de la matière. Toute matière ayant une vibration éthérique est composée de la "lumière" de l'énergie de "l'esprit de cette matière", dans le cas présent on parle de l'esprit des montagnes, de l'esprit la nature ou tout autre matière "vivante".
    Cette lumière transporte une force dans un courant électromagnétique qui envoie une charge polarisée dans nos corps:
    - la force nettoyante de dépollution, en tant que charge électrique polarisée, agit un peu comme un détergeant de notre corps astral qui impacte également le corps émotionnel et mental pour le décaper des scories laissées en arrière-plan des expériences qui alourdissent ces corps.
    - la force répulsive, l'autre polarité, charge magnétique ayant pour fonction d'émulsionner ces corps d'une énergie protectrice contre de nouvelles agressions extérieures, donc de stabiliser la "propreté" de ces corps… Un peu comme une voiture qui passerait au lavage automatique avec un programme complet de nettoyage et de polisch protecteur final…

    Il est bien évident que notre esprit nous a à l'usure par ses multiples tests et re-tests… mais plus on use et abuse de la nature plus le polisch devient réfractaires aux agressions extérieures, le voile de la peau s'épaissit comme un imperméabilisant virtuel…

    "En tout cas j’ai bien des questions"
    - Réponse à 1
    La lumière de l'énergie de l'esprit est une force qui a un but propre: celle de marteler l'ego pour l'amener à fusionner avec lui pour la création du double éthérique.
    La lumière de l'énergie de la montagne ou de la nature, dans son éther, est composée de deux forces polarisées pour ses propres besoins en tant qu'organisme vivant autonome et indépendant. Elles se revivifie et se protège à la fois par sa propre puissance. De nombreux documentaires démontrent comment la nature renait de ses cendres après le passage dévastateur de l'humain…

    L'humain qui côtoie assidument la nature bénéficie de la lumière de cette énergie et son propre esprit également. L'esprit humain est avide de cette énergie qui multiplie sa puissance à marteler l'ego aussi dur à cuire qu'inconscient et mal dégrossit… au final tout cela sert à la matérialisation progressive du double éthérique ou de l'ego qui devient lumineux…

    - Réponse à 2
    Ces deux courants d’énergies sont ressentis distinctement au fur à mesure que le corps s'élève vibrations. L’énergie éthérique mentale qui passe par le canal a des effets directs sur la conscientisation de l'ego alors que l’énergie éthérique tellurique de la nature rassérénère les corps avec un impact chimique sur l'apaisement du mental.

    - Réponse à 3
    Ces deux courants d’énergies mentale et éthérique amènent simultanément l'ego à la conscientisation de lui-même par la résonnance des vibrations de plus en plus fortes de ses corps physiques et subtils comme si l'esprit en habitait le moindre espace libre!

    "C’est une véritable entrevue !"
    En fait on ne peut être d'accord et comprendre ce que veut dire Bernard qu'après avoir fait l'expérience sur le terrain et dans tout son être de cette nature… L'énergie de la montagne et de la nature vivent alors en nous, cette énergie de vie amène à consommer davantage, une véritable addiction, pour stocker ce précieux carburant puissant et galvanisant utilisable et recyclable à l'infini... à condition de déspiritualiser et d'élever cette énergie jusqu'à notre conscience afin qu'elle dépollue réellement notre mental inférieur pour maintenir une stabilité sur la durée.

  • #5

    Josée (mercredi, 03 avril 2019 18:35)

    Bernard dit que la nature est une vitrine de la profondeur de la matière, « un éventail d'énergies inhérentes à la structure interne de la matérialité ». Récupérer les forces dont est imprégnée la nature c’est donc baigner dans une pluie ou douche ou fontaine de toutes ces puissances mystérieuses qui créent le prodige qu’est la matière. L’énergie de la nature nous relie donc au mystère de l’aspect subtil de la matière, et nous fait sentir combien la matière est dépourvue de cette grossièreté qu’on lui associe intellectuellement… (à moins qu’on soit un physicien quantique familier des quarks, bosons, gravitons, neutrinos, etc.)
    Or Bernard dit que bénéficier de cette ressource doit se faire en relation avec sa propre énergie, en relation avec le mouvement rythmique de sa propre énergie interne. De quoi parle-t-il ? On pourrait étudier quelle est cette énergie dans l’homme qui résonne avec la nature.
    On peut imaginer et rêver de la symbiose homme nature à venir et qui nous fera collaborer à rescaper le terre quelque soit la hauteur du défi. mais cette symbiose se travaille déjà maintenant. Bernard ne parle pas seulement de l’harmonie parfaite que sentira l’homme supramental avec la nature. Il dit qu’un rôle important est joué par ces forces vitales dont est imprégnée la nature dès le moment où s’enclenche l’évolution. La nature est une alliée déterminante pour quiconque commence à réaliser la nature mensongère de la pensée.

    La nature elle-même s’arrime à nous déjà bien avant les niveaux d’évolution avancée. nous y trouvons une « récupération » d’énergie vitale, dit Bernard, ce qui représenterait même la seule façon pour l’ego chamboulé dans la fulgurance de son processus évolutif « de se donner, à la longue, une sorte d'équilibre sur tous les plans de son être ».

    j'ai encore un point à amener, alors, à suivre...

  • #6

    Edwige (mercredi, 03 avril 2019 18:35)

    "la nature est un éventail d'énergies inhérentes à la structure interne de la matérialité".

    Je réitère on ne peut être d'accord et comprendre ce que veut dire Bernard qu'après avoir fait l'expérience sur le terrain et dans tout son être de cette nature. L’énergie de la nature nous relie à la pureté de son éther qui est en relation avec notre propre énergie de vie, celle que nous nous faisons siphonner par les plans vampiriques "en haut et en bas"…
    L'énergie de la nature est la pompe à carburant de vie pour un ego désorienté par la soudaineté de son processus évolutif ça lui amène "une sorte d'équilibre sur tous les plans de son être". L’ego en voie de conscientisation se syntonise parfaitement avec cette nature qui le régénère de ses forces vitales, tout en devenant un "co-adjudeur" lorsque la nature mensongère de la pensée s'est révélée à lui… Il a d'abord fallu que l'information parviennent jusqu'à lui… Un long processus avant le processus…
    Pratiquer une activité en lien avec la nature favorise une bonne santé en dénouant les tensions, en relaxant, en se distanciant, en réveillant ses sens, … La pratiquer en mode "déconnecté" et/ou en "silence" est bénéfique, la conscience se vivant plus qu'elle ne se parle, sans dogme religieux ni culte d'un silence mystique. Il s'agit bien sûr d'une invitation à "mettre son silencieux" pour évacuer le poids des soucis, des contraintes journalières et écouter la nature qui fait taire les verbiages sans rapport avec elle. C'est également une opportunité d'apprendre à contenir ses projections verbales, véritable "poison émotionnel" pour autrui et une occasion d'adopter des comportements respectueux et écologiques.
    Pratiquer la nature c'est surtout l’occasion de trouver ou re-trouver son propre équilibre grâce à l’énergie des mouvements avec ses balancements à deux temps qui équilibrent l’organisme tout entier, synchronise la structure du corps et facilite l'accroissement de tous nos systèmes neurobiologiques et psychomoteurs. C'est aussi ne souhaiter rien d'autre que d'être "ici et maintenant" afin de s'offrir un moment de "break".
    Le cadeau de la nature est de réaliser qu'à travers elle, sa grandeur et sa beauté en toutes saison, elle est de la même énergie parfaite que celle qui réside en nous. Cette découverte, riche et surprenante est un véritable défi pour un ego en évolution. Ce ressenti est toujours plus flagrant en hiver, sous la neige, quand le moral est en hibernation et que tout alentour n'est que blancheur et silence...

  • #7

    Josée (mercredi, 03 avril 2019 18:38)

    Pour conclure, il y a un point très central pour moi que je veux étudier à partir de ton intro Edwige.
    Bernard parle d’une « mise en relation de l’énergie de la nature et de notre énergie interne » comme si c’était deux mondes qui se rencontrent en dehors de notre ego. J’ai tout de suite vu que je ne comprenais pas tout ça. Je me demandais : Parle-t-il d’une observation des énergies matérielles par le biais du silence mental et de l’attention mentale» ? Est-ce cela qu’il entend par là : une observation de l’énergie de la matière par notre « énergie mentale » ?
    J’ai un peu mieux compris en lisant plus loin quand il dit qu’il faut « que cette énergie de la nature puisse se mélanger à celle du corps matériel, et donner à notre corps matériel une nouvelle vibration sur le plan de l’éther de la terre ».
    Comprendre c'est un grand mot disons que j'ai mesuré le projet grosso modo. J’ai compris du moins que ce dont parle Bernard c’est d’un mélange des énergies ! Il parle carrément du mélange, qui se développe avec la fusion, de l’énergie de la matière de la nature avec l’énergie de la matière de l’homme. wow. Il s'agit de deux énergies subtiles inhérentes à la matière sauf que ces deux matières proviennent de parcours opposés. car Bernard parle comme si ces énergies se distinguaient et il avance cette idée nouvelle disant qu'elles bénéficient même l’une de l’autre. Et cet encouragement ou nourrissement de l’une par l’autre m’indique à quel point ces deux forces visent d’entrer matériellement en contact. En somme (et je suis sous le choc), Bernard nous instruit encore une foie en révélant qu’il y a bénéfice mutuel : que la nature résonne avec l’énergie de la matière très concrète de nos cellules comme nous résonnons avec l’énergie de la matière très concrète de la nature.

    Cette synergie bilatérale entre nous et la nature correspondrait chez nous, dit-il, à une capacité croissante de découvrir et d'ajuster tout mécanisme liant la nature à notre conscience humaine.

    Au fur et à mesure que nous évoluons, dit Bernard, notre fréquentation de la nature se fait de plus en plus dicter par notre capacité de comprendre cette synergie bilatérale (et de moins en moins dicter par notre système de valeurs).

    Le jour où nos cellules humaines et celles de la nature terrestre seront rendues complètement conscientisées, autrement dit morontialisées, autrement dit imprégnées des plus hauts taux vibratoires d’éther, alors seulement la pleine jouissance de l’harmonie fusionnelle sera-t-elle atteinte. La boucle se bouclera enfin. L’homme au bout de son temps, l’homme devenu réellement attentif à son mental, l’homme mental, ne pourra faire autrement que de respecter le double besoin impératif du cosmos : le besoin de la nature terrestre vis-à-vis de son énergie à lui et son propre besoin à lui vis-à-vis des forces vitales dont est imprégnée la nature. L’homme et la nature seront vis-à-vis dans le besoin cosmique impératif de mettre fin à l’expérience astrale.

  • #8

    Edwige (mercredi, 03 avril 2019 18:52)

    Un peu comme dit précédemment, l'énergie de la nature est identique à l'énergie parfaite qui réside en nous, tant qu'elle n'est pas dévoyée par les plans astraux. C'est un véritable défi pour un ego en évolution, surtout en hiver sous la neige, quand tout alentour n'est que blancheur et silence et que, par effet miroir, on entraperçoit ce qui n'a jamais cessé d'exister en nous peu importe le nom qu'on lui donne…
    Il s'agit bien de cette "mise en relation de l’énergie de la nature et de notre énergie interne" dont parle Bernard, deux mondes qui se rencontrent en dehors de notre ego mais sous les deux yeux témoins ébahis de notre ego lorsque cela se produit la première fois... Bon les fois suivantes aussi, on s'y adapte ensuite!!!... Ce peut être en effet une "observation des énergies matérielles par le biais du silence mental et de l’attention mentale" dont tu parles.
    Cette énergie de la nature en se combinant à celle de nos corps matériel et subtils, améliore et rééquilibre notre taux vibratoire plus en adéquation avec celui de l’éther de la terre. J'irai plus loin en ajoutant que ce mélange des énergies de la nature s'accroit exponentiellement avec la fusion dans la matière de l'esprit, de l'âme et de l'ego de l’homme... Il s'agirait plutôt de plusieurs énergies subtiles, inhérentes à la matérialité humaine, sauf que celle de la nature est déjà en nous depuis le début de notre parcours, mais que cette nature nous accompagne depuis l'ère primitive, époque où l'on savait mieux vivre avec elle...
    Dans leurs distinctions ces énergies n'ont cessé de se mutualiser pour un contact primordial lors de l'entrée programmée en processus de fusion. A ce moment-là, la conscience de l'éther de la nature et de son impact sur nous résonne dans l’énergie de nos cellules, ce qui accroit leurs taux vibratoires et celui de notre conscience egoïque. Nous fréquentons maintenant la nature par un besoin viscéral personnel et non plus par ego dans la recherche d'une image de soi "moderne" pour autrui... la boucle est bouclée dans ton résumé final, comme un feu d'artifice qui mettra fin à l’expérience astrale...

  • #9

    Josée (jeudi, 04 avril 2019 04:01)

    Aujourd'hui, remplie de rêverie suite à la relecture des messages ci-haut, je me suis plus forcée pour ressentir l'énergie dont tu parles. Pour moi le silence n'existe pas vraiment, au mieux, ma tête décrit son expérience. J'étais entourée d'un sous-bois de neige granuleuse forcée à fondre et je devinais les milliers de petites racines sur le même branle-bas de réveil mais chacune selon son espèce et je sentais ma tête pensante non seulement d'une autre espèce mais d'une autre origine. Il y a le mystère de l'origine de la cellule végétale et nous avons notre spécificité qui fraye son chemin en diagonale dans ce champ de création. la cellule de l'homme en voie de fusion a besoin de tout ce qui l'entoure provenant de la planète, de l'éther, du soleil et de son double pour accomplir sa mission de point de rencontre et de fusion universelle. On est en fin de cycle, on passe à un immense territoire qui est l'éther qui fait sauter l'impression d'être dans un lieu X . en même temps qu'on fait une distinction-clé entre la nature et soi, entre là matière et soi, l'ego et soi, les images qu'on a et soi, etc., on accueille tout, parce qu'on a besoin de tout. Tout sert à la fusion.

  • #10

    Edwige (vendredi, 05 avril 2019 21:01)

    En fait il n'y a pas à se forcer car le déclic vient un jour, sans savoir pourquoi…Pour avoir côtoyé les plus hauts sommets d'Europe j'avoue que c'est dans les Hautes Pyrénées que ce déclic s'est produit comme si le barrage du "gardien du seuil" s'était ouvert tout seul lorsque je l'ai franchit… Ce déclic va grandissant avec la maturation de la conscience, si j’avais eu cette conscience plus tôt... mais tout est juste et à sa place... En fait la nature ne se dévoile qu’à celui qui est prêt "en vibration" à recevoir consciemment ses informations… ensuite ça continue à "gestationner" en nous jusqu'à l'accouchement...
    Le silence total n'existe pas en effet, ne serait-ce que par les bruits de toutes sortes de notre organisme interne sans compter le sifflements d'oreilles qui deviennent familiers… Et oui on accueille tout, parce qu'on a besoin de tout ce qui sert à la fusion.

  • #11

    Josée (vendredi, 05 avril 2019 21:02)

    au no4 tu parles de l'esprit de l'énergie de la matière, citant l'esprit d'une montagne pour exemple. les asiatiques, du tibet à l'indonésie, communiquent avec astralement cet esprit de montagne. les japonais le font en plus avec l'esprit des cours d'eau. montagnes, cours d'eau, il s'agit d'endroits que d'autres associent à des points telluriques riches en ions négatifs. il s'agit du règne minéral et Rudolf steiner disait que le règne minéral avait son corps éthérique comme la nature vivante mais sur un autre plan, ce qui faisait de cette masse matérielle la plus énorme de toutes.
    enfin pour conclure cet énoncé de théories, un peu de moi. Jeune, j'avais un don concernant le roc, que j'ai tout fait pour perdre parce qu'il me déconcertait de bout en bout. dès que je posais la main sur un flanc rocheux, je ressentais la profondeur du temps qu'avait traversé cette matière. ça avait peut-être commencé dans un petit musée scolaire ou j'avais touché un os préhistorique, pas clair, j'ai aussi de la misère avec cette petite profondeur de temps qu'a traversé ma propre matière.

  • #12

    Edwige (vendredi, 05 avril 2019 21:03)

    L'énergie de la nature vit en nous (comme je l'ai dit plus haut) à condition de "déspiritualiser" et "d'élever" cette énergie jusqu'à notre conscience afin qu'elle dépollue réellement notre mental inférieur pour maintenir une stabilité sur la durée. Rudolf Steiner était au plus près du réel quand il associait l'éther de la nature, cette masse matérielle énorme, à un "autre plan"… qui dépassait l'étage spirituel…
    Ce don avec la matière minérale te connectait sans doute à ton âme qui, comme tu le sais, garde le moindre artéfacts de mémoires, du plus loin qu'on ne peut même se l'imaginer… Encore plus loin et davantage si tu as toujours de "la misère avec cette profondeur de temps que ta propre matière aurait traversé".

  • #13

    Josée (vendredi, 05 avril 2019 21:05)

    tu parles au no4 de la force de la nature dont un aspect agit un peu comme un renforcissant de notre capacité à nous protéger tandis que son autre aspect agit un peu comme un détergeant. je vis ce dernier point. cet impact me surprend tout le temps. je le trouve dans le vent, ou l'espace d'une vue large, ou l'élément accrocheur dont la simple présence me calme, me lave de tout stress, en canalisant spontanément mon attention. il y a nettoyage. tu dis que l'autre pôle de cette force de la nature a un impact complémentaire qui permet au nettoyage de perdurer. 'est vrai que je me sens renforcie dans ma capacité à me protéger à mesure que je demeure dans mon observation.

    je raffolle de cet article, déjà juste du no4 ! à +

  • #14

    Edwige (vendredi, 05 avril 2019 21:06)

    Toutes personnes aimant tant soit peu la nature vit plus ou moins intensément tous ces points mais avec l'inconscience du temps de l'involution… Comme je l'ai souligné fut un temps ou la montagne était ma seule régénération mais sans la conscience du pourquoi ni comment, je ne m'en souciais guerre car j'ignorais tout de ce déclic… Ce qui te surprend au travers des éléments de la nature, vent, espace panoramique etc…, percutent la conscience, avec des effets secondaires d'une présence calmante et apaisante sur un ego qui ne se sent plus tout seul... Demeurer dans cette observation renforce le lien avec ce contact invisible, il devient omniprésent pour un jour naître au grand jour… Il semblerait que ce jour s'en vient pour toi…

  • #15

    Josée (vendredi, 05 avril 2019 21:08)

    c'est fou je viens de vivre la différence entre être dominée par le double et être conduite par le double. quand j'ai écrit le no11, alors même que je précisais "raffoler' de cet article, j'étais imprégnée de chagrin et d'auto-apitoiement, j'étais dominée par le double, je me sentais comme le vieil intello a la nasa qui compile le reportage de l,astronaute et en finissant de publier j'ai dit à mon compagnon qui passait "je me sens comme une vieille intello", ce à quoi il a rétorqué "mais tu es une vieille intello". saisie dans un 1er temps, je suis partie à rire. j'ai écouté le conseil que marc m'avait donné plus tôt, qu'il ne fallait pas dire que tout était perdu pour mes jambes, "volonté!" alors, à mon corps défendant (car j'étais épuisée) je suis allée dehors renouer avec l'habitude de toute une vie qui est de profiter d'une visite dans la nature pour conscientiser mon corps, ce que j'ai fait durant 2 heures. et j'ai réalisé que cette vieille habitude m'a sans doute bien plus aidée que je pensais - dans ma drôle de vie, à cause de cette communication (qui transcende l'eg) entre la matière de mon corps (qui est énergie pour moi) et celle de la nature (qui finalement l'est aussi).
    le double m'a conduite dans cette session d' "eutonie" aujourd'hui et je suivais sans me rendre compte de ce que je faisais. ça ressemble oui et non à ce qui passait avant, à ce qui s'est passé toute ma vie involutive. je me répète mais c'est vrai. à 18 ans, je courais dans la nature, c'étais la mode et j'avais 18 à 10 ans et je rêvais de trouver l'homme de ma vie dans le bois mais le fait est que j'avais besoin de courir. puis j'ai eu un chalet rustique dans le bois ou je faisais entre autres du yoga en écoutant des cassettes de bernard une heure par jour dès 81 ce qui a duré des années.
    j'ai toujours eu cette attention à on corps dans la nature. quel meilleur endroit pour s'y synthoniser, s'y "holistiser", s'y "eutoniser" dans le sens de respecter les moindres besoins corporels à la grandeur de cet engin. j'ai toujours vu mon corps avec un certain recul, un peu comme mon enfant, comme le bout de planète qui m'est le plus proche et le plus sous ma responsabilité. mais je comprends maintenant que ça va tellement plus loin. je suis autant responsable de mon corps que de mon évolution et que du reste de l,ensemble de l'éther puisque tout est relié ! et c'est vrai ce que tu dis edwige, la couche protectrice anti-astral est efficace et ne laisse passer qu'une rumba d'enthousiasme.. qu'on va prendre !

  • #16

    Edwige (vendredi, 05 avril 2019 21:10)

    Oui tout va toujours plus loin, c'est notre chienlit de mémoire astro-émotionnelle qui bouche notre vue au réel. Pour cela le double nous impose des contraintes contrastantes polarisantes comme l'alitement ou l'hyperactivité qui amène à de la fatigue et vous oblige à vous aliter a nouveau (domination du double)…
    Alors que tout est une question de dosage de l'énergie d'effort à placer dans une choses et dans une autre…
    Le fait de ressortir marcher après de longs jours assis ou couché nous donne une bonne mesure et un regard neuf à chaque sortie (accompagnement du double) sur cette énergie qui nous traverse de plus en plus… parce que notre taux vibratoire fait voler en éclats tous nos vieux schémas y compris biochimiques et physiques. Et ça tant qu'on en prend pas conscience on se plaindra de son immobilisme ou au contraire de ces tonnes de choses à faire en retard dans les placards…
    Nous sommes responsables de notre véhicule corporel et de l'évolution de notre ego, les deux étant syntones avec l'éther de la nature, l'intégration de ces notions rend très efficace notre auto-protection contre les invasions astrales…

  • #17

    Josée (vendredi, 05 avril 2019 21:12)

    c'est trop récent pour l'avoir oublié : de novembre à janvier, alors que justement j'étais tous les jours dans la vaste nature, je me sentais très très forte. ça remonte dans le temps mais le fait est que ce temps de force a eu lieu exactement durant une routine de marche sur le lac. je ne faisais pas le lien entre ma situation géographique et ma stabilité mentale. je roulais sur l'or, ronde comme un oeuf, ne me voyant pas tant épargnée par le double (comme dans l'optique d'une pause) que plus forte face à lui.
    je me voyais imperméabilisée aux aléas habituels de ma faiblesse face aux tests du double, "revivifiée et protégée par ma propre puissance" (pour reprendre ta description du pouvoir auto-protecteur de la nature) et pas du tout revivifiée ou protégée par une puissance issue de mon environnement matériel vibrant d'énergie.
    toute fière de moi-même que j'étais, je m'étais quand même demandé d'oû venait cette force de résistance au double. mais à cause de l'excitation de la fierté, je me l'étais demandé intellectuellement, jonglant avec mes théories du moment et en vain. l'amour de la nature était là mais sentimental, il était égocentrique, un motif de fierté supplémentaire, pas une perceptivité de l'effet stabilisateur de la nature. j'étais hypnotisée par ma fierté et sous l'impression de vivre une gloire personnelle, un record d'insouciance olympique.

    ce n'est qu'à l'instant que je comprends tout ça. je tiens ce coup de pouce de ton très précieux no 4. je n'ai commencé à ressentir mon bloccage qu'hier. merci beaucoup edwige. je sens que je vais commencer ces jours-ci à respecter la nature non pas sentimentalement ou pour le répit social qu'elle procure mais en tant qu'énergie en soi.

    vive 2019, alors que l'une ou l'autre de nous deux dévoilera l'inconnu mystère par mystère… . cette époque est si riche scientifiquement par le mental et on a tellement besoin de tous les outils de l'environnement dont on dispose ! je vis la même expansion de conscience que le jour oû j'ai commencé à complètement respecter ma mère, mon compagnon, etc., l'année passée. quel déblocage quand on commence à absolument distinguer de soi-même ce qui est devant soi ! pas de fusion sans cette contenance de nos images faussement unificatrices. le réel n'est pas une soupe, l'astral est la soupe
    traditionnelle de notre enfance.

    même si mon respect de la nature, étant encore à ses débuts, risque de demeurer un peu teinté intellectuel et sentimental, le nouveau c'est que désormais j'admets que l'énergie de la nature existe et existe à côté de l'énergie qui passe dans mon canal. en lisant ton no4 j'ai été frappée par ta comparaison que tu fais entre les deux :
    "La lumière de l'énergie de l'esprit est une force qui a un but propre: celle de marteler l'ego pour l'amener à fusionner avec lui pour la création du double éthérique. La lumière de l'énergie de la montagne ou de la nature, dans son éther, est composée de deux forces polarisées pour ses propres besoins en tant qu'organisme vivant autonome et indépendant. Elles se revivifie et se protège à la fois par sa propre puissance…"

    la nature a survécu, comme tu dis, à tous les cataclysmes. sa fonctionnalité est à toute épreuve. maintenant, elle devra quand même faire son propre grand bond un jour, avec le mental de l'homme, vers la dépolarisation peut-être ? en attendant, moi dans ma polarité, je profite de la sienne. il y a naissance de respect, donc d'échange, d'enrichissement mutuel et de science mentale.

  • #18

    Edwige (vendredi, 05 avril 2019 21:15)

    Bien heureuse pour toi que cette compréhension vienne à la suite d'un prolongement d'une position horizontale, contre ta volonté, qui te permets aujourd'hui de comprendre le sens de l'énergie de cette nature qui t'enlace et te donne tout à gogo et gratuitement… Quand vient le respect pour cette nature, qui nous a porté mieux qu'une mère, notre énergie nous revient décuplée au lieu d'être le plus souvent vampirisée par cette mère qui a cru nous aimer... La nature n'est plus jamais utilisée comme un outil astral pour des records sportifs, pour satisfaire un ego toujours plus gourmand sentimental, égocentrique, etc…
    2019 nous dévoilera l'inconnu, sans aucun doute, grâce aux outils dont nous disposons, sans la soupe astralisée qu'on nous sert habituellement dans les médias. Admettre que l'énergie de la nature existe en parallèle de l'énergie qui nous traverse nous permettra de fusionner pour nous unifier à notre double éthérique, matérialisé et totalement dépolarisé.

  • #19

    josée (dimanche, 07 avril 2019 22:19)

    pour l'ego, c'est une révolution tranquille que celle qui commence quand il s'ouvre en conscience à ressentir que l'énergie de la nature existe en parallèle de l'énergie mentale qui le traverse. il ne peut plus commettre de déséquilibres personnels, comme des démonstrations de productivité etc., tant qu'il se garde connecté, en ouverture et observation d'un tout qui inclut son corps en résonnance au mystère de la nature.

  • #20

    Edwige (lundi, 08 avril 2019 15:26)

    Exact et on pourrait même se risquer à parier une main pour affirmer que ce ressenti aide l'énergie de la lumière de notre diamantaire d'esprit a mieux travailler l'ego brut pour en faire un ego lumineux…

  • #21

    josée (mardi, 09 avril 2019 02:53)

    l,ego en évolution ouvert à la nature est plus présent à la gestion de son équilibre grâce à la connection entre les énergies matérielles qui sont dans la nature et les énergies matérielles en mutation qui sont dans l'âme multidimensionnelle qui lui est associée.

  • #22

    Edwige (mercredi, 10 avril 2019 05:15)

    Tous problèmes d'énergies matérielles en mutation porte leurs solutions en elles... Celle de ne voir aucun problème lorsque elles aussi ne sont que des tests pour mieux s'observer et traquer, comme un détective, la moindre dichotomie en soi qui nous ferait passer pour un usurpateur... Quand j'ai un doute je laisse l'énergie de la montagne me rappeler que nous sommes sans qualité ni défaut... Quand je reviens dans le monde celui-ci réussi toujours a s'infiltrer dans mes failles pour me faire réviser mon jugement sur moi-même, les choses, la vie, les gens... J'imagine que c'est un processus normal, pas de quoi s'alarmer, c'est juste bon de partager avec des personnes qui sont dans le même labyrinthe mémoriel amimique...

  • #23

    Josee (mardi, 30 avril 2019 16:11)

    Peut-être est-ce que tu nourris un certain jugement sur toi-même, les choses, la vie, les gens, etc., quand tu reviens en montagne, mais que tu le fais si subtilement que tu ne te rends compte que du retour de balancier quand tu reviens en ville ? C'est dur mais c'est vrai que tout ce qui est en dehors du morontiel est polarisé.

  • #24

    Edwige (mercredi, 01 mai 2019 09:22)

    Nous sommes polarisés dès la première bouffée d'oxygène, probablement jusqu'à la dernière, sur un globe terrestre qui doit sa gravité à la polarité même.

    Les jugements subtils sur soi-même, nourrit au travers les jugements des autres, sont en effet des boomerangs car autrui agit sur nous comme un miroir grossissant…

    Mais il arrive un temps ou notre indépendance des autres nous fait briser ces miroirs qui ne nous servent plus… On se distancie, on se recroqueville sur soi parce que tous ces nous-mêmes ne sont plus nous… Le processus nous en éloigne et revenir en ville demande de monter de plus en plus haut son curseur de tolérance, parfois juste le temps de faire ses courses… C'est l'adaptation de l'intelligence éthérique…

  • #25

    ��� (samedi, 04 mai 2019 03:26)

    Les mémoires à intégrer, tout se cachant, deviennent si vives que ma journée devenue une tempête dans un verre d'eau n'a pas le luxe de faire autre chose que du contrôle de dégâts et alors les mémoires anonymes en train de s'intégrer s'estompent à vue d'œil: je respire, l'intelligence est revenue.

  • #26

    Edwige (samedi, 04 mai 2019 09:13)

    Un retour d'un voyage lointain et idyllique dans le réel de la vraie vie d' une fin de saison hivernale et sa fonte des neiges... Neige qu'on avait tant attendue pour nous faire encore rêver dans sa blancheur et pour marcher sur ce manteau immaculé...

    La nature, comme la personnalité ou le caractère humain, à ses revers de médaille, elle nous montre une autre facette d'elle-même et pas celle des bisounours spirituels…
    On la déspiritualise, de gré ou de force, car son esprit nous teste également par tous les temps de sa propre météo, elle nous surprend toujours par ces tests qui peuvent virer aux "cauchemars-tests"…

    Mais avec l'intelligence de l'esprit, tempêtes et inondations deviennent des petits remous dans un verre d'eau... face aux remous des mémoires emportées par l'eau des crues.

    Il sera toujours temps après la tempête de contrôler et de réparer les dégâts, dont on se relève toujours, par la force de nos résilience…et du supra-ouil Jedi… Allez on respiiiiiiire…

  • #27

    josee (samedi, 01 juin 2019 13:59)

    Et je me permets là-dessus un peu de nostalgie :
    Vers 1982 un homme à tout faire dans une club de pêche (qui était complètement analphabète et écrivait avec des dessins) avait dit "le printemps c'est comme le paradis".
    vers 1989 un trappeur de lièvres et chasseur d'outardes au tire-roche (qui n'avait appris l'écriture qu'à 12 ans) avait dit "la nature te trahira jamais".
    Faut-il préciser que ces deux homme parlaient très peu ?
    Et là-dessus je laisse aller la chimère du passé.
    Ces hommes ont contribué à la relation que j'ai avec la nature, comme l'ont aussi fait d'autres à qui je pense, incluant toi-même, chère Edwige.

  • #28

    Edwige (lundi, 03 juin 2019 10:57)

    La nature dans ce paradis terrestre ne nous trahis jamais, on aime son esprit qui nous aime aussi. Car on connait son tempérament et ses météos entre la journée la plus torride et la plus verglaçante, avec ses pluie diluviennes et ses foudres, on sait a quoi s'en tenir avec elle.

  • #29

    Josee (lundi, 03 juin 2019 12:23)

    Comment recevoir sans amour un comportement aussi complètement franc-jeu ? Si je suis entourée de nature mais prise par mes jeux mentaus, je regarderai chaque élément du décor comme une métaphore de mes soucis, car rien n'est plus riche en métaphore que la nature. La poésie s'inspirait de la nature mais par un regard polarisé soucieux et spiritualisé par dessus le souci pour cacher le négatif. L'échange avec la nature augmente en profondeur en jouant franc jeu nous aussi face à nous-mêmes. C'est un cours en invulnérabilité, en capacité à ne plus être affecté par l'orage ni l'infestation (laquelle infestation finissant d'ailleurs par ne plus revenir).

  • #30

    Edwige (mardi, 04 juin 2019 09:17)

    La nature se prête aux jeux métaphoriques comme les animaux qui l'habitent, on est souvent enclin à faire de l'anthropomorphisme, observer leur esprit à notre image ou à nos réactions humaines.

    Ce cours en vulnérabilité pour les nuls peut en effet potentialiser nos capacités à vaincre la peur séculaire des orages, du tonnerre et des éclairs…

    On reçoit de la nature avec la même intensité du franc-jeu qu'on lui à donné…

  • #31

    Josee (mardi, 04 juin 2019 11:51)

    Quand je transplante, je communique verbalement non pas avec la plante ni même avec le collectif de son espèce, mais avec le personnel en charge de ses racines. Ce qui m'impressionne dans un grand arbre, c'est la performance accomplie par sa population d,employés. La vie est une ruche qui grouille et qui pullule d'ingéniosité. Dans ma cuisine les fuits et légumes ne perdent que très lentement leur population. Les animaux sont gérés par des mondes internes aux prises avec leurs pulsions astrales tandis que les roches semblent avoir un "i-cloud" éthérique quelque part en de hors mais en lien.

  • #32

    Edwige (mercredi, 05 juin 2019 10:19)

    Il est bon de rendre "justice" à tout ce microcosme sans qui le recyclage de la matière organique, la fertilité du sol et le nourrissage d'autres espèces n'aurait pas lieux.
    Chaque univers sous-terre est régit par ses propres lois, comme sur terre…
    Pour avoir une réelle conscience de ce qu'ils sont on les observer avec une loupe grossissante, on remarque qu'il y a une créativité de toute beauté dans ces microcopiques univers, ex. les lichens.

  • #33

    josee (mercredi, 05 juin 2019 20:22)

    je voulais parler de la vie, de la vitalité de la création, assurée par les forces de vie qui travaillent sans relâche depuis le plan éthérique et depuis toujours. ce que tu amènes est intéressant et plus concret, le travail des forces de vie sur les racines passe peut-être essentiellement par ces bactéries et ces champignons et ces algues microscopiques. ce sujet me passionne complètement.
    mais tu parles de lichen, est-ce qu'il y a du lichen aux sommets des Pyrénées ?

  • #34

    Josee (jeudi, 06 juin 2019 02:10)

    Je me demande quel rôle jouent les forces éthériques de vie dans l'activité des microorganismes. Quand on sait que chaque espèce absorbe un lot particulier de minéraux du sol, peut-être que les forces de vie en place assurent ces besoins en passant par les bactéries etc.

  • #35

    Edwige (vendredi, 07 juin 2019 08:36)

    Oui les Pyrénées, comme les Alpes ou tout autre endroit non dégradé, regorgent de lichens souvent de toute beauté!

    Les forces éthériques de vie participent aux activités des microorganismes de façon à générer un équilibre écologique, dont nous faisons partie, étant constitués d'autant de minéraux dont nous avons besoin pour accomplir également nos propres fonctions.

    Dans la nature rien ne se perd tout se crée, dans un cycle incessant et continu…En dépit des irresponsabilités de l'homme cette nature est programmée pour ressusciter de ses cendres quoi qu'il lui en coûte…ce n'est pas le cas des humains…

  • #36

    Josee (samedi, 08 juin 2019 01:59)

    Des âmes mortes, des zombies vivants, des intraterrestres immigrés des planètes voisines (rouages astraux), des sataniques prêts au chantage tellurique... Heureusement que la terre a ses billiards de trilliards de bactéries et d'êtres élémentaux pour lui caresser la peau.

  • #37

    Edwige (mardi, 11 juin 2019 10:19)

    Quand on marche sur cette belle "pla-nette" on n'y voit que la beauté en surface sans se soucier de ce quelle peut bien vivre en son intérieur..., comme notre voisin de pallier qui en a rien à faire de nos soucis internes pourvu d'être courtois quand on le croise...

  • #38

    josee (mardi, 11 juin 2019 19:11)

    très graphique ! tu devrais faire de la bande dessinée !

  • #39

    Edwige (vendredi, 14 juin 2019 09:58)

    Pourquoi pas? "l'énergie de la nature pour les nuls"... clin d'oeil de l'arbre qui sourit...

  • #40

    Josee (vendredi, 14 juin 2019 12:31)

    Qui sait ? Tu pourrais la faire Illustrer par un voisin pas trop loin et pas trop arrêté dans ses formes. Ça se trouve.

  • #41

    Edwige (lundi, 17 juin 2019 05:35)

    Un voisin?... on est jamais mieux servi que par soi-même...

  • #42

    Josee (lundi, 17 juin 2019 13:14)

    Et on est jamais mieux servi que pour soi-même, sans s'encombrer de l'idée-même de l'aide aux autres, en faisant notre message sur focus ou notre randonnée en compagnie pour la seule raison d'un soulagement profond.

  • #43

    Josee (lundi, 17 juin 2019 14:23)

    La gestion du double est un égoïsme nécessaire. Ça transforme la dépendance aux autres en puissance autonome. On le fait par soi-même et pour soi-même. Et tout le monde subtilement en profite, que ça soit en lisant le livre que tu écris à l'intérieur de cet "égoïsme", que ça soit en partageant ta randonnée.

  • #44

    Edwige (mardi, 18 juin 2019 10:02)

    Un jour on se lève et on réalise que faire les choses pour les autres, pour leur plaisir, pour être aimé, par gentillesse ça n'est que du conditionnement spirituel qui nous fait passer l'autre avant soi, pour nous faire oublier jusqu'a notre propre identité… quitte à mourir pour lui…

    Quand l'ego comprend que personne, mieux que lui-même, ne peut mieux le combler, une fois comblé par lui-même, soulagé profondément, son double peut rayonner… résultats : plus de dépendance à quelques images ou regard extérieur, récupération de ses propres pouvoirs. Ces rayons aident les autres à son insu… d'autant mieux que qu'il n'y avait aucune arrière-pensées de glorification égotique, que ce soit sur focus ou sur les sentiers…

  • #45

    Josée (jeudi, 20 juin 2019 04:16)

    L'ego a sans cesse renforci son champ magnétique spirituel où ont su le retenir toutes les attitudes pouvant correspondre aux valeurs correspondant à ses attitudes. Il reconnaissait vaguement la circularité de sa vie mais lanourrissait par crainte spirituelle de l'invisible (et ceci se voit aussi chez les athés). Mais il n'y a aucune réalité à l'intérieur de l'ego, c'est un canal, et la réalité (=l'éther) passera par le canal à mesure que le champ magnétique spirituel sera démantelé. Rayonner comme tu l'expliques, canaliser la lumière, éclairer à la ronde, voilà ce qui nous attend à la porte de sortie de la spiritualité.

  • #46

    Edwige (samedi, 22 juin 2019 08:56)

    L'ego s'est enrichi de l'énergie de ses multiples personnalités au fur et à mesure de ses incarnations.

    Il a fait ce qu'il pouvait avec son temps, sa programmation, ses conditionnements environnementaux etc…

    L'ego est un canal par lequel entre la lumière de l'esprit qui le burine, le nettoie de ses miasmes et scories millénaires pour devenir un ego lumineux qui irradiera à la ronde de son énergie désastralisée.

  • #47

    Josee (samedi, 22 juin 2019 13:41)

    L'ego opaque, l'ego asujetti, l'ego en fausse identité... N'est qu'un ego affublé d'un périsprit. Son problème est qu'il a de mauvaises fréquentations.
    Seule la lumière, c'est à dire l'éther c'est à dire le réel peut récupérer la situation. Il s'agit d'une vibration qui n'a jamais existé sur terre. Au début, elle n'avait qu'un avatar : l'instruction de bernard. Le contact avec ce rayon a déclenché l'initiation d'autres personnes et fait que leur ego à eux aussi puisse le canaliser et charger le voltage de leur résonance vibratoire. C'est alors que s'enfilent les étapes de l'ascension vibratoire des cellules cérébrales dans leur métamorphose en canal. Canal où s'installe à demeure le pouvoir de l'homme, de par sa lumière, la lumière qui développe une permanence en lui, de buriner dans les miasmes de sa mémoire, conjointement avec les tests du double toujours formateurs parce qu'il est toujours à la hauteur... Presque !

  • #48

    Edwige (vendredi, 28 juin 2019 21:37)

    La camisole de l'ego, appelé périsprit, l'a protégé d'un trop grand afflue de hautes vibrations qui l'auraient empêché d'évoluer graduellement, à son rythme, contrairement à l'avatar Bernard qui a eu beaucoup de temps pour se remettre de cette brutale pénétration d'énergies dans tous ses corps physiques et subtils.

    La lumière de l'énergie esprit est de même essence que la lumière de l'âme, elles travaillent conjointement sur l'ego chacune avec son programme et son agenda.

    L'initiation des egos estampillés pour se conscientiser sont des essuyeurs de plâtres pour d'autres egos vivants, survivants ou à venir… élèves qui eux sauront dépasser leurs avatars d'aujourdhui...

  • #49

    Josee (samedi, 29 juin 2019 04:31)

    Les survivants de mort clinique racontent avoir revu leur vie défiler comme un film après être sortis de leur corps matériel. Ces témoignages préparent un peu notre consncience à la notion de fusion avec la mémoire.
    Quand c'est dans l'éther hypersensible que sera intégrée la mémoire, le temps d'"exposition" à la mémoire doit effectivement tenir en compte de cette suprasensibilité de l'éther.
    De plus, la pile de dossiers pèse de tout son poids émotionnel quand on parle de l'intégration évolutive. Le film de notre vie qui défile lors du décès karmique remplit un rôle beaucoup moins émotionnellement engageant pour l'être, c'est pourquoi cette présentation-là tient en si peu de temps.
    Ce qui par contre est mobilisé au cours du processus d'intégration réelle de nos mémoires est énorme, les forces en jeu sont galactiques sinon universelles, l'enjeu relie l'alpha et l'omega, c'est un volte-face de la création du "temps". Chacun de nous, lors de notre éventuel passage par ce moment-pivot, découvrira que, derrière sa petite histoire, il y a la magnétude de grands mouvements cosmiques oppositionnels. Et ça il le découvrira en réalisant tout simplement le solutionnement de sa propre énigme personnelle, à savoir : pourquoi n'a t il jamais pu être heureux malgré tous ses efforts ?
    L'homme en se conscientisant devient le détective qui remonte la piste des hautes vibrations qu'il neutralise au fur et à mesure de leur présentation graduelle dans l'énergie qui oeuvre dans sa programmation.

  • #50

    Josee (lundi, 01 juillet 2019 14:17)

    L'homme conscient n'est pas un détective à la recherche de choses, c'est un homme debout, il est le chêne qui ne fléchit pas mais ne casse pas non plus. Il ne cherche pas, il est constamment rejoint parles éléments de sa programmation qui un après l'autre le trouvent debout, inflexible et incassable. Cette programmation est une confrontation à sa mémoire collective qui jadis a fait de lui un pantin désarticulé. Chêne, il découvre son centre et quand il est dans la nature, qu'il observe l'oiseau sur l'arbre, il est "trouvé" par une abondance de nouveaux éléments originaux : il se fait expliquer toute une richesse. S'individualiser c'est se faire trouver par le savoir infini.

  • #51

    Edwige (mercredi, 03 juillet 2019 12:30)

    La Relation de l'homme avec la nature, est un retour vers la source de l'énergie primordiale qui le prépare à discerner un processus de mortalité réelle et un accident de parcours qui lui fait entrevoir ce qui est stocké dans le cordon d'argent, tunnel vers le plan astral.

    Si nous prenions conscience que rien ne peut détruire nos mémoires car elles sont sous scellés dans des étagères de la grande bibliothèque cosmique, ce serait plus facile de se concentrer à défaire le lien émotionnel qui nous rattache à ces mémoires, c'est ce lien qui provoque souffrances et malaises dans tous nos corps…

    C'est probablement le plus gros travail à accomplir dans ce processus de nettoyage de l'ego évolutif avant de devenir totalement individuel et l'énergie de la nature peut nous être d'une aide salutaire pour peu qu'on en est perçu sa subtilité.

  • #52

    Josee (mercredi, 03 juillet 2019 14:20)

    Steiner dit que chaque instance des trois règnes, le minéral, le végétal et l'animal, possède un corps astral et un corps éthérique, que oui la plante a un corps astral et oui le roc en a un aussi, en plus d'un corps éthérique. Ceci bouleverse les idées reçues et soulève des questions sur les conditions dans lesquelles les règnes expérimentent le cordon d'argent : ont-ils tous des devas ? C'est intéressant de voir l'arbre ou l'oiseau comme un avatar d'une âme groupe. Ces notions mentales qui font partie de leur "subtilité" remplacent une perception d'eux faite d'écoute du vide chez les personnes manquant d'écoute comme moi. Mais tous les chemins mènent à rome !

  • #53

    Edwige (jeudi, 04 juillet 2019 12:16)

    Nous faisons partie de ces instances qui étaient là avant le règne humain. Quoi de plus logique que chacun ait une couche astrale et éthérique qui lui permette d'être et de rester en lien énergétique avec les familles de son propre règne, comme nous le faisons imparfaitement car grossièrement entre nous les humains

    Nous savons maintenant que les arbres communiquent entre eux par le forestier Peter Wohlleben qui nous apprend comment s’organise la société des arbres. Les forêts ressemblent à des communautés humaines, les parents vivent avec leurs enfants et les aident à grandir. Les arbres répondent avec ingéniosité aux dangers, leur système radiculaire, semblable à un réseau internet végétal, leur permet de partager des nutriments avec les arbres malades et de communiquer entre eux, leurs racines peuvent perdurer plus de dix mille ans…

    Concernant les devas, émanants, élémentaux ou autres dénominations il nous arrive avec notre sensibilité de percevoir des formes dans les rochers, les arbres, l'eau, les nuages etc…

    Chacun interprète ces formes selon son niveau d'évolution et de neutralité mais surtout sans y prêter le moindre pouvoir ou émotion au risque de rester plafonné au monde astral.

    La nature à ses regroupement familiaux, tous communiquent parfaitement entre eux et souvent mieux que nous car en effet ils ont une "écoute" bien plus parfaite et élaborée que la nôtre.

    Paris ne s'est pas fait en un seul jour…

  • #54

    Josee (jeudi, 04 juillet 2019 20:42)

    L'écoute demande une mentation aérée, capable d'être interrompue le temps de porter son attention à autre chose qu'une considération égocentrique.
    On est passé du paysan qui se recueille durant son repos
    au navigateur qui s'oriente par ses propres observations
    au berger qui lit la météo dans le ciel
    ...
    au commensal penché sur les touches de son téléphone et qui ne verra vraiment son repas que pour jauger s'il le prend en photo.
    La tendance en promotion est de charger toujours plus la capacité d'attention. Le retraité déménage dans la nature pour jouer avec des moteurs, le jeune se rend dans la nature pour étrenner ses jouets motorisés, mais derrière cette pollution sonore il y a l'être qui crie qu'il a besoin de communiquer avec la nature. Seulement, l'écoute est devenue ce qui demande le plus grand effort tant les formes ne cessent de se multiplier dans la psyché humaine.

  • #55

    Edwige (mardi, 09 juillet 2019 10:20)

    L'écoute attentive demande une concentration élevée sur "le fond" de ce qui se dit et non sur la forme…

    Une écoute qui s'interrompt est une écoute flottante ou distraite par des pensées parasites qui rompt le lien réel avec l'autre… Si on est capable de ne pas "écouter l'autre" il faut être capable de ne pas se sentir "entendu par l'autre", qui revient à dire zéro échange ou bavardages inutiles.

    La capacité d'attention dépend de la capacité d'ouverture à l'échange et à en recevoir les bénéfices secondaires.

    L'écoute est devenue ce qui demande le plus grand effort par une fâcheuse tendance à ne s'écouter que soi-même…

    Peu importe ce qui arrive à nos oreilles, la psyché humaine sachant interpréter le condensé du fond en ignorant la touffe de la forme.

  • #56

    Josee (mardi, 16 juillet 2019 02:38)

    S'écouter penser, c'est une passivité sans volonté. L'écoute active et volontaire, qu'il s'agisse d'écouter ce qu'on pense ou d'écouter ce qui se passe, ce qui se passe autour ou dans l'autre ou dans son corps ou dans notre intuition, etc etc, est déjà un genre d'échange psychique interne, une lutte pour contrer la réflexion qui ramène dans la forme. Ce n'est pas la forme qu'il faut aimer et chercher ou fuir et haïr. L'écoute commence en lâchant volontairement la réflexion, un monde de miroir où on erre passivement, pour jauger l'énergie à partir d'un échange interne qui s'arrache volontairement à la réflexion et écoute ce que dit le double sur l'énergie qu'on a sous les yeux.

  • #57

    Edwige (jeudi, 18 juillet 2019 08:56)

    Les pensées qui ne nous appartiennent vont et viennent sans retenir notre attention, nous savons que c'est le seul moyen pour les dégouter de nous harceler…

    L'écoute "active et volontaire" ne se conçoit que pour l'attention portée à son esprit, à son véhicule corporel, à autrui ou à un environnement qui capte notre intérêt.

    Cet intérêt peut valoir une écoute à sens unique qui n'à pas forcément besoin d'échange ou de réflexion, mais sera considérée comme une nourriture pour le mental en favorisant le lâchage du réflexif au profit des énergies ambiantes.

  • #58

    josee (samedi, 20 juillet 2019 20:34)

    si on n'est pas tout avec l'énergie, dans une gestion du travail du rayon, alors on est automatiquement tout avec la forme, dans la réflexion.

  • #59

    Edwige (lundi, 22 juillet 2019 08:38)

    Le tout est de ne pas être ou se faire diviser

  • #60

    Edwige (mercredi, 30 octobre 2019 15:53)

    l y a de la subjectivité émotive dans toute observation des choses dans leur état brut. Cette émotivité colore ce qui est observé selon divers paramètres liés au tempérament, caractère, vécu, perceptions intuitives, etc…

    La vision propre à chacun est reliée à des capacités créatives et/ou artistiques que ne possède aucun appareil aussi performant soit-il…

    Aucun outil ne peut remplacer le regard de notre esprit qui voit au travers du vide…

    Dans ce vide il prend la matière disponible pour sculpter la forme… Le réel est visible dans l'occulte de cette forme, là où tout n'est qu'énergie de création…

  • #61

    muriel (mercredi, 21 juin 2023 20:49)

    L' intelligence de la nature est manifestée dans l harmonie qu' elle nous "échange " à travers la beauté ,l'abondance . La plénitude ,la quiétude est un besoin de l 'Esprit et la nature de par sa nature originelle d'énergie absolue de vie est un complément essentiel à l' équilibre de l homme sur la planète terre .