Écrire


Edwige

Du besoin d'écrire découle la nécessité urgente d'écrire, ce peut être l'inverse…

Dans les deux cas besoin et nécessité sont deux vases communicants qui permettent de garder l'équilibre de leur contenu en se déversant l'un dans l'autre, ou en se remplissant l'un de l'autre du trop-plein d’énergie mentale. L'énergie mentale à profusion a besoin d'atteindre un but. Pour se faire elle se sert de l'Intelligence et du discernement dans toutes les parties de nous, en équilibre dans notre centre. Chaque énergie associée à un principe a un but à atteindre, même si volonté et intelligence se rejoignent à un moment donné avec le principe de l'Amour. Cet océan d'énergies mentales, qui empli nos oreilles et notre cerveau jour et nuit, doit être appréhendé avec justesse pour ne pas succomber aux puissantes interférences des âmes désincarnées qui tentent, par leur séduction, de fidéliser l'ego fat de lui-même.

 

La vibration à aller chercher se niche dans les 3 principes Volonté, Intelligence, Amour. Dans un premier temps derrière le principe de la volonté et celui de l'intelligence existe la vibration de l'énergie de l'intelligence de l'esprit universel et individuel, la vibration de l'énergie de l'intelligence du double éthérique, la vibration de l'énergie de l'ego en processus même si celui-ci est encore coloré par les réflexes de survies de son cerveau reptilien. Quand vient le temps, au fur et à mesure du processus d'écriture, l'énergie de l'Amour apparaît à notre insu. Cette énergie contient également la vibration de l'énergie de l'intelligence de l'esprit universel et individuel, la vibration de l'énergie de l'intelligence du double éthérique, la vibration de l'énergie de l'ego et de l'âme parfaitement désastralisés...

 

L'énergie de l'Amour est le ciment éthérique qui consolide l'ensemble du triangle tout comme le discernement qui se trouve au centre des 3 cerveaux intuitif/rationnel/émotif. La transcendance d'un don d'écriture est la sublimation désastralisée d'une énergie émotive qui n'a pu se placer ailleurs dans un autre art. Les hautes fréquences de sa vibration personelle est un répulsif pour les parasites de tous acabits.

 

L'esprit en tant que lumière de l'ego met le focus sur le premier attribut originel de l'âme, qui dans l'étincelle atomique de sa création contient les 3 principes de son créateur. Cependant étant assujettie à un programme d'expériences dépolarisées, au fils du temps elle est devenue, proportionnellement à l'évolution de l'ego, le sac animique qui stocke la moindre énergie d'expériences évènementielle et émotive. L'âme donne du fil à retordre à l'ego par la reviviscence d'émotions au travers chaque évènements, chocs, etc. qui accomplissent leurs œuvres celui de la transformation et de l'évolution de l'ego. On sort des croyances, de la naïveté de l'âme et de sa quête d'expériences qui vibrent avec ses besoins propres quand on expérimente une écriture télépathique sous tendue par l'énergie de l'esprit universel et de l'énergie du double éthérique, inspirés eux-mêmes par leur propre source. L'esprit individuel est la lumière de l'ego qui peut avoir des coupures de courant, en nous plongeant dans l'obscurité elles créent en nous le besoin du retour de cette lumière. Quand la lumière revient on s'attache de plus en plus à la vibration de cette lumière et de moins en moins aux miroitements des besoins d'expérience de l'âme.

 

La lumière de l'ego met le spot sur ce qui est à descendre. Cette lampe torche puissance éclaire le matériel qui coule de source abondamment, il est impossible de s'égarer sur un autre chemin, impossible d'aller dans les traverses de l'ego ou de l'intellect. L'écriture est porteuse d'informations supramentales dans la mesure où l'ego lui cède sa mainmise. Il peut consentir à faire sa révérence à l'énergie mentale quand il se sent en sécurité débarrassé de l'astralité dans toutes ses facettes. La lumière de l'énergie de l'esprit, qui éclaire l'ego, lui montre où puiser de l'information non colorées par de basses vibrations, Ça prend une durée de temps qui est programmée pour chacun.

 

Le plan mental ébauche une préface, la source développe les chapitres. Pour aller chercher le matériel dans sa source l'ego utilise sa personnalité, son caractère et son tempérament en processus de conscientisation, même s'il est encore coloré par les réflexes primitifs de son cerveau reptilien. Il utilise également la vibration des principes de sa Volonté et de son Intelligence en développement, derrière lesquelles agissent la vibration de l'énergie de l'intelligence de l'esprit universel et individuel, la vibration de l'énergie de l'intelligence du double éthérique. Toutes ces énergies combinées ne distillent pas "le doute" car aucun parasitage de pensées astrales ne peut interférer. Il n'y a aucune clé de mystère car tous les niveaux connaissances, livrées aux dits chanceux, qu'ils soient cartésiens, analytique, ésotérique, spirituel, qui traitent de l'invisibilité fascinant, tous ces niveaux partie de l’involution. (dixit Bernard). Les ego orgueilleux, fat d'eux-mêmes, qui soutiennent mordicus la véracité de ces mystères sont incapables inspiration car enfermé dans une chape de plomb astrale.

 

Créer revient à s'enfanter et s'accoucher de soi-même dans une création artistique où l'énergie émotive contient la vibration de l'énergie de l'intelligence de l'esprit universel et individuel, la vibration de l'énergie de l'intelligence du double éthérique, la vibration de l'énergie de l'ego en processus même si celui-ci est encore coloré par les réflexes de survies de son cerveau reptilien. L’art est appelé à devenir une science de l’énergie émotive. Pour être créatif il faut savoir donner une forme a son énergie émotive, avoir une belle plume, un bon coup de pinceau, de clavier ou un autre instrument est un plus pour le double qui aime l'harmonie et l'équilibre dans le beau et l'esthétique. Une créativité parasitée fût valable dans le temps involutif où l'humain avait besoin de se divertir, de projeter ou de vivre au travers d'émotions astralisées qui nourrissent les plans et non l'esprit. L'homme réel qui écrit nourrit son esprit en s'instruisant de lui-même, en se découvrant dans les labyrinthes de son inspiration.

 

La capacité visionnaire dans l'écriture est le miroir des attributs de l'esprit universel et du double éthérique qui sont déjà sur la place en contact avec leur propre source. La capacité visionnaire des artistes inconscient de la période involutive vivait dans la sublimation de leur mal-être, cette sublimation était supportée par des pulsions astrales. Ces mêmes artistes qui se conscientisent n'ont qu'un pas à franchir pour utiliser leur art en conscience, en conscience de mettre en forme l'énergie occulte de leurs émotions créatives avec la vibration des énergies intelligentes de l'esprit universel et du double.

 

L'homme conscient, qui n'est pas intéressé à être conscient, il s'instruit sans désir egoïque ni se prendre au sérieux, tout en considérant sérieusement son instruction. On s'instruit en écrivant, on oublie tout après ce qui permet de se distraire ou de s'amuser sur la neige… Pour soulever le voile d'une rétention d'informations méconnues, ça demande d'être bien connecté à son fournisseur d'infos afin que cette information soit vibratoirement exacte. Être habile dans l'écriture requiert cette capacité d'habileté quand les informations reçues se trouvent dans les téléchargements sonores qui parviennent aux deux oreilles et se propagent dans les 3 cerveaux.

 

L'information discernée se met en page avec toutes les énergies de créativité des deux principes intelligents et volontaires contenus dans l'ego conscient. Les phrases doivent rendre la vibration du matériel tel quel, sans tenir compte de certains sentis empreints d'hésitations qui dévient la formulation. On devient forgeron en forgeant, on devient écrivain télépathe en écrivant télépathiquement.

 

L'écriture télépathique contient en elle toutes les vibrations de nos dimensions réelles, le style qu'on aime est le style d'un ego narcissique, c'est une écriture colorée par les vibrations spirituelles-astrales et non par sa source. Ne pas aimer le style avec lequel on écrit sous-entend aimer ce nouveau style qu'on ne connaissait pas et qui devient nôtre. Même si ça devient de la haute littérature tant qu'elle est accessible au commun des mortels on perfectionne son aspect artisanal, car cette écriture sera toujours avant-gardiste. Le désir d'écrire un livre qu'on veut est un désir de valorisation de l'ego. Prendre le matériel tel quel au moment où il arrive est un signe de proximité étroite avec sa source qui, elle aussi, a besoin de cette proximité bidirectionnelle sans interférence des désirs de l'ego. Ce matériel est réorganisé pour un ordonnancement parfait afin qu'une fois édité il soit accessible et compréhensible au commun des mortels. La personne qui aime écrire se projette dans l'instant présent de ce qu'elle écrit et non dans des futurs improbables.

 

L'imagination est pourvoyeuse de séduction pour un ego en attente de célébrité, il est encore astralisé dans cette imagination. Il n'y a plus de panne d'inspiration quand il suffit d'ouvrir et de fermer le robinet de la source. C'est nous qui sommes aux commandes des vannes car nous avons une vie a vivre en dehors du contact avec la source. L'obsession d'écrire un livre est une obsession narcissique doublée d'une crainte de la mort on croit que le livre nous survivra dans la mémoire des vivants.

 

Dans le contact télépathique aucune idée ne peut s'immiscer. Quand on écrit on ne juge pas ce qui sort, on ne le déforme pas, ne le retiens pas. Ce qui est important c'est la forme de la vibration du fond de ce qui sort. Cette vibration du fond vient de sa source connectée au mental créatif qui a de l'intérêt pour cette vibration qui prend forme dans les corps subtils puis sous les doigts. L'ego ne peut s'empêcher de désirer écrire pour se voir publié. Ce n'est pas la volonté de la source qui désire que nous écrivions pour s'instruire et propager l'information qui nous a instruit. Ce peut être le besoin évolutif pour chacun de recevoir ce dont la source désire nous instruire.

 

L'écriture supramentale est un cordon d'argent répulsif pour toutes intrusions et viol psychique dans sa vie. L'ego qui entre dans son autorité intérieure connait ses créneaux personnels énergétiques où il sera en parfaite télépathie avec sa source sans se faire parasiter. Cette autorité lui permet par ailleurs de contester tout ce qui n'entre pas dans la logique de son discernement, qui s'immisce subrepticement et qu'il sent hors sujet… Ce peut être l'arrogance de l'ego ou ses redondances qui tournent autour de lui et pour lui et non aux affaires d'"eux autres".

 

L'écriture est un art, comme tous les autres supports à l'énergie émotive. Elle peut mener à l'énergie de l'Amour dans la source qui contient également la vibration de l'énergie de l'intelligence de l'esprit universel et individuel, la vibration de l'énergie de l'intelligence du double éthérique. Elle désastralise la vibration de l'énergie de l'ego et de l'âme... L'énergie de l'Amour est le ciment éthérique qui consolide créativement l'ensemble du triangle V.I.A., tout comme le discernement qui cimente les 3 cerveaux intuitif-rationnel-émotif. Écrire symbiotiquement avec sa source est aussi un échange de bons procédés; l'un donne sa plume à l'autre qui donne une énergie qui veut descendre pour se matérialiser créativement.

 

L'ego connecté à l'esprit entend les mots contenus dans les sons vibratoires dans ses oreilles et dans sa tête. Écrire avec l'âme devient une succession d'histoires personnelles sans intérêt pour la progression de notre évolution. Le monde de l'âme incarnée est sous-tendu par une énergie émotive souterraine qu'on ferait bien de ne pas ignorer et d'écouter dans la subtilité de son langage. Il y a dans ce monde beaucoup de valeurs sans aucune valeur autre que celles de l'inconscience. L'esprit, lumière de l'ego, fusionnera en son temps avec les énergies contenues dans l'âme qui permettront la matérialisation de l'ego cosmique qui est le réel futur de l'homme nouveau. Les mots sont des prisons dont les barreaux empêchent l'accès à une compréhension de la vibration des sons.

 

Pour que les mots vibrent ils doivent être descendus dans la vibration de l'énergie créative de l'esprit universel et du double éthérique eux-mêmes connectés à leur propre source. C'est un exercice qui s'affine au fur et à mesure de l'intensité de la connexion. La valeur sous-jacente de nos mots n'est qu'illusion d'interprétation de leur définitions astralisées, le dictionnaire des mots n'a jamais prétendu faire vibrer quoi que ce soit dans l'éther. Aller au bout de ce qu'il y à a dire c'est ne pas casser l'énergie en cours de création et de descente de cette vibration… L'ego en processus est soutenu par la lumière de l'énergie de son esprit. Il progresse dans sa capacité à ne pas déformer, ni transformer la vibration contenue dans ce qui est à dire. La force de l'ego est d'être dans l'exactitude du fond de ce qui est dit et non pas de sa forme, un analphabète devrait être capable de restituer ce fond, de quelque façon que ce soit, peinture, musique, danse, etc…

 

On sait que ça vient de la source quand on sait objectivement que ça ne vient pas de notre ego qui n'est pas encore totalement transparent. Un ego qui n'est pas transparent a encore de la mémoire imprimée dans sa personnalité. Se couper de la mémoire c'est dissoudre le lien énergétique qui relie l'ego au stock de mémoires d'expériences polarisées. On se mêle de 'leurs affaires quand on utilise froidement l'énergie dépolarisée et transmutée des l'expériences de l'âme et de l'ego stockées dans le sac à mémoires. Tout ce qui vient de la source est transparent comme une eau potable que l'on n'hésite pas à boire. Quand ce qu'on écrit coule de source, l'énergie électrique qui décent n'est pas court-circuitée par les pesées, notre énergie fait corps avec celle "d'eux-autres". Notre taux vibratoire augmente en intensité, il procure un état de transcendance jouissive.

 

L'ego se fait occultifier au début, le temps de la découverte et de l'intégration de sa capacité à entrer en contact avec sa source. Avec les tests évènementiels dans sa vie il comprend que sa désastralisation est multifactorielle, qu'elle ne dépend pas de son dialogue avec sa source qui est d'abord instructive et expérientielle pour lui. Quand on entre en conscience, un autre MOI déguisé en flic et en détective privé nous observe sous toutes les coutures et dans toutes nos dichotomies pour transformer la polarité de la pulsion en outils de conscience et d'évolution. L’ego pressé d’avancer se croit aussi élevé en vibration que celles qui lui viennent de la parole de Bernard hautement thérapeutique. Quand en plus il se met à écrire il augmente son potentiel à être bien dans sa peau" juste au moment où il écrit, puis il passe à autre chose dans sa vraie vie sans "folle ambition".

 

Une parole qui porte le masque du paradoxe et de la dichotomie, aussi subtil et indéfinissable soit-il, crée de la violence psychique par la vibration de pulsions mémorielles larvées, destructrices en arrière-plan. Si la conscience est dégagée de toutes vibrations d'arrières pensées astralisées ou d'envolées verbeuses, celle-ci devient une pure lumière qui magnétise la source des sources.

 

En supportant notre parole dans ce que nous sommes en réalité, les mots dans leur discernement donnent un repos mental qui balaie nos pensées subjectives. Juger ce qu'on écrit nous assujetti a des forces qui veulent empêcher la descendre de l'énergie créatrice de notre source. Ne pas juger ce qu'on écrit est un signe qu'on est dans sa réelle autorité intérieure, non seulement on ne déforme pas ni le sens ni la vibration de ce qui est dit mais en plus on en maitrise le mouvement.

 

Se sentir chez soi c'est réellement être dans un territoire d'écriture inviolé. Écouter son ego mal dégrossit est un pacte astral polarisé à rompre très vite quand on s'aperçoit qu'on y est assujetti sans discernement du processus de conscientisation. Un échange de bons procédés c'est ce qui fait tout la valeur d'une relation a double sens, authentique et durable.

 

Les adeptes de la jouissance de la forme des mots et de leurs connotations a plusieurs étages n'avaient pas conscience du détournement de cet objet de jouissance masturbatoire… La volonté sous-tend l'entretien de l'intelligence dans la communication avec son jumeau éthérique. L'émotion pure est une énergie créatrice dépolluée de tout parasites qui l'empêcherait de s'exprimer de toutes les façons qui lui conviennent.

 

Dans l'écriture générative on accouche de soi-même et on aide l'autre à accoucher de lui-même. Une fois les deux naissances accomplies on se découvre mutuellement en favorisant une inspiration télépathique avec sa propre source Les montées en vibrations des corps subtils durant l'écrire procurent un bien être qui génère la nécessité, le besoin d'entretenir cet équilibre énergétique et d'en augmenter le taux pour plus de communication, de télépathie, d'informations descendues, ça devient une seconde nature qui ne créé pas de karma...

La dépendance est astrale et mémorielle si l'écriture répond à un désir narcissique d'être lu et reconnu… Il ne peut y avoir dépendance quand nous contrôlons les vannes qui ouvrent et ferment le contact selon les besoins de ce que nous avons à vivre par ailleurs selon notre programmation...