Étudier sa souffrance et ses états intérieurs pour comprendre sa vie


Étudier sa souffrance et ses états intérieurs pour comprendre sa vie

 

A ce stade du "mal-a-dit" et de gros conflits astraux en soi, on peut envisager une séparation entre la lumière de l'énergie de l'esprit (notre double) et de l’esprit universel initiée par les plans qui burinent notre égo personnalité, ouvre notre mental supérieur pour nous faire vivre la polarité émotions/pensées subjectives, spirituelles ou non, et remettre en question toutes les formes, y compris celles de "la bonne santé". Les forces spirituelles se servent de tout notre bagage mémoriel pour créer des tensions mentales, sachant cela c’est à nous de rien prendre au sérieux jusqu'à ce le corps mental, nettoyé de ses pensées subjectives, soit réhabilité par des pensées objectives pour communiquer avec notre double.
La bonne ou mauvaise personnalité qui doute vient d'un jugement polarisé des entités qui se nourrissent des énergies que génère la "mauvaise image de soi" et la peur à sa vue dans le miroir d'autrui… Seule la colère consciente, contrôlée et réellement dirigée contre les plans, nous aide a maitriser notre vie. Cette saine colère permet d'évoluer contrairement aux autres types de colères astrales qui sont des énergies de travail, des outils qui développent notre volonté et éliminent des couches d'inconscience comme des pelures d'oignons (il y a un début à tout)...

 

La force intérieure c'est aussi repérer les faiblesses de son âme quand elle ne peut rien contre les manipulations des défunts pour briser leurs liens karmiques avec elle. Nos faiblesses, nichées dans la mémoire, sont les points les plus sensibles de notre corps astral, les morts, sachant où ça fait le plus mal, appuient fort dessus car ils ont un besoin vital de l'énergie de nos émotions. Pour s'interroger soi-même et faire ressortir notre moi afin qu'il s'expanse, nous devons déchirer le voile qui nous fait croire à la séparation de notre lumière intérieure et croire également que nous ne sommes pas l'architecte de notre vie. Dans cet état d'inconscience tous nos scénarios de vie sont écrits d'avance par un metteur en scène qui seul connait les tenants et les aboutissants de l'histoire qu'il a lui-même écrite… Le seul con anxieux et angoissé est l'acteur qui doit jouer la scène dans sa totale perfection en répétant x fois les même prises… L’homme conscient refuse ce rôle, si bien payé soit-il, les jeux de pouvoir avec les plans en scène ne l'intéresse plus… Dans sa motivation à faire usage de son autorité, face a ces chiens vampiriques, il évitera de plonger dans la marmite bouillonnante de l'ascenseur émotionnel où on lui fait croire "chaudement" à la petitesse de son être. Apte à se remettre en selle il sera libre de choisir son scénario de vie, sans carotte ni bâton, pour faire avancer son cheval de bataille…

 

Ce chemin d'évolution si unique, dans ce sens qu'il est individuel, est pavé d'absence de références à part les siennes propres…Nos expériences de vies passées et présentes sont la fondation en béton armé de notre l'identité. Angoisses, stress et autres symptomatologies psychiques sont des barbecues permanents pour nos cellules nerveuses. Éteindre le feu de nos souvenirs mémoriels est la seule option pour ne plus être sous contrôle de notre programmation et des plans qui lui sont associé, ainsi on redevient l'architecte de sa vie et en contrôle de sa volonté. On ne choisit pas un destin "programmé" mais décider de ne plus être vulnérable pour ne plus se faire astraliser équivaut à emmagasiner de la force pour augmenter sa conscience des plans "champ de mines et de batailles pour l'ego".
L'expérience de la souffrance, physique et /ou psychique, qu'elle soit importante ou modérée, engrange de la mémoire et sensibilise la psyché humaine à plus ou moins long terme. Ce sentiment laisse une empreinte (engramme) dans la mémoire de l'âme et celle-ci ressurgie de bien des façons lors d'évènements de santé (maladies et symptômes divers) stressants ou traumatiques. En s'accumulant comme un mille-feuille les souffrances ouvrent des brèches aux entités qui vont se frayer un chemin jusque dans les engrammes, là où nos vulnérabilités sont les plus vives. Celles-ci sont perverses et manipulatrices, elles nous ont à l'usure et à petites doses au début, conséquemment ces mémoires sont des rdvs programmés avec elles qui n'attendent qu'un choc psychique ou physique pour s'incruster et siphonner durablement l'énergie de nos émotions. Ceci étant dit tout humain a un chemin de vie et un agenda gravé au millième de seconde près... si son expérience passe par la maladie, les dépressions et autres troubles psy et s'il prend conscience de la réalisation du processus astral vampirique il fera une étude intelligente de sa souffrance pour "faire ressortir son moi et prendre de l’expansion". S'il n'en prend jamais conscience l’astral en lui fera tout pour lui faire croire à la petitesse de son être, il sombrera dans cette expérience qui enrichira son âme … Prendre conscience donc que c'est dans notre sac mémoriel que réside les souvenirs plus ou moins souffrants, les plus involutifs pour l'ego et pour l'esprit sont ceux qui maintiennent l'humain dans une conscience inférieure… La gagnante dans l'histoire c'est l'âme, non polarisée donc pas "regardante", qui est addicte à toutes expériences de vie et à l'énergie de ces expériences quels que soient leur taux vibratoire, du plus bas au plus haut... Nous savons maintenant que ce stock d'énergies atomiques sera utilisé durant sa fusion avec l'esprit...

 

Pour rebondir su ce que tu disais en #1
"Je vis une longue crise de santé qui me fait vivre beaucoup de doute... sur ma personnalité avec ses comportements excessifs..."
Dans sa conférence avec Daniel Ménard 001 - Possession et maladies mentales Bernard nous dit ceci:
"Le doute ! Ecoutez, un Homme qui n'a pas de doute, c'est un Homme qui n'a plus besoin, sur le plan matériel de cette vie, de se demander quelque question que ce soit, en ce qui concerne la réalité. Il ne vit plus le doute, mais pour en arriver à ne plus vivre le doute, ce qui fait partie de l'évolution de l’Homme, ce qui est normal, ce n'est pas normal que l’Homme vive du doute parce que, vivre du doute, dans le fond, ça veut dire avoir une partie de soi qui n'est pas intelligent ; bon, un Homme qui est dans son intelligence créative ne connaît pas le doute, mais pour en arriver à détruire le doute, il faut en arriver à le vivre, le doute ! Et qu'est-ce qui va faire vivre le doute à l’Homme, c’est sa Source qui travaille sur son évolution, et c'est aussi l’astral qui va constamment créer la confusion dans son mental. Si l’Homme se méfie de l'astral, si l’Homme fait attention de la subjectivité de sa conscience et qu'il commence à ne vibrer, et à ne vivre et à ne travailler, et à ne fonctionner que par rapport à une certaine intelligence, qui n'est pas encore parfaite mais qui est là, parce que l’Homme a tout de même de l'intelligence dans le mental, et que de temps à autre, il est testé, il est testé, il est testé et qu’il ne vibre pas, éventuellement, le doute va se détruire, mais si l’Homme met de l'émotion dans l'expérience, il va continuer à perpétuer le doute, parce que qu'est-ce que c'est le doute ? Le doute, c'est l’incapacité mentale de l'ego de comprendre, de façon parfaite, qu'il est intelligent.

 

Pour rebondir également sur ton post #8 à propos de "L’angoisse progressive = champ de mines pour la conscience" dans sa conférence suivante avec DM 002 - "Les sources de l’angoisse" bernard nous dit:
"DM : Est-ce que vous dites que se comprendre suppose un aspect subjectif, c’est-à-dire une réflexion qui soit juste et que comprendre la vie, c’est dépersonnaliser ?
BdM : C’est objectif. Comprendre la vie, c'est une science intérieure, c’est une science du mental, se comprendre c'est une réflexion sur soi.
DM : Est-ce que c'est ça la source de l’angoisse, de l'anxiété ?
BdM : C’est ça qui est responsable de créer dans l’Homme l'illusion d'un certain équilibre, et il s'aperçoit au cours de son expérience qu’il y a encore d’autres choses qui arrivent… qu’il y a encore d’autres choses qui arrivent… qu’il y a encore d’autres choses qui arrivent, et si la chose continue constamment à arriver, effectivement, il vit une grande anxiété, ceci est repris par les rêves, ceci est repris par les événements et l’Homme ne semble jamais être capable de casser quelque chose, et la raison pour laquelle il n'est pas capable de casser quelque chose, c'est parce qu’il n'a pas l'expérience de son intelligence, il n’a que l'expérience de son intellect, il n'a que sa façon purement mémorielle subjective de voir les choses, il n'a que son intellect pour lui donner un aperçu de ce qui n'est pas réel, donc il s’enfonce, il s’enfonce et il s’enfonce, et vous ajoutez les émotions là-dedans, vous ajoutez la mémoire là-dedans, vous ajoutez la manipulation astrale psychique dont l’Homme est totalement inconscient là-dedans, vous avez facilement accès à l'anxiété".

 

La survie de nos âmes dépend de leurs besoins énergétiques pour leur fusion, ce besoin étant concomitant aux expériences présentes, passées et à venir et en relation avec le taux vibratoire du corps matériel pour l'incarnation du double lumineux. L'entêtement contre les changements de paradigmes freine l'évolution, cependant on ne peut que difficilement aller contre sa programmation qui est évolutive que ça nous plaise ou non, avec peu ou prou des souffrances physiques et/ou psychiques ou les deux à la fois. La rupture avec les forces ascendantes ne peut être amenée que par l’homme qui travaille sur son corps émotionnel pour vider son âme du très lourd sac de mémoires devenues obsolètes dans le processus de fusion. Les vulnérabilités sont colmatées par de l'énergie en quantité colossale venant de l'intelligence de l'esprit qui nettoie jusqu’à la moindre faille du corps astral pour amener l'ego à mettre un grand coup de hache dans son contrat cosmique.
Les vulnérabilités sont colmatées par de l'énergie en quantité colossale venant de l'intelligence de l'esprit qui nettoie jusqu’à la moindre faille du corps astral pour amener l'ego à mettre un grand coup de hache dans son contrat cosmique.

 

Nos doubles savent communiquer avec nos egos qui se respectent dans leurs personnalités si complémentaires et si riches en devenir...
Un processus de conscience dans un dialogue en petit comité à ceci comme avantage, grâce à plusieurs discussions en même temps, qu'il n'y a pas dispersion d'énergie quand elle est en ébullition dans cette petite équipe… L'avancée des idées les rends probablement meilleures chacune à leur tour selon le jour et l'heure de leurs émissions… Cette construction participe à tous les désirs de contrôler la fluidité de l'espace qui devient créatif à souhait à chaque frappe du clavier…

 

"Quand on souffre on est plongé dans un état psychologique personnel, on est dans la subjectivité. Ces souffrances ne nous appartiennent pas, elles sont créées par les plans, elles font partie de l’évolution de l’âme, c’est une programmation. Avec l'intégration de sa conscience et la maitrise émotionnelle on ne souffrirai plus de la même façon, ni des plans..."

La souffrance puis les symptôme et problèmes de santé qui en découlent apparaissent d'abord dans les corps subtils. Si l'origine de la maladie est astrale ou programmée seul le corps éthérique peut être guéri et non le corps astral "troué ou déchiré". Le son d'un instrument musical ou certaines musiques de très hautes vibrations, ont la capacité de guérir ce corps éthérique, il permet ainsi au corps astral de s'apaiser car partout où l'homme s'épanoui son corps astral se dépollue, souvent à son insu. En dehors de la médecine invasive qui s'occupe du corps physique, les "trous et les déchirures" du corps astral, liés à une maladie déjà installée, ne peuvent être guéris par personne d'autre que nous-même qui pouvons agir sur notre programmation par la désastralisation de notre corps émotionnel et de notre sac mémoriel... La maladie à elle seule peut être une voie de guérison de notre inconscience ou un "vidangeage" de vielles mémoires...
Le son et le taux vibratoire de la parole ont la capacité de guérir le corps astral mais ce dernier est plus long à se rétablir quand la personne n'est pas suffisamment consciente, elle ne peut absorber la vibration de cette parole contrairement à une personne consciente qui pourrait guérir rapidement. La parole qui guéri le corps astral doit alors être REELLE, VIBRANTE et thérapeutique comme celle de Bernard. Il y en a d'autres, certainement, partout dans ce monde qui ont cette capacité de rendre leur parole "guérissante"... Je ne parle pas d'hypnose, quoi que...

 

Les moyens créatifs pour laisser sortir nos souffrances intérieures incluent en effet un recul intelligent et constructif par rapport à elle et à ce qu'elle charrie de déversements karmiques, programmés et engrammés dans le corps astral. La volonté d'auto-guérison et son moyen de guérison passe par la dépollution de celui-ci. L'importance du plaisir participe à l'épanouissement de ce corps par les moyens que propose la nature car sa matière subtile (éther), composée de la lumière de l'énergie de son esprit, transporte une force et un courant électromagnétique qui envoie une charge électrique dans nos corps pour les dépolluer et une force répulsive, autour de ces corps, pour maintenir leur stabilité.
La parole avec son double c'est ce que tu dis "l'échelle pour sortir du trou !"

 

Tes jambes, devenues comme tronc et racine de ton équilibre interne, sont réalimentées par une énergie nettoyée durant cette hibernation hivernale… C'est ainsi que le printemps revenu ton corps vit le plaisir électromagnétique de la sortie de tes souffrances qui coïncide avec la montée de sèves des érables, ici ce sont les boulot qui font cet office... Une détoxification initiée par l'énergie de l'esprit... Avoir confiance que la souffrance est aussi guérison est une belle et grande confiance en son double…

 

Nous sommes tous et chacun particuliers, différents, hors du commun, avec des histoires extraordinaires et incroyables. Chacun avec sa douleur, ici et là, qu'il transmute en énergies d'expériences pour l'âme en voie de fusion. L'ego auparavant plaintif puis observateur devient l'acteur de cette transmutation jusqu'à l'aboutissement d'une manifestation de "paix en soi", content d'être ici, dans cette vie-là et pas ailleurs…