La souffrance psychologique


La souffrance psychologique

 

Entrer dans la conscience de l'existence d'un programme animique et mémoriel, où la souffrance dans la subjectivité et l'émotivité est prépondérante, est une étape majeure à la sortie de la matrice terrestre egrégorienne et vampirisante.

Ce faisant on se libère peu à peu des entraves mémorielles de l'âme, mais cette libération est proportionnelle à la souffrance vibratoire de l'arrachement a ses entraves qui étaient des béquilles à notre survie…

Laisser choir ces béquilles c'est comme arracher un sparadrap d'un seul coup … on a pas peur, on ne réfléchit pas, on a plus besoin de béquilles.

 

Tant que l'ego sera sous la domination de l'âme il sera prisonnier des liens avec ses expériences émotionnelles polarisées attachées aux expériences dépolarisées de l'âme.

Les divisions sont directement liées à ces polarités, entre les expériences de l'âme et les expériences de l'égo, qui ne sont pas du même registre vibratoire donc inéquitablement vécues.

L'expérience x ou y, de l'un comme de l'autre, présente des facettes à variables tellement multiples qu'on ne peut imaginer la somme d'énergies cumulées dans ces variables… Imaginons ces énergies multipliées par les variables de chaque égo dans un couple ou une famille …

La souffrance a toujours été vibratoire, dans notre inconscience on la comprenait psychologiquement en altérant avec aberration les tenants et les aboutissants de cette souffrance d'évolution.

L'entrée dans un processus fusionnel est une entrée dans une individualisation. On se passe désormais des rôles respectifs, quand bien même ils fussent nécessaires en leur temps et heure, ils sont désormais obsolètes à nous d'accepter cette obsolescente programmée "sans faire de vague"…

 

Passer au vibratoire nous soulage de réflexivités et de pensées subjectives… Vider le sac a mémoires, le retourner pour qu'il n'en reste plus de poussière, ça nous rend si léger qu'en effet on se retrouve à poil dans la nature…

Et là tout nu, sans pour autant se sentir vulnérabilisé par sa nudité, il voit très loin dans l'occulte de sa vie, dans l'occulte de ce qui l'entoure, dans l'occulte de ce qui jadis l'avait divisé et manipulé au travers de ses souffrances psychologiques très subjectives.

 

Devant un océan qui appelle à plonger dedans, rien de plus facile que d'y pénétrer… Enlever son maillot, se retrouver nu, libre de tous mouvements, ça aussi est enivrant… Également impressionnant de sentir l'eau s'infiltrer partout à la surface de la peau, là où il n'existe aucune souffrance psychologique a visiter l'occulte de l'éther sous-marin.

 

Lutter pour la liberté revient à lutter pour sortir de prison... idéalement on devrait sortir de l'illusion d'être prisonnier car on ne souffre que de soi-même par nos mémoires et notre programmation.

 

Se libérer de l'illusion d'être prisonnier, qui ne fait souffrir que de soi-même, par la conscientisation de l'ego qui l'amène à démolir tous ses conditionnements au prix de grandes souffrances et videngeages astraux. Toute libération a le prix de ces souffrances.

 

Les nouvelles mémoires que l'on crée, avec les souffrances du quotidien, sont empêchées à fabriquer du karma si on utilise l'intelligence du videngeage "conscient"

Dans le processus de conscientisation, et de fusion très lente, chaque nouvelle souffrance si elle n'est pas perçue comme "vibratoire" mais vécues comme psychologique demandera une transmutation de l'énergie associée à cette souffrance au risque de créer d'autres mémoires qui retardent le processus… Derrière tout cela il n'y a que des tests qui nous servent de miroir pour voir de nos propres yeux où nous en sommes, c'est cette "relation consentante avec le travail de l'esprit". On avale la pilule "comme on le fait avec son compagnon", même si ajustements et montées de voix sont nécessaires avec des sacres ou des ogives supramentales correctement ciblées vers les entités qui nous interfèrent.