Percevoir l’invisible


Percevoir l’invisible

 

BDM: ".. la meilleure solution pour le développement d'une psychologie des profondeurs ce serait "une alliance" au moins la psychologie classique, la psychiatrie un peu avec leurs formes, leurs structures suffisamment consolidées, suffisamment aux aguets, suffisamment rationnelles, pourront absorber ces nouvelles façons, ces nouvelles fonctions du psychisme allumé et à ce moment-là créer une synthèse, pour comprendre les ramifications très très occulte de l'homme...."

"car l'homme demeurera toujours un être dont le talon d'Achille sera soit la recherche du pouvoir, soit une forme quelconque d'astralisation..."

"ça prend énormément de maturité, faut avoir énormément transmuté sa propre astralité, faut être réellement totalement libre de la forme d'orgueil, faut absolument être au-dessus de la recherche de la domination, faut réellement AIMER l'homme, pour travailler pour lui, pour travailler avec lui"...

"et surtout pénétrer des zones de sa conscience qui sont encore aujourd'hui très ténébreuses, que l'homme connaitra effectivement d'une façon très objective demain mais dans la mesure où il aura suffisamment de conscience pour d'abord aimer avant de traiter..."

 

BDM: "et que je regarde même d'un œil souvent troublé, des êtres qui, parce qu'ils ont un petit peu de conscience marginale, parce que ils se sont introduits d'une façon régulière dans des domaines occultes de la pensée et qui disent ou qui décident un jour ou l'autre d'aller dans le monde, de rencontrer dans le monde des gens et de commencer à faire de ce travail de transmutation ou d'élévation de la conscience des autres alors que eux sont encore des "êtres astralisables". Même si ce sont des êtres qui sont bien.
Ce n'est pas suffisamment aujourd'hui d'être bien, ce n'est pas suffisant aujourd'hui d'avoir de la bonne volonté, ce n'est plus suffisant aujourd'hui de vouloir faire du bien pour les autres, il faut être intelligent.
L'intelligence de la conscience supramentale c'est en évolution, i faut connaitre les lois occultes de ces plans, parfaitement et ça prend du temps, ça prendra du temps."

 

En effet nous sommes loin de voir apparaître le moindre début de commencement d'individus suffisamment dépollués pour accomplir une tâche aussi ardue auprès des humains et avec "suffisamment de conscience pour d'abord aimer avant de traiter"... Comprendre le vampirisme humain et astral est la condition sine qua non de l’évolution de l’intelligence supramentale pour ne pas se laisser dominer par nos émotions et celles d'autrui qui croient nous aider, en toute bonne foi, alors que sous influence de leur propre astralité, ils vampirisent nos énergies et créent encore plus de troubles dans notre corps astral et éthérique..

Il n'empêche qu'en attendant cette période il y a des personnes extraordinaires dans tous les domaines et qu'on aimerait rencontrer "du premier coup"… mais "se faire balader" fait partie du chemin... ainsi tout et chacun a sa place dans ce monde en évolution.

 

Notre ego inconscient n'a jamais pu regarder objectivement les différentes facettes et personnalités des egos car il ne voyait le profil qu'avec des yeux et un cœur spirituel au lieu de regarder avec l'œil intelligent de l'esprit pour voir l'esprit dans l'autre ego…
Cette inconscience à permit à l'âme de faire carburer l'ego et son centre émotionnel pour ses propres besoins égocentrés…
Quand l'ego arrive à écœurement de ce jeu de yoyo émotionnel un déclic lui ouvre les yeux de l'esprit, il entre en initiation dans un long parcours de recul avec les autres egos pour un face à face avec le sien. On comprend, peu à peu, que les egos d'autrui n'ont jamais été autre chose que des outils de travail pour notre évolution et des miroirs, non pas comme représentation de ce qu'on croit qu'ils sont, mais de ce que nous sommes en réalité… Ceci nous rend souvent incapables d'être en relation avec eux car nous sommes surtout incapables d'être en relation avec l'image que l'autre nous renvoie de nous-même. Quand ceci est finalement réalisé, acquis et intégré on revient vers le monde dépourvu de toutes attentes spirituo-émotionelle.
Aller jusqu'au bout d'une relation, au lieu d'y mettre fin par la fuite, nous évite de croiser d'autres "éveilleurs" de ce qui n'a pas été compris, mis "en suspens" ou réglé une bonne fois pour toutes dans sa propre vie. Les personnes sur notre chemin, qui incarnent le miroir de l'illusion de soi-même à laquelle on croit par insécurité egoïque, nous permettent de réaliser des saynètes avec eux, et de jouer a des personnages les uns pour les autres sur l'estrade du théâtre de notre vie, avec pour public tous les doubles qui applaudirons à la fin d'un spectacle souvent kafkaïen...

 

On pourrait dire que les deux font la paire avec ton "changement de garde, ta lumière mentale" puis ma "sensibilité à l'énergie de la canalisation mentale"...

Percevoir l'invisible demande en effet beaucoup de fermeté mais surtout beaucoup de discernement en général, il ne peut y avoir de place à la subjectivité qui fricote avec toutes les naïvetés spirituo-psycho truc…. Ton imprévisibilité du niveau de difficulté à vivre au contact de personnes vient encore des attentes que l'on peut avoir d'autrui pour combler des manques ou des vides ou de ce que l'on croit vouloir… tu te résumes en quelques sorte en disant "on sortira du bois par l’utilisation des miroirs que nous tend le double". Perdre toutes ses attentes est un interminable exorcisme de l’influence spirituo-émotionelle". "Je m’enferme moi-même dans ce petit nid autour duquel je dispose mes miroirs aux alouettes pour attirer les anges et leurs caresses". no comment et instructif.

C'est presque devenu un passe-temps favoris de "regarder l’esprit à l’œuvre dans un ego à qui il n’a pas encore été donné le début de transparence nécessaire pour lui faire réaliser le phénomène de la manipulation psychique".
J'avoue que ce sujet est à l'étude également pour ma pomme car aux premières loges on est toujours mieux servi car on voit mieux ce qui se passe dans tous nos faux besoins égocentrés... instructif également.

Si pour toi l'être n'est pas l'ego, ou loge donc la personnalité de l'être qui elle seule est façonnée par les "écoeuranteries" de la vie émotionnelle fabriquée par l'âme ? je suis preneuse de toute réponse pas d'image…

 

Ce qu'on perçoit sur les plans subtils demande d'être passé au scanner vigilant et rigoureux de notre discernement car en effet l'expérience de la lumière est plus importante que les mots rarement objectifs pour la décrire. Se poser judicieusement la question "parler, écrire… ou se taire " aide à percevoir qu'in fine la conscience se vit plus qu'elle ne se parle… surtout quand la parole ne vient pas de l'intelligence de l'esprit…

Explorer les différents "genres d'écriture" possibles sur focus nécessite et sous-entend que le double reste toujours en avant plan de l'ego. C'est un exercice inespéré pour l'ego, un travail de conscientisation, de désastralisation de son ancien ego égocentré ou supra ou trique, narcissique, m'a tu vu, polémicard etc. tout ce qui n'a pas sa place dans un espace réservé à de la communication entre doubles… C'est un exercice ardu certes... mais ô combien évoluant car il permet justement cette guérison de l'ego qui a tendance à tout ramener à lui ou vouloir maitriser, dominer... au lieu de laisser son double s'exprimer.

Les réticences sont le fait d'une peur de l'ego à se dévoiler aussi pompeux soit-il, sec et imbu de sa personne, qui se croit sur une chaire etc. Certaines expressivités défoulantes du vécu viennent d'un ego satisfait à se raconter et qui croit "canaliser"… Alors que ce qui est écrit ou dit en "termes froids et généraux" vient d'un double qui s'adresse à qui sait lire en vibrations en focussant sur le fond et non sur la forme.

Un double qui ne s'autocensure jamais, qui n'a pas besoin d'un journal personnel, qui n'élucubre pas et ne juge pas ce qui sort de la bouche ou du clavier. Un double qui n'écoute que lui-même et non pas l'enfant blessé en nous, plein de vielles mémoires.
La canalisation de ce double n'a aucun principe ni besoin d'être contenue, elle coule de source, originale, unique et authentique, il y'a pas deux doubles pareils, ni deux esprits pareils, ni deux egos pareils… ça c'est du plus grand intérêt et ça participe à une grande variété de genres et de créativités par les mots, qu'ils soient écrits ou parlés, du moment que la vibration est là…
L'analyse intellectuelle de l'information n'est pas rébarbative, ni incompatible avec l'esprit ou le double dès l'instant que, connectés à la source, un minimum de cohérence des 3 cerveaux rationnel/intuitif plus le discernement/éthérique nous amène à devenir "intelligent" dans notre "intellectualité créative"

"Étudier la vie avec beaucoup d'allégories et de métaphores"...
On voit ça dans toutes les religions et dans les sphères spirituelles… il y a un paquet de ces genres allégoriques et métaphoriques qui trompent l'ego endormi, plus souvent que l'oreille de l'esprit ou du double qui eux aiment le langage direct et sans ambiguïté…

Ce que tu crois avoir en toi et que tu n'aimes pas, "ce prêcheur" qui te fait honte quand tu canalises et qui te donne le sentiment de verser de son côté ne peut être ton double, sinon qu'une pâle copie de lui à travers un ego qui se fait chevaucher par des entités astrales vaniteuses, qui le manipulent pour lui enlever de son feeling avec son double réel…

"Est-ce qu'on ne canaliserait pas aussi de grand réveil de la sève dans la végétation ?"
à toi de dire… en tut cas faisons couler nos propres sèves de nos propres canaux...

 

"Canaliser le grand réveil de la sève dans la végétation"...
Vous avez l'Érable et nous le Boulot, pour l'instant je goûte à l'un et à l'autre pour satisfaire mes papilles gustatives... qui apprécient leur délicieuses saveurs. Là-dessus je suis disposée "gravitationnellement et cellulairement" à dire oui au sirop d'érable et à la cure de jus de boulot... :-)

 

Autrement dit c'est au milieu de la polarité jour/nuit que tu perçois l’invisible énergie du mouvement de ton évolution... Trouve t-on la paix dans cette perception ou sommes-nous juste bien dans nos souliers?... En ce moment c'est le rythme des saisons, qui par effet miroir, semble faire remonter en surface ce mouvement des énergies. On est content de sortir d'une saison pour entrer dans une autre, on avait oublié que notre adaptation est toujours aussi surprenante...

 

Pour quelqu'un qui rentre de voyage avec un décalage horaire tu t'en sors bien dans cette polarité jour/nuit "déboussolante"… As-tu rêvé la nuit dans ton voyage astral et le jour dans ce voyage de rêve à l'espagnole ?...

La conscience des besoins de repos après l'action, et vice versa, est en effet accrue quand l'esprit use de son temps de travail/repos, alors que nous devons lui faire respecter nos rythmes terrestre, pour être aussi performant que lui dans le repos aussi bien que dans l'action… Cet équilibre nous fait vivre l'instant présent, sans projections ni supputations du moment d'après avec ses petits balanciers "émotionalisant"…

 

Intéressant cette image pléonasme de patinage à la place de ton nom habituel

"alors que c'est de nuit qu'on est sensé vivre ça dans le rêve".
Donc un voyage tout en aérien, sans gravitation terrestre, un voyage dans le rêve d'un film hollywoodien, qui se passerait en Espagne, dont doublure et actrice n'étaient pas "raccord" avec le scénario imaginé avant de monter en patins dans l'avion…

L'esprit est performant il ne dort jamais même si parfois il fait des pauses dans le burinage de l'ego…

On doit être aussi "performants" que l'esprit dans le repos du sommeil, moment idéal d'intégration de ce burinage dans nos mémoires astrales…

On doit être également aussi performants que lui dans la vie mentale diurne, dans nos actions aussi bien que dans nos travaux physiques, psychiques lors des tests d'intégration de notre mémoire…

 

Pour ma c'est réussir le test, non pas l'esquiver, qui nous rend plus fort tel un cheval dans sa course aux obstacles et son énergie de galops bien domptés…

 

Il arrive que ce soit notre façon d'appréhender ou de comprendre le message dans une situation donnée qui nous fasse voir deux options, deux résolutions à un instant T de cette tranche de vie dans la polarité du + ou du -.

Si l'expérience proposée s'apparente comme bonne, parce qu'on est en de bonnes dispositions, gagner au loto, trouver un bon job, rencontrer la personne de nos rêve, etc…l'ego prends cette expérience pour du velouté qui va servir à son besoin de récompense (flatterie).

Si l'expérience proposée s'apparente comme mauvaise, parce qu'on est en de mauvaises dispositions on va alimenter le sac à dos de mémoire négatives qui devient de plus en plus lourd à porter… ça nous oblige avec intelligence à nous questionner, contrairement au test précédent, sur les tenants et aboutissants de cette expérience.

Et ça revient à dire aussi que rien ne vaut une bonne crise à l'ego pour démêler l'écheveau étriqué de notre sac a nœuds de mémoires, qu'elles soient récentes ou anciennes…

Nos doubles sont exigeants car ils veulent une incarnation sans faille dans la matière. Les tests qui nous sont imposés et que nous subissons sont proportionnels à cette exigence et aux qualités de notre personnalité et de notre caractère…

Si nous sommes dans la "volonté" de gérer ces tests, sans subjectivité émotive, nous l'aurons cette énergie puisqu'elle nous viendra de l'intérieur même du cyclone du test…

N'ayant pas connu Bernard, j'apprécie son expérience qui lui à permis de défricher le terrain pour nous aider à plus de fluidité dans notre parcours car: "un homme averti en vaut deux". On lui en est reconnaissant d'avoir essuyé les plâtres pour nous…

 

Quelle que soit la saison tout devient léger à la fin, comme un sac à dos qui s'est vidé durant la crise... Parfois une crise dure une saison on en sort pour entrer aussitôt dans une autre...
C'est l'espace temps entre les deux qui nous fait discerner le bienfait d'une crise et amoindrir l'appréhension de celle qui approche... les crises se transforment en transmutations, elles n'ont plus la coloration du "mal-à-dit"

 

Une crise survient toujours lorsqu'on s'y attend le moins, c'est le propre de la crise sans ça l'ego est suffisamment futé pour mettre un mouchoir par-dessus, pour l'éluder par tous les moyens possibles de fuites et de dénis …

La crise a ses cycles, elle revient comme un rdv programmé, c'est une horloge ponctuelle, elle va sonner à l'heure dite… Sauf que nous ne connaissons ni l'heure, ni le lieu, ni le temps, ni le facteur déclenchant qui ne peut se comprendre psychologiquement mais seulement "en conscience".

Durant la crise c'est par un réflexe primaire outré qu'on s'exaspère, on se croyait enfin tranquille, dans la paix…. Puis voilà qu'elle revient... putain mais c'est pas possible…

Cette crise, tant qu'elle ne provoque pas la compréhension énergétique et vibratoire de ce qu'elle charrie dans l'occulte, génère de la colère avant tout !

Suivant le contexte et la forme de la crise, le doute (et non la peur) peut s'insinuer plus ou moins durablement…

Ce doute-là n'est pas un doute existentiel, il questionne plutôt les failles dans une situation matérielle dont on se croyait en maitrise, ou que l'on croyait avoir étudiée à fond, résolue…Mais que nenni... on ne résout rien si l'énergie de "la chose incomprise" n'est pas intégrée, digérée vibratoirement… Cette chose reviendra inlassablement sous toutes les formes possibles, que l'on interprète toujours subjectivement, émotivement, le nez collé à "elle" et non à sa "réalité".

En fait le doute est un engramme, c'est aussi du parasitage astral de vieilles mémoires qui ressuscitent et n'ont rien à voir avec la crise dans "son objectif invisible"…

Lorsque la crise arrive à son terme, que "la pression est levée d'en haut", après coup on comprend "psychologiquement" un peu chaque fois ce qui se passe…
Cet espace-temps entre les deux augmente le curseur du discernement c'est l'utilité de la crise qui amortira le choc de la prochaine...

Seulement la crise suivante arrive sans crier gare pour être sûr d'être sûr qu'on a compris…
En fait c'est une gymnastique, un entraînement à comprendre "en conscience" ce qui se passe "sur le champs" et non psychologiquement "après coup"…

Nos crises, de transmutations en transmutations, nous libèrent de vielles mémoires de "mal être", tout comme la peur, logée dans le cerveau reptilien, refaisant surface selon la situation nous obligeant à la revisiter objectivement.

La neutralité mentale est constamment testée par tous les moyens, c'est un des marqueurs qui jauge et nous situe dans notre évolution… Elle à aussi un prix a payer pour que l'ego matériel ait de "la bouteille", de longues heures de vol afin que l'ego éthérique se matérialise supramentalement.

Lorsqu'on en a fini avec la compréhension "psychologique" de nos états d'âme puis qu'on regarde ce qui se passe "en conscience", la RÉALITÉ devient ÉVIDENTE…

Chaque crise évènementielle, peu importe son importance émotionelle et/ou subjective (viol, décès, perte d'emploi, relations toxiques, mortifères etc.) ce ne sont que des "CHOCS chirurgicalement CIBLÉS" par les plans chargés de notre évolution.

Ces chocs sont prévus, programmés, provoqués en fonction de chaque caractère, tempérament, niveau d'évolution et plan de vie de l'ego.
Ils ont pour UNIQUE objet d'ajuster le taux vibratoire physique, subtil et mental afin de créer "le contact télépathique " avec le double éthérique, voire avec ces intelligences supérieures…

Ces intelligences font ce travail "d'élagage" par la souffrance de l'ego depuis la nuit des temps… L'esprit le burine depuis peu de temps...

Rien n'évolue sans souffrance car l'énergie de la souffrance à une puissance atomique colossale, elle sera étudiée ça deviendra une science de l'énergie cosmique.

 

L'intimité entre un auteur et ce qu'il dit est "garante" d'une vibration authentique de la résonance avec l'énergie de l'expérience réelle et matérielle de l'existence terrestre…

Écrire sans réflexivité aide à la résolution d'une crise au lieu de se croire intelligent dans un ego rationnel se complaisant dans du blablatage stérile.

"La crise nous force à exprimer notre taux vibratoire, elle nous force à ressentir qu'il nous déçoit, notre taux vibratoire, elle nous appelle, elle nous invite, elle nous accule à le rehausser".

Je reprends quelques notes écrites ailleurs qui répondent également à ce que tu soulèves ici :

Tout ce qui n'est que réflexivité projective fait stagner l'ego dans son involution, alors que l'évolution nous fait énergétiquement changer...

Le double éthérique nous exprime avec la clarté de sa lumière. Quand l'ego aura compris l’illusion des mots il rentrera dans l’énergie des mots, cette énergie lui permettra de connaitre et/ou de vivre la fusion. Pour nous humains ce qui est important c’est le passage de l’énergie dans nos corps, avec la transmutation et l’électrification de nos cellules, afin d'utiliser créativement la matière.

Les portes de l’énergie s’ouvrent ainsi progressivement au contact des idées qui viennent de la manifestation de l’énergie à travers nous. A ce moment un changement du taux vibratoire général se produit, il permet d'absorber des doses d’énergies de plus en plus importantes. Nos 7 chakras sont définitivement interconnectés par ce flot qui passe du sommet du crâne au coccyx pour entrer dans la matière.

 

La vie est plus intelligente que notre ego, en voie de conscientisation, qui use et abuse de ses mécanismes de défenses et s'allume à chaque illusion de désastres, qui ne sont que peurs, craintes et aspirations tout a la fois aux désastres…

L'esprit et le double nous habitent entièrement tant en parole qu'en écriture dès l'instant que le lien télépathique à été créé et est devenu indéfectible.

Pour une personne qui possède une facilité de parole, la simplicité viendra d'un ego simple.
Le monde est plein de grands orateurs ingénieux et géniaux qui usent et abusent du double langage et discours manipulatoire et peuvent parler des heures durant sans avoir rien exprimé d'intelligent… ça s'apprend dans certaines écoles comme la "langue de bois"...

La parole, au sens que les supramentalien lui donne, est un instrument à double tranchant qu'elle viennent d'une bouche consciente, ou d'une bouche intelligente, n'a pas obligatoirement les attributs vibratoires dont Bernard expose les effets dans ses conférences. La transparence de l'ego est une conditions sine qua non, cette transparence est visible pour l'oeil et l'oreille qui sait entendre derrière chaque mots et chaque son des mots...

La parole de Bernard est exceptionnellement vibratoire et intelligente, dénuée d'ego, arrivant tout droit d'une dimension exempte d'astralisation ou d'intelligences bidirectionnelles et bidimensionnelles quelconques…

"La souffrance psychologique "ne fait pas partie de la vie créative mais de la vie existentielle et planétaire. Elle est un affront contre notre intelligence, c'est un instrument de torture involutionaire qui fait partie de l'expérience de l’âme, de notre esclavage de la domination astrale sur nous.

Cette souffrance psychologique est à l'opposé de la "souffrance vibratoire" que nous vivons à l'occasion de chocs traumatiques, test physique ou psychique dans le processus de fusion. Celle-ci permet l'évacuation des énergies "usées" (ou d'énergies astrales) qui déséquilibre temporairement notre conscience pour s'équilibrer à nouveau après les chocs évènementiels. La différence entre les deux est visible avant et après l'évènement dans la légèreté et la force qui s'ensuit de notre être.

On ne peut adhérer et syntoniser en conscience qu'avec ce deuxième type de souffrance qui se démarque par son absence totale de mots et d'effets de ronds de jambes des mots car désormais tout se comprend que vibratoirement et non rationnellement, encore moins psychologiquement ou intellectuellement.

C'est justement cette énergie dans la vibration des mots qui est adimensionnelle car elle habite chacun de nos atomes cellulaires, autrement dit "ce qui se conçoit bien s'énonce clairement", chaque atome étant cet œuf dont tu parles.

Notre autonomie se tisse à grande coups de volonté intelligente pour trancher dans le vif de notre astralité résiduelle en comprenant mentalement la vibration de l'évènement qui vient à nous pour nous aider à nous connaître un peu mieux chaque fois.

 

Dans les moments de total lâcher prise l'ego peut se sentir vibrer et se percevoir vibratoirement pour jouir simplement de cette énergie crépitante dans une paix absolue, ces moments totalement imprévisibles laissent des effluves dont il profite encore longtemps après leur passage.

L'ego conscient qui n'est plus insécure reconnait l'apparition parcimonieuse de ces moments, il s'accommode du calme plat entre deux n'étant dans aucune attente de sa réapparition.

Remettre à demain ce qu'on peut faire aujourd'hui est une satisfaction agréable à "tirer sa flemme" pour jouir d'un repos compensateur. De temps à autre il n'y a rien de contradictoire au processus d'évolution puisqu'il permet ces pauses physique/mentales dont on a tous besoin à notre rythme …

 

Que nous le voulions ou non nous gérons incessamment et automatiquement notre vibration dans le simple fait de s'écouter… Si j'ai envie de mon canapé plutôt que de l'aspirateur je vais m'écouter et la position allongée sera une bonne stratégie de gestion de ma vibration du moment présent…pour l'aspirateur a passer la vibration viendra elle aussi en son temps jusqu’à ce que la poussière me dérange… c'est cette programmation-là qui a le dernier mot…

Ta question de différer volontairement à un autre moment la maitrise des réactions de l'ego face aux évènements, psychologiquement, émotionnellement ou vibratoirement est intéressante quand ce que tu vis dans l'instant présent t'impose un regard objectif et immédiat sur la réaction… Je reprends ton credo de ne pas se juger quand la réaction est ce qu'elle est, nous avons tous une marge d'essaies et d'erreurs élastique comme dans tout laboratoire d'études…car il n'y a dans notre processus aucune obligation de performance, les choses se faisant a un rythme ordonné... sans "douter" que dans tous les cas les choses se font à notre insu, que notre programme millimétré se déroule exactement à la bonne heure pour chaque chose. Comme tu dis " savoir qu'il n'y a pas de reproche à se faire ni à autrui, etc.".

Lâcher prise oui en abandonnant sciemment et en conscience ses résistances sans pour autant baisser les armes car en effet l'ego invaincu a "du pain sur la planche" pour laisser les rennes à son double.

 

Notre centre atomique, noyau de toutes vies multidimentionnelles concentrées en nous, obéit à des lois cosmiques connues seulement de notre double qui a des liens directs avec l'origine des origines.

Notre ego subit les mouvements de ces lois invisibles, elles font parties de sa programmation. S'il est prêt à se "tasser", et à céder les rennes de son véhicule à son jumeau, le lâcher prise sera total alors ne se poserons plus les appréhensions subjectives émotionalisantes.

Les allers/retours incessants sur les plans de la mort font accumuler des "vielles choses", comme dans un grenier qui ne se videra pas tout seul tant qu' un grand débarras ne se fera pas…

La fusion, qui arrive à point nommé, est synonyme de nettoyage, de videangage, d'appel aux éboueurs qui vous débarrassent de ce qui ne sert plus, jusqu’à ce que le grenier de la mémoire soit nickel, vide de tous miasmes astraux.

Cela demande du temps, de la patience, des rechutes et des rémissions, d'endurer des souffrances vibratoires et des tests multifactoriels sous de multiples formes déclenchantes.

Si l'ego apprend à intégrer sur le champs ce qui est en train d'arriver, sans rien juger, il en intègre vibratoirement les tenants et les aboutissants. Il souffrira de moins en moins, il aura même tendance à vouloir en rire de cette Game-là...

 

Le noyau de notre âme" est issu de l'étincelle atomique du "bing bang" créé par la puissance des créateurs d'âmes qui habitent toutes les dimensions où réside un soleil atomique.

On ne se vidange pas de ce noyau atomique mais de tout ce qui pollue ce noyau en circonférence.

 

De mon point de vue c'est l'ego qui est le principe de la volonté. Ce principe s'est développé très tôt dans notre enfance, puis il est devenu "volonté consciente" avec l'entrée dans le processus.

L'ego éthérique ou cosmique est, de mon point de vue encore, le principe de l'intelligence, une intelligence du même taux vibratoire que le cerveau éthérique.

S'il y a une logique dans tout ça il revient à l'âme de lui attribuer le principe de l'amour. L'âme est le prototype indégradable et éternel de ce qui a été conçu en premier lieu par l'étincelle originelle et créative des fabricants d'âmes ou les "éternels"ou éthéréels…