Le droit à la télépathie

 EN COURS


Ces FOCUS sont des espaces réservés aux échanges d'idées pour faire évoluer l'instruction "descendue" par BDM de manière équitable, collaborative, créative et générative. Prière de ne pas déformer, ni plagier, les transcriptions originales de l'œuvre de Bernard de Montréal proposées pour étude, la seule référence est l'audio qui l'accompagne. Un résumé personnel, des citations et/ou des liens sont admis pour initier ces échanges. Aucune inscription ni abonnement n'est requis, anonymat garanti. ** Polémiques stériles et énergivores, non-respect de la parole de l'autre, critiques malveillantes, tribune spirituelle pour egos surdimensionnés, auto-promotion… iront directement dans la corbeille.


 

 

Être sur le chemin de l’évolutionc’est mener une étude

BDMPE-028

 

 

 

 

BDM: "D'autres personnes continueront ce travail de développement pour comprendre réellement les mécanismes occultes de la conscience. Ce sera important pour l’homme de pouvoir, en tant qu’ego, se référer à cette science-là pour comprendre sa relation avec sa source, donc avec les forces voilées qui font partie de sa supraconscience, afin de se protéger sur la terre et de vivre une vie de plus en plus agréable".


Extraits de "Le droit à la télépathie" dans PE 24 proposé par Edwige. Ils sont prétextes à échanges avec BDM, avec sa source et à leurs prolongements génératifs sur Focus. Audio sur bdm.place

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Commentaires: 80
  • #1

    Edwige (lundi, 09 décembre 2019 22:15)

    1 Bernard
    Dans l’expérience humaine, quand on parle avec quelqu’un, on développe des choses, il y a de l’échange qui se développe puis il y a des prises de conscience qui se font. Au niveau cosmique c’est la même chose, dans l’évolution, l’Homme sera en communication télépathique avec le plan mental. Le fait de parler avec une intelligence de façon objective, ça ouvre instantanément des plans de conscience, jusqu’à quel point l’Homme va pouvoir le faire ça, ça dépend de sa propre conscience individuelle.

    Edwige
    Les échanges respectueux de la vibration de l'autre génèrent d'autres échanges qui s'affinent en intelligence et en conscience révélatrice. Le respect de la vibration de la source qui communique avec nous dégrossit le canal le télépathique en affinant la perception sensorielle et la subtilité de l'information qui descend. La communication intelligente qui ne passe pas par l'ego subjectif ni ses désirs, élargie les centres psychiques par lesquels coulent limpidement l'énergie créative de l'écriture télépathique. L'humain qui évolue progressivement sans chercher à évoluer, ça se fait à son insu, est assuré de la durabilité et de l'authenticité de cette communication.

    Josée
    Parler avec objectivité sur le plan matériel nous fait brûler du karma. Parler avec objectivité sur le plan mental nous fait brûler de la spiritualité. Quand on entre en contact avec un être humain avec qui on a un lien karmique ou quand on contacte le plan mental au début, on a respectivement le karma ou la spiritualité qui est à son maximum. Dans les deux cas, pour avoir l’objectivité qui va libérer la connexion, il faut être centré sur soi malgré le fait qu’on n’est pas des ingrats.

  • #2

    Josée (lundi, 09 décembre 2019 22:16)

    2 Bernard
    Si l’Homme s’exerçait à intervenir par télépathie tout le temps sur le plan mental, éventuellement son ego s’ajusterait, sa vibration s’ajusterait et éventuellement l’Homme découvrirait qu’il a en lui énormément de réponses.

    Edwige
    L'entraînement à la télépathie mentale au quotidien et de plus en plus longtemps jusqu'à ce que cela devienne une seconde nature burine l'ego jusqu'à sa transparence totale. Le taux vibratoire des corps subtils étant élevé également il n'a plus de question car toutes les réponses sont déjà en lui.

    Josée
    Un homme qui s’exercerait à ajuster son ego par rapport à sa télépathie, se désemcombrerait de ses croyances. Il se connecterait ainsi par lui-même et de mieux en mieux aux circuits universels et découvrirait avec une certitude grandissante que le savoir qui y circule circule aussi en lui.

  • #3

    Edwige (lundi, 09 décembre 2019 22:17)

    3 Bernard
    La science, elle est vaste et la science n’appartient pas simplement à un individu. La science intégrale fait partie du mouvement de la lumière à travers l’Homme, elle fait partie de l’homme, il n’est pas habitué à constater en lui-même qu’il a accès à cette science-là parce que la mémoire de sa race est trop forte.

    Edwige
    La science intégrale est aussi étendue que tous les univers réunis dans l'humain, mais il est empêché de faire corps avec l'énergie de cette science car son âme est totalement pervertie par des mémoires ancestrales.

    Josée
    Il faut que le plan mental nous impose une initiation pour nous faire prendre pleinement conscience du petit théâtre bien hermétique où on est enfermé. Il faut donc qu’ils ouvrent plus ou moins violemment un canal dans l’ego. Ensuite ils travaillent à nous faire voir l’opacité de ce canal, ce qui fait qu’on réalise enfin leur présence et on finit par apprendre à se tasser pour les laisser travailler.
    Mais quand le canal est assez dégrossi pour permettre une communication dans les deux sens, tout change. Alors c’est à nous autres - et à nous autres seulement - de développer avec eux une communication qui va dans les deux sens. C’est comme si l’Angleterre avait créé le tunnel sous la manche sans la France et que la France devait maintenant se désimpressionner de ça et y envoyer son trafic avec sa pleine prépondérance nationale.
    On doit maintenant déranger l’Angleterre. Le tunnel n’est plus un chantier, on a droit d’y entrer en force et, ce faisant, on se centre et, ce faisant, on devient nous-mêmes un centre de circulation et, ce faisant, on ne voit plus l’Angleterre comme un centre de circulation ou le tunnel comme un centre de circulation. On est l’égal des instances du plan mental mais on doit l’implémenter. On rayonne kif kif seulement si on se donne prépondérance en ce qui a trait à situer le centre de la circulation. Sinon, c’est qu’on est en train de se faire sucer les méninges par l’astral.

  • #4

    Josée (lundi, 09 décembre 2019 22:18)

    4 Bernard
    Un ego qui veut tout savoir, là vous allez faire de l’anxiété. Vouloir tout savoir ça, ça fait partie du corps de désir, c’est une perte de temps, pouvoir accéder à tout quand vous avez besoin, là ça vaut la peine, pouvoir accéder à ce que je veux savoir, ça c’est mon droit.

    Edwige
    Un ego curieux, qui emmagasine du savoir est en mal chronique du désir de briller en société, perd du temps dans des diners mondains pour épater la galerie, c'est un ego narcissique… Cet ego ne sait pas que dans l'échange réciproque il peut savoir tout ce qu'il a besoin de savoir car c'est de la prérogative de l'ego transparent dans son autorité intérieure.

    Josée
    Avec le plan mental, on est en attente d’information de façon plus pernicieuse que sur le plan matériel. Le désir, la curiosité, c’est de la mendicité spirituelle, on tire sur la jupe ‘s’il te plait maman’ mais maman-le-plan-mental est occupée alors on met un couvercle spirituel sur la pulsion et on se ronge un ongle pour pas dire qu’on se ronge un nerf. Comme tu dis, un ego qui est dans sa transparence repère son attitude mendiante et se recentre dans son autorité propre. C’est de là qu’il sait ce qu’il a réellement besoin de savoir et qu’il commande de savoir.

  • #5

    Edwige (lundi, 09 décembre 2019 22:18)

    5 Bernard
    La dualité qui vous habite, ça fait partie de la réflexion de votre conscience mentale. La conscience mentale c’est une conscience réfléchie. Puisque vous pensez, vous êtes obligé de réfléchir constamment sur ce que vous savez et vous ne pouvez pas comprendre ce que vous savez. Comprendre ce qu’on sait implique automatiquement ne pas pouvoir réfléchir dessus. Si je réfléchissais, je serais automatiquement habité par la polarité de ma conscience mentale et automatiquement je voudrais saisir les deux aspects de ce que je sais, c’est-à-dire ce que je pense que je sais, puis ce que je voudrais être sûr de ce que je sais. je serais automatiquement victime du phénomène de la vérité puis du mensonge, il faut réellement comprendre que la vérité, c’est l’envers du mensonge.

    Edwige
    Nos polarités féminin/masculin en déséquilibre sont en perpétuel combat entre la réflexion du rationnel et de l'intuitif. Le masculin rationnel qui réfléchit sur ce qu'il croit savoir empêche de comprendre ce que le féminin intuitif sait. Le féminin intuitif, directement connecté à sa source, a du discernement pour cerner la polarité des deux pôles de sa conscience mentale avec un qui croit savoir et l'autre qui doute. Entre croire et douter le point de vérité se situe au milieu dans le discernement.

    Josée
    On a droit à nos besoins, ils sont notre chemin. Comprendre est un besoin. En ajustant son ego dans une télépathie mentale, l’homme satisfait son besoin, il le fait par lui-même et de façon assouvissante. Il n’a plus besoin de ressasser la chose par la suite. S’il le fait, il revient en arrière, dans ses jeux d’ombre et de lumière qui ne produisent que du doute.

  • #6

    Josée (lundi, 09 décembre 2019 22:19)

    6 Bernard
    Une fois que l’Homme va être en conscience mentale, que l’Homme va être en conscience intégrale, que l’Homme va avoir un mental unifié, il ne sera plus intéressé à la vérité, quand on n’est plus intéressé à la vérité, on n’est plus intéressé à savoir, parce qu’on a accès à ce qu’on a besoin de savoir pour le travail qu’on a à faire. Un Homme qui sait quoi que ce soit, ce n’est pas pour lui qu’il sait, c’est pour son travail. Je peux très bien vous dire quelque chose dans un temps, puis dans un autre temps, le défaire, pour aller plus loin dans la recherche du mystère, c’est-à-dire dans l’effondrement du mensonge.

    Edwige
    Avec un cerveau éthérique développé et ancré dans son autorité intérieure il n'y a plus aucun autre intérêt que communiquer avec sa source, sans pour autant communiquer ce que l'ego désire mais ce que le job est programmé à faire. Dans cette communication télépathique progressive les informations peuvent sembler se contredire, en fait elles se remanient grâce à l'affinement du processus vers le détricotage du réel dans l'information.

    Josée
    L’ego conscient travaille d’arrache-pied pour détricoter l’information mentale et y démanteler le mensonge là où qu’il se terre en effet de miroir de ses propres mensonges. On déloge beaucoup de mensonge en en vomissant un sans le dépolariser complètement ce qui nous fait tomber dans la peur de ce mensonge qui est aussi un mensonge - à régurgiter aussi. Mais tout ce temps-là la vibration s’altère, elle franchit ses seuils et ses étapes. C’est tout naturellement qu’on apportera dans le monde ce qu’on est en train de découvrir maintenant sur le mensonge.

  • #7

    Edwige (lundi, 09 décembre 2019 22:19)

    7 Bernard
    Au début c’est normal de souffrir de savoir, parce qu’au début, on n’est pas capable en tant qu’ego de contenir le mouvement de l’énergie qui est perpétuel. Quand vous serez bien exercé à contenir votre savoir, tout le temps, 24 heures par jour dans n’importe quelle expérience, éventuellement ça ne vous dérangera plus, puis à ce moment-là, le savoir ça fera partie intégrale de votre conscience, habituez-vous à savoir.

    Edwige
    Au commencement du processus de conscience télépathique la souffrance est aigüe, à fleur de peau. Cette énergie de création incessante est difficile à supporter en continue, des pauses et du repos sont indispensables pour intégrer cette nouvelle faculté. L'entrainement au quotidien, dans les plages horaires qui nous convienne au début, aide à élargir ce temps de connexion à la source qui se transmute en seconde nature, en conscience intégrale d'où le savoir coule de source à la demande.

    Josée
    La volonté est un principe, avec ses corollaires, le discernement, le respect, la résilience, la neutralité. La permanence ne peut pas être un principe, il y a toute une série de réarticulations de notre programmation où le repos a sa place pour équilibrer la souffrance. Quand on traverse cette impermanence, on souffre de ce qu’on sait, on s’y attache, on s’y identifie, on veut être reconnu par les autres et puis on vit la polarité inverse, on bute à notre ignorance et à une déception qui nous accable. Heureusement le désir de savoir baisse, remplacé par le besoin de nous protéger. De là, un besoin de permanence se développe, on est saisi du goût de prendre le contrôle de la continuité de la télépathie. On détient les clés du paradis.

  • #8

    Josée (lundi, 09 décembre 2019 22:20)

    8 Bernard
    Quand la vibration va se développer, puis elle va se développer, que la conscience va grandir, c’est comme si vous allez être toujours en conscience par rapport à ces plans-là, par rapport à votre, par rapport à la vibration, à ce moment-là, ça n’arrête plus, ça fait partie de ta vie, ça fait partie de ton êtreté, ta réalité.

    Edwige
    A force de s'ancrer réellement dans l'intelligence et la volonté de sa conscience mentale dans un parfait équilibre des 3 cerveaux intuitif - rationnel – émotif, la conscience vibratoire et le lien télépathique avec la source se fortifient pour s'établir définitivement, c'est l'accouchement d'un nouvel ego dans sa réelle identité.

    Josée
    La vibration, c’est la manipulation, toujours reprogrammée, du plan mental (ou, dit plus spécifiquement, la manipulation de notre contrepartie sur le plan mental, parfois appelée ajusteur de pensée). Mais c’est aussi ce qu’on appelle notre ‘conscience’. C’est notre énergie intégrale de l’instant, avec ses goûts et ses dégoûts qui sont nos besoins réels de l’instant. Même si elle nous tend des pièges, il faut coller dessus sinon elle peut être récupérée par l’astral. Coller à sa vibration signifie rester neutre face à notre programmation. Ça signifie être toujours en conscience par rapport à ces plans-là.

  • #9

    Edwige (lundi, 09 décembre 2019 22:20)

    9 Bernard
    Quand vous commencez à savoir, vous ne pouvez pas reculer en arrière, ça grandit puis ça grandit, seulement ça se raffine puis ça s’ajuste puis ça s’ajuste, puis ça s’ajuste. C’est quand on commence à savoir qu’on sait, puis qu’on sait qu’on sait, puis qu’on est sûr qu’on sait, qu’on a la certitude de savoir, qu’on commence à être bien dans notre peau. À ce moment-là on est moins intéressé à des questions mais on est capable de les formuler pour simplement étendre le savoir puis le développer. Quand vous serez réellement établi dans votre savoir, vous ferez comme moi, puis vous direz comme moi, que ça n’a pas d’allure de ne pas savoir.

    Edwige
    Dans le processus vers une conscience mentale intégrale aucun saut en arrière n'est possible. Le TGV de la télépathie roule à grande vitesse vers la source, il accroche toujours plus de wagons dans lesquels on est assis confortablement pour déchiffrer vibratoirement les informations pointues qu'ils contiennent sans douter de ces informations. On est capable d'énoncer clairement son besoin de les développer pour aller plus loin encore.

    Josée
    Après des débuts si patients qu’on en languissait de doute, l’évolution devient si rapide qu’elle remplit les journées de découvertes. On n’est plus dans la brume existentielle, on est au pays des réponses et autres retours sur l’investissement. Le gros du karma est brûlé.

  • #10

    Josée (lundi, 09 décembre 2019 22:21)

    10 Bernard
    Quelle est l’importance de la conscience supramentale sur Terre ? Il n’y en a pas d’importance, ce qui est important c’est la psychologie qui est en arrière. La conscience supramentale, ça va être simplement le résultat de cette psychologie extraordinaire que l’Homme va développer lorsqu’il va prendre conscience qu’il est à la fois âme et esprit. On vit bien plus comme si on était des âmes que des esprits ! Est-ce que vous avez tendance à vous mettre sous la vibration d’un autre ? en tant qu’âme, on est prêt à se mettre sous la vibration d’un autre ou d’un système alors qu’en tant qu’esprit, on n’est pas capable !

    Edwige
    De tous temps nous avons été sous la tutelle d'une âme programmée pour son expérience et non programmés pour utiliser intelligemment la puissance de l'énergie vibratoire de la lumière de notre esprit. De fait cette âme nous a assujettis à l'astralité des basses vibrations des autres et du système matriciel. En prenant conscience que nous ne sommes pas habités seulement par une âme en quête d'expériences mais habités également par un esprit qui peut aider l'ego à entrer dans une conscience supramentale. En développant cette conscience au-delà du mental réflectif, l'ego entrera dans une conscience intégrale, dans une nouvelle science ; celle de la psychologie évolutionnaire.

    Josée
    L’esprit arrive sur Terre, en ce monde de chimère, rendu manifeste via la conscientisation vibratoire individuelle des gens sensibles. L’arrivée de l’esprit se révèle dans le secret de leur ego, où il leur dicte la voie de leur survie. C’est si central, si intime que tous ces gens sensibles reconnaissent le réel de ces dictées et permettent que ces dictées de l’esprit les réintègrent au réel. Cesser de tourner en rond comme leur dicte leur âme est difficile mais ressenti comme un remède urgent.
    ENFIN l’avenir verra se renchérir l’une l’autre la sensibilité vibratoire et la diffusion vibratoire de la nouvelle instruction. Les gens sensibles, éveillés à la nature vibratoire de chaque situation où ils se retrouvent, se verront éventuellement dans l’impossibilité totale de ne pas se respecter vibratoirement. Chacun deviendra alors in-capable de se mettre sous le taux vibratoire de qui ou quoi que ce soit au nom d’une forme quelconque enregistrée dans son âme.

  • #11

    Edwige (lundi, 09 décembre 2019 22:21)

    11 Bernard
    Est-ce que vous avez tendance aussitôt que vous êtes en opposition avec un autre ordre d’autorité ou d’idée vous vous mettez en vibration ? Si vous dites : ça me met en vibration, vous êtes en mouvement vers le développement de votre esprit ou d’intégration de votre esprit avec votre âme ! ça fait partie du processus d’unification, de fusion. C’est là que la vie commence à être intéressante, c’est là que la conscience commence à être intégrale, c’est là que l’Homme commence à être réel. C’est là que l’Homme se sépare de sa nature animale et commence à rentrer dans sa nature systémique ou cosmique. La vie commence à être intéressante, en tant que science ! Elle est très intéressante, parce que là, elle est ouverte à TOUT ! Puis tout est compréhensible, tout se comprend.

    Edwige
    Lorsque nos automatismes nous prédisposent ou nous éduquent à nous mettre en "opposition" avec ce qui est conventionnel, nous entrons dans un processus de conscientisation et progressivement vers la fusion âme/ego/esprit. Cette fusion transforme l'homme animal en homme réel, qui dispose d'une conscience intégrale pour communiquer avec son double éthérique, cosmique et l'esprit universel. Sa vie enfin devient passionnante car il observe les souffrances comme une science ouverte à tous les possibles où tout est accessible à la compréhension mentale.

    Josée
    L’opposition, c’est une affaire de centricité. L’opposition ressentie par l’ego entre la centricité et le test lui pose un choix : se soumettre (se trahir) ou se respecter. Se respecter exige de se mettre en vibration pour résoudre le test créativement.
    La théorie est simple mais la pratique demande de la maturité, c.a.d. un écœurement d’être victime de quoi que ce soit, grosse malédiction ou petite pensée. Quelle que soit la forme de test présentée par le plan mental, il faut se brasser, échapper à la tentation de se soumettre et mettre à profit l’intelligence universelle en soi. Intégrer l’impression de dualité de l’opposition, c’est se ramener au bon endroit : soi !

  • #12

    Josée (lundi, 09 décembre 2019 22:22)

    12 Bernard
    Parler avec l’invisible, ce n’est pas précis, parce qu’une fois que vous allez commencer ça, ça s’ouvre puis ça s’ouvre puis ça s’ouvre. Quand vous êtes en communication intérieure, apprenez à ne pas croire. Si vous êtes capable de comprendre ça une fois pour toutes, c’est correct, sinon ils vont vous charrier, ils vont vous charrier ! Faites la communication mais protégez-vous tout le temps. Si vous ne croyez pas, vous n’aurez jamais de problème avec personne, que ça soit de l’astral, le mental.

    Edwige
    La communication télépathique se fait "réelle" progressivement, au début on tâtonne, on explore, on objective les informations tel un détective qui traque les désirs narcissiques de l'ego et les empreintes vampiriques astrales. Peu à peu on ne croit plus ni ne désire plus rien, on n'a plus de doute sur la réalité de ce qui descend, on fait confiance en sa source tout en s'interposant aux intrus qu'ils soient astraux, egotiques ou venant d'autres plans d'intelligences archontiques, lucifériennes ou sataniques.

    Josée
    Sans centricité, la communication est unilatérale, c’est de la manipulation réussie à nos dépens. Ce qui vient de l’invisible doit être ajusté ici, à nos frais consentis ici sur le plan matériel.

  • #13

    Edwige (lundi, 09 décembre 2019 22:23)

    13 Bernard
    Ça va vous permettre en tant qu’ego de vous habituer à des notions plus vastes, à un champ de conscience plus vaste, ainsi de suite. Votre conscience va s’ouvrir puis s’ouvrir. Puis ça va vous amener graduellement à être plus confiant en ce que vous savez. Puis vous allez voir, vous allez réaliser que vous savez beaucoup de choses. Mais ne croyez pas, il ne faut jamais croire !

    Edwige
    En faisant confiance en sa source, tout en s'interposant aux intrus qu'ils soient astraux, egotiques ou venant d'autres plans d'intelligences archontiques, on entre dans un champ de conscience unifié de plus en plus élargi. On ne doute plus de ce que l'on sait au moment où l'information descend tout en gardant la distance nécessaire pour que le discernement établisse la réalité de ce qui vient au bout des doigts, sous la plume ou le clavier.

    Josée
    C’est notre discernement ici sur Terre qui établit le réel dans le grand sidéral. Notre discernement est un outil indispensable aux circuits universels. Mais pour le développer il faut voir en quoi il nous est indispensable à nous. Nous nous syntonisons avec les circuits universels chaque fois que nous ajustons ce que le mental envoie dans ce canal qui nous traverse, qui constitue notre conscience. Croire va au contraire ajouter de l’opacité au canal. Croire c’est s’attacher au passé.

  • #14

    Josée (lundi, 09 décembre 2019 22:23)

    14 Bernard
    La capacité de savoir si son malheur est temporaire ou permanent la communication avec les plans est importante, une fois que l’Homme va s’être saisi de cette réalité-là, à ce moment-là il ne sera plus seul avec son malheur, puis il va pouvoir automatiquement changer son taux vibratoire, puis graduellement rentrer en conscience, quand vous entrez en conscience, ces aspects astraux-là se défont, et éventuellement vous reprenez votre équilibre.

    Edwige
    La communication avec sa source permet d'objectiver la nature vibratoire de la souffrance. Ces notions nouvelles amènent à une compréhension cosmique de l'énergie créative des émotions en tant que science du mental.
    Cette compréhension change progressivement le taux vibratoire des corps subtils pour entrer dans une conscience élargie qui détruit les formes psychologiques de la souffrance et nous ramène dans l'équilibre énergétique de tous nos corps physique et éthérique.

    Josée
    La science de l’émotion, c’est ici qu’elle va être inventée. Notre moulin va tourner, notre rivière va couler. Et tout ce qui court comme énergie dans l’univers va se débloquer un tant soit peu.
    La solitude de l’inconscience est une promiscuité avec les entités astrales. En faisant table rase de ces intrus, on se libère se l’englobement d’un chagrin d’être seul que l’astral avait induit.

  • #15

    Edwige (lundi, 09 décembre 2019 22:24)

    15 Bernard
    Quand tu commences à être en contact avec le plan mental, il y a des changements vibratoires qui se passent dans ta conscience, puis tu ne vis plus ton humanité comme avant. À partir du moment où tu arrêtes d’être innocent, puis tu commences à être conscient c’est là que tu t’aperçois que la vie n’est plus comme avant.
    On ne peut pas reculer puis il ne s’agit pas de reculer, seulement il ne s’agit pas de se presser non plus.

    Edwige
    Le contact avec la vibration de l'énergie supramentale provoque des bouleversements vibratoires dans notre conscience. En sortant de l'ignorance spirituelle on devient conscient des mensonges perpétués contre nous. Notre vie prend un nouveau départ, tous les plans de cette vie sont naturellement affectés, on ne peut faire marche arrière mais marcher autrement dans cette nouvelle direction sans se faire disperser et à son rythme.

    Josée
    Il est tentant de voir le plan mental comme quelque chose d’extérieur à notre personne qu’il faut inclure dans la résolution de nos problèmes et qui par ailleurs nous règle des problèmes vieux comme le monde, mais par surprise - comme un ami qui passe chez vous quand tu n’es pas là et qui sort son doigté d’homme à tout faire pour te réparer 2-3 trucs. Mais cet ordonnancement des choses émane de l’élévation soudaine de notre taux vibratoire qui nous intègre plus avant dans les circuits universels et fait que la puissance passe désormais par nous, le plus souvent par bouffée volontaire de conscience mais parfois aussi juste par notre état vibratoire, à l’insu de l’ego.

  • #16

    Josée (lundi, 09 décembre 2019 22:24)

    16 Bernard
    Si vous vous pressez, vous allez spiritualiser votre nature puis automatiquement vous allez diminuer votre nature, vous allez vous couper de vivre. Ne vous coupez pas de vivre parce qu’un jour, vous allez revenir, puis vous allez vouloir vivre, que vous soyez conscient ou n’importe quoi à partir du moment où ils vont vous prendre en main, à ce moment-là vous allez vouloir débarquer du train, puis là vous ne pourrez plus !

    Edwige
    Évoluer à son rythme sans empressement est capital pour se désastraliser progressivement. Si nous sommes soutenus et habités réellement par nos instances éthériques elles ne nous feront pas oublier qui nous sommes, ni ne nous empêcherons de vivre notre plan matériel car elles ont aussi à apprendre de nous dans la matière.

    Josée
    Comment ça, ils vont nous prendre en mains ? En tout cas, pour commencer avec ce qui est plus clair, la nature humaine doit être centrée ici, gérée ici, équilibrée par nous-mêmes. Mais cette prise en mains ne correspond qu'avec la phase de l'intégration de la fusion. Quand on se morontialise, on vit une programmation mur à mur, comme le visiteur du musée qui se fait diriger de salle en salle et expliquer les choses par un écouteur dans son oreille. Comme dans l'exemple, on est content quand même parce qu'on va de découverte en découverte.

  • #17

    Edwige (lundi, 09 décembre 2019 22:25)

    17 Bernard
    Pourquoi est-ce que l’Homme veut évoluer ? Ils disent : Parce que son âme est incertaine ! C’est l’incertitude. Si vous aviez de la certitude dans votre être, vous ne seriez pas intéressé à évoluer. S’il ne vous manquait rien, vous ne seriez pas intéressé à évoluer, c’est parce qu’il y a une partie de vous autres qui manque, vous n’êtes pas satisfait. Le gars il perd son job, il n’est plus intéressé au sexe, il n’est plus intéressé à faire l’amour à sa femme, il n’est plus intéressé, il veut devenir conscient ! Là, quand vous pensez à fusionner, là vous êtes faite à l’os !

    Edwige
    L'incertitude est un manque flagrant de transparence de l'ego insatisfait de sa vie et obsédé par des changements qu'il attribue à la conscience et non aux travaux de sa volonté et de son intelligence. Abandonnant tout ce qui fait sa vie matérielle, pour laquelle il s'est incarné sur terre, il se croit dans un chemin évolutif de fusion, alors qu'il n'est que bluffé par des illusions astro-spirituelles.

    Josée
    Sur la Terre, la personne riche veut continuer à s’enrichir, la vedette veut devenir encore plus populaire, l’intello veut toujours manger de nouveaux livres, mais au niveau vibratoire, plus ta fréquence monte, plus s’estompe ton ancien désir de monter parce que le désir ne survit pas à cette altitude.

  • #18

    Josée (lundi, 09 décembre 2019 22:25)

    18 Bernard
    Dans l’évolution de la conscience supramentale sur la Terre, l’homme ne croira pas. Il n’aura même plus les mécanismes intérieurs pour croire. Parce que sa pensée aura été changée par de la télépathie. Parce que croire est à l’involution ce que ne pas croire est à l’évolution. Si vous ne croyez pas, vous vous protégez, si vous vous protégez, vous êtes sain. La croyance, c’est le début du mal. La vibration, elle va grandir au fur et à mesure où vous allez vous habituer en tant qu’ego à supporter ce que vous savez, sans croire.

    Edwige
    En grandissant dans une conscience au-delà du mental inférieur toutes les croyance et illusions s'effondrent par la télépathie supramentale. Cette télépathie est un garde-fou contre les conditionnements spirituels, elle nous protège contre l'insanité astrale et la vibration télépathique de notre source universelle nous entraine à savoir sans douter d'elle.

    Josée
    Je me demande si la mécanique éthérique qui produit la capacité de croire ne vient pas de la présence du règne élémental dans l’éther de nos neurones. Car il me semble que, comme les bactéries qui soutiennent le travail de nos intestins, les entités élémentales ont toujours soutenu le travail de notre corps éthérique. Peut-être que leur travail de bas éther plaçait nos neurones sous la vibration astrale où tout est associé par croyance. Le contact avec l’espace outre-astral les fait peut-être changer d’allégeance et cesser de participer à notre capacité à croire.

  • #19

    Edwige (lundi, 09 décembre 2019 22:26)

    19 Bernard
    La fusion, c’est un constat universel. L’état d’éveil de Bouddha, c’est un état mystique. On n’en est plus là, on est rendu en 1995, puis on a évolué depuis Bouddha. On est rendu dans le plan mental intégral, on est rendu dans le contact télépathique, on est rendu dans l’ouverture des circuits universels. On est rendu dans la compréhension du principe de l’amour, on est rendu dans la Bouddha c’est un mystique, on n’est plus là-dedans, c’est fini ça ! C’est le haut astral Bouddha. On est rendu dans le mental intégral.

    Edwige
    Le mysticisme vient du haut astral nous avons crevé ce plafond pour entrer dans un plan ouvert aux circuits universels par le contact télépathique avec notre source. De ces contacts progressifs émergent la systématisation consciente du moi humain par le mental intégral, il nous aide à comprendre le principe de l’amour, voire à le réaliser ; c'est ça la fusion.

    Josée
    Ça ne goûte pas pareil vibratoirement, de s’écouter parler avec mysticisme et d’être partie prenante de la systématisation consciente et intégrale du moi humain. Mais tant qu’on n’est pas rendu dans cette dernière, on aura seulement une idée sur les deux. Et quand on marche avec seulement une idée psychologique des choses, on ne marche pas avec notre centre de gravité et on glisse de tout côté parce qu’on s’échappe et qu’on est récupéré par mille béquilles.

  • #20

    Josée (lundi, 09 décembre 2019 22:26)

    20 Bernard
    Les initiés du passé ont fait un travail, ont fait leur job. Ils ont établi un niveau de conscience sur la Terre pour la suprématie des plans astraux, puis dans l’évolution, la conscience sur la Terre qui va être établie par le principe de l’intelligence, ça va être pour la suprématie du plan mental.

    Edwige
    Les initiés de l'involution ont eu leur rôle dans la domination des plans astraux sur nous comme tout en chacun sur terre. Aujourd'hui le principe de l’intelligence devient la norme universelle du plan mental supérieur avec l'Intelligence et la volonté, dans un parfait équilibre des 3 cerveaux intuitif - rationnel – émotif, dans une conscience déspiritualisée, désastralisée, dé-égoïfiée.

    Josée
    Rien ne pouvait se manifester sur Terre et rester intact d’une récupération par les forces de domination. Tout ce qui fut beau fut enlaidi, tout ce qui fut simple devint compliqué, etc, parce que tout s’enfonçait dans l’artifice mis en place pour optimiser notre dominabilité. Maintenant que l’entropie atteint son comble, il ne dépend plus que de nous, à force de générer sur Terre la volonté et l’intelligence inhérentes au réel, d’exercer nos droits réels et d’assurer notre intégration individuelle au réel.

  • #21

    Edwige (mardi, 10 décembre 2019 11:47)

    1 Josée
    Parler avec objectivité sur le plan matériel nous fait brûler du karma. Parler avec objectivité sur le plan mental nous fait brûler de la spiritualité. Quand on entre en contact avec un être humain avec qui on a un lien karmique ou quand on contacte le plan mental au début, on a respectivement le karma ou la spiritualité qui est à son maximum. Dans les deux cas, pour avoir l’objectivité qui va libérer la connexion, il faut être centré sur soi malgré le fait qu’on n’est pas des ingrats.

    Edwige
    L'objectivité du regard et du senti, qu'il soit rationnel, intuitif ou émotionnel touche a de vieilles mémoires, karmiques et/ou spirituelles, dont on a besoin de couper les liens énergétiques qui nous relient à elle/lui, la mémoire ne se détruit pas les liens énergétiques avec elle oui. Au début du processus on vient en contact avec la lumière de l'ego, comme un boulet de canon, avec toutes ses charges énergétiques de l'involution. Cette lumière va buriner l'ego pour opérer un retour en soi dans un reset progressif sur karmas, formatages et conditionnements divers qui vont nettoyer le passage de la communication télépathique.

  • #22

    Edwige (mardi, 10 décembre 2019 11:48)

    2 Josée
    Un homme qui s’exercerait à ajuster son ego par rapport à sa télépathie, se désencombrerait de ses croyances. Il se connecterait ainsi par lui-même et de mieux en mieux aux circuits universels et découvrirait avec une certitude grandissante que le savoir qui y circule circule aussi en lui.

    Edwige
    Un homme qui s’exercerait à ajuster son ego par rapport à sa télépathie,
    Seule la programmation permet un travail de l'ego réel et certain à son centre télépathique vers les circuits universels d'où coule le savoir. Tout autre support de communication sera astral, considérant que l'astral a pu aider, parfois, à l'aboutissement de belles et grandes choses expérimentales dans des domaines qui ont servi à faire évoluer l'homme a son stade involutif.

  • #23

    Edwige (mardi, 10 décembre 2019 11:49)

    3 Josée
    Il faut que le plan mental nous impose une initiation pour nous faire prendre pleinement conscience du petit théâtre bien hermétique où on est enfermé. Il faut donc qu’ils ouvrent plus ou moins violemment un canal dans l’ego. Ensuite ils travaillent à nous faire voir l’opacité de ce canal, ce qui fait qu’on réalise enfin leur présence et on finit par apprendre à se tasser pour les laisser travailler.
    Mais quand le canal est assez dégrossi pour permettre une communication dans les deux sens, tout change. Alors c’est à nous autres - et à nous autres seulement - de développer avec eux une communication qui va dans les deux sens. C’est comme si l’Angleterre avait créé le tunnel sous la manche sans la France et que la France devait maintenant se désimpressionner de ça et y envoyer son trafic avec sa pleine prépondérance nationale.
    On doit maintenant déranger l’Angleterre. Le tunnel n’est plus un chantier, on a droit d’y entrer en force et, ce faisant, on se centre et, ce faisant, on devient nous-mêmes un centre de circulation et, ce faisant, on ne voit plus l’Angleterre comme un centre de circulation ou le tunnel comme un centre de circulation. On est l’égal des instances du plan mental mais on doit l’implémenter. On rayonne kif kif seulement si on se donne prépondérance en ce qui a trait à situer le centre de la circulation. Sinon, c’est qu’on est en train de se faire sucer les méninges par l’astral.

    Edwige
    L'initiation solaire fait tomber une à une les barrières de la matrice expérimentale, elle laisse l'ego en état de choc au début. L'esprit, lumière de l'ego, dirige le flash partout où les nettoyages sont indispensables. Se relever de ce choc de transmutation des vielles énergies prend le temps qu'il faut pour éroder cet ego alourdi par des expériences émotionnelles, par des caractères et tempérament acquis au fils des incarnations, impétueux et orgueilleux. Quand l'orgueil et la vanité de la découverte sont "tassé(e)s" la relation se fait en binôme horizontalement et non plus verticalement, sans possibilité de nourrir l'astral.

  • #24

    Edwige (mardi, 10 décembre 2019 11:49)

    4 Josée
    Avec le plan mental, on est en attente d’information de façon plus pernicieuse que sur le plan matériel. Le désir, la curiosité, c’est de la mendicité spirituelle, on tire sur la jupe ‘s’il te plait maman’ mais maman-le-plan-mental est occupée alors on met un couvercle spirituel sur la pulsion et on se ronge un ongle pour pas dire qu’on se ronge un nerf. Comme tu dis, un ego qui est dans sa transparence repère son attitude mendiante et se recentre dans son autorité propre. C’est de là qu’il sait ce qu’il a réellement besoin de savoir et qu’il commande de savoir.

    Edwige
    L'attente d'information vient du désir de l'ego qui ne sera jamais satisfait, car tout vient a lui selon un temps qui sied à la vibration de ses corps subtils qui lui permettent l'intégration a son rythme de ce qu'il a à savoir. Entrer dans son autorité lui fait accomplir la tâche de se mettre à l'ouvrage pour coucher sur papier ce qui descend. Dans le perfectionnement de sa maitrise à comprendre vibratoirement ce qui descend ça lui permet d'écrire compréhensivement ce qu'il écrit télépathiquement.

  • #25

    Edwige (mardi, 10 décembre 2019 11:59)

    5 Josée
    On a droit à nos besoins, ils sont notre chemin. Comprendre est un besoin. En ajustant son ego dans une télépathie mentale, l’homme satisfait son besoin, il le fait par lui-même et de façon assouvissante. Il n’a plus besoin de ressasser la chose par la suite. S’il le fait, il revient en arrière, dans ses jeux d’ombre et de lumière qui ne produisent que du doute.

    Edwige
    Les seuls besoins que nous ayons sur terre sont ceux qui permettent de maintenir en vie, d'une manière cohérente, tous les mécanismes internes biologiques de notre organisme psycho-corporel-énergétique. Pour le chemin que nous avons à parcourir il est certes plus important que les buts des désirs camouflés en besoins…
    La compréhension est une nécessité pour l'ego afin de le sortir de son coma millénaire.
    La télépathie mentale, par le biais de l'écriture consciente, lui permet de jouir de réponses qui vont procurer en lui un état de bien-être énergétique et non égotique. Le reste du temps il se contentera de vaquer à ses occupations terrestres car il s'est incarné pour ses besoins d'expériences matérielles et émotionnelles, fussent-elles le doute et autres, qui vont stocker de l'énergie en vue de sa fusion.

  • #26

    Edwige (mardi, 10 décembre 2019 12:00)

    6 Josée
    L’ego conscient travaille d’arrache-pied pour détricoter l’information mentale et y démanteler le mensonge là où qu’il se terre en effet de miroir de ses propres mensonges. On déloge beaucoup de mensonge en en vomissant un sans le dépolariser complètement ce qui nous fait tomber dans la peur de ce mensonge qui est aussi un mensonge - à régurgiter aussi. Mais tout ce temps-là la vibration s’altère, elle franchit ses seuils et ses étapes. C’est tout naturellement qu’on apportera dans le monde ce qu’on est en train de découvrir maintenant sur le mensonge.

    Edwige
    Tous les mensonges qu'on se fait à soi-même, en s'illusionnant sur soi ou en montrant une image qui n'est pas notre réelle identité… participent à entretenir le mensonge cosmique qui a eu son utilité pour ne pas "déboussoler" un ego involutif en voie d'évolution.
    Parfois nos propres mensonges agissent comme des gardes fous ou des mécanismes de défense quand la lumière est trop éblouissante ou sur le point de nous combustionner sur le champ de la réalité et non de la "vraie vie"…
    Ruminer, vomir, régurgiter, ruminer a nouveau est un travail à temps plein de nettoyage mémoriel et cellulaire, la vibration sort peu à peu des profondeurs astrales. Vouloir apporter au monde ce qu’on est en train de découvrir sur le mensonge c'est mettre des œillères aux mensonges des autres qui sont différents des nôtres, chacun va devoir dealer avec ses propres mensonges qui peuvent ne pas en être pour d'autres.

  • #27

    Edwige (mardi, 10 décembre 2019 12:01)

    7 Josée
    La volonté est un principe, avec ses corollaires, le discernement, le respect, la résilience, la neutralité. La permanence ne peut pas être un principe, il y a toute une série de réarticulations de notre programmation où le repos a sa place pour équilibrer la souffrance. Quand on traverse cette impermanence, on souffre de ce qu’on sait, on s’y attache, on s’y identifie, on veut être reconnu par les autres et puis on vit la polarité inverse, on bute à notre ignorance et à une déception qui nous accable. Heureusement le désir de savoir baisse, remplacé par le besoin de nous protéger. De là, un besoin de permanence se développe, on est saisi du goût de prendre le contrôle de la continuité de la télépathie. On détient les clés du paradis.

    Edwige
    Il n'y a pas d'attribut dans la permanence de notre présence, hormis une lumière qui éclaire l'ego pour lui montrer où se trouve le cap et où se trouve les aires de repos pour la souffrance vibratoire comme sur une autoroute. La présence est toujours là, même sur ces aires de repos, pour alléger les turbulences entre les croyances narcissiques de l'ego qui vit des souffrances psychologiques et le savoir réel dans le mental qui provoque des souffrances vibratoires, évolutives. La dualité souffrances psychologiques et souffrances vibratoires ne peut trouver de trêve que dans l'accomplissement d'un travail de conscientisation d'un lien télépathique indéfectible avec sa source. Prendre le contrôle de ce lien ouvre toutes les portes de possibilités créatives.

  • #28

    Edwige (mardi, 10 décembre 2019 12:01)

    8 Josée
    La vibration, c’est la manipulation, toujours reprogrammée, du plan mental (ou, dit plus spécifiquement, la manipulation de notre contrepartie sur le plan mental, parfois appelée ajusteur de pensée). Mais c’est aussi ce qu’on appelle notre ‘conscience’. C’est notre énergie intégrale de l’instant, avec ses goûts et ses dégoûts qui sont nos besoins réels de l’instant. Même si elle nous tend des pièges, il faut coller dessus sinon elle peut être récupérée par l’astral. Coller à sa vibration signifie rester neutre face à notre programmation. Ça signifie être toujours en conscience par rapport à ces plans-là.

    Edwige
    Sur le plan mental il n'y a pas de domination ni de manipulations de notre contrepartie qui est le MOI cosmique ou jumeau éthérique qui campe dans les univers des esprits universels. L'ajusteur de pensée, appelé plus tard l'esprit personnel, est une énergie sans forme qui contient la lumière et l'étincelles de la source, contenues également dans l'âme. L'âme domine l'égo et l'esprit, l'esprit manipule l'ego. Ces dominations ne sont pas de même nature que les plans astraux, elles sont les outils invisibles de l'ego pour l'aider à se sortir des pièges matriciels et de l'enfer du mensonge cosmique, c'est son ticket gagnant vers la porte énergétique de la conscience du mental supérieur, qui ouvre sur une avenue où on apprend à déjouer tout ce qui fait interférence a notre évolution.

  • #29

    Edwige (mardi, 10 décembre 2019 12:02)

    9 Josée
    Après des débuts si patients qu’on en languissait de doute, l’évolution devient si rapide qu’elle remplit les journées de découvertes. On n’est plus dans la brume existentielle, on est au pays des réponses et autres retours sur l’investissement. Le gros du karma est brûlé.

    Edwige
    L'évolution croissante amène du videngeage astral et du brûlage de karma par la rupture des liens énergétiques avec les mémoires d'expériences passées. Progressivement on ne fabrique plus de karma, on éteint les circuits de sa mémoire.

  • #30

    Edwige (mardi, 10 décembre 2019 12:02)

    10 Josée
    L’esprit arrive sur Terre, en ce monde de chimère, rendu manifeste via la conscientisation vibratoire individuelle des gens sensibles. L’arrivée de l’esprit se révèle dans le secret de leur ego, où il leur dicte la voie de leur survie. C’est si central, si intime que tous ces gens sensibles reconnaissent le réel de ces dictées et permettent que ces dictées de l’esprit les réintègrent au réel. Cesser de tourner en rond comme leur dicte leur âme est difficile mais ressenti comme un remède urgent.
    ENFIN l’avenir verra se renchérir l’une l’autre la sensibilité vibratoire et la diffusion vibratoire de la nouvelle instruction. Les gens sensibles, éveillés à la nature vibratoire de chaque situation où ils se retrouvent, se verront éventuellement dans l’impossibilité totale de ne pas se respecter vibratoirement. Chacun deviendra alors in-capable de se mettre sous le taux vibratoire de qui ou quoi que ce soit au nom d’une forme quelconque enregistrée dans son âme.

    Edwige
    La vibration de l’esprit universel touche chaque ego programmé pour une conscientisation vibratoire dans cette période de fin de cycle. La sensibilité aidant, l'ego se retrouve dans son champ de bataille avec un passé qui s'éloigne et un devenir plus présent et productif au travers des ouvertures que propose l'instruction. Accepter ce qui vibre en nous et dépolariser les conditionnements de bien/mal c'est entrer dans une nouvelle phase de respect de soi. Ça donne l'énergie d'imposer qu'on vous respecte, qu'on cesse de faire intrusion dans votre conscience, de s'écarter de tout ce qui fait chuter le taux vibratoire de nos différents corps physique, subtils, psychiques.

  • #31

    Edwige (mardi, 10 décembre 2019 12:03)

    11 Josée
    L’opposition, c’est une affaire de centricité. L’opposition ressentie par l’ego entre la centricité et le test lui pose un choix : se soumettre (se trahir) ou se respecter. Se respecter exige de se mettre en vibration pour résoudre le test créativement.
    La théorie est simple mais la pratique demande de la maturité, c.a.d. un écœurement d’être victime de quoi que ce soit, grosse malédiction ou petite pensée. Quelle que soit la forme de test présentée par le plan mental, il faut se brasser, échapper à la tentation de se soumettre et mettre à profit l’intelligence universelle en soi. Intégrer l’impression de dualité de l’opposition, c’est se ramener au bon endroit : soi !

    Edwige
    Savoir se mettre en opposition, authentiquement et vibratoirement, est un attribut privilégié du caractère et du tempérament de l'ego qui a appris à se respecter enfin.
    L'ego devenu centrique et transparent par la force de l'équilibre de ses 3 cerveaux rationnel, intuitif, émotionnel deviendra créatif dans n'importe quelle situation, que ce soit de manière subliminale ou volontaire. Se soumettre à d'anciennes victimisations n'a plus de sens, si tant est qu'elles aient pu un jour être évolutives… mise à part cet écœurement qui nous fait bondir vers des contrées plus libres de cette soumissions astrale. L’intelligence universelle nous ramène à objectiver les tenants et les aboutissants de notre cheminement vers notre réel territoire intérieur.

  • #32

    Edwige (mardi, 10 décembre 2019 12:03)

    12 Josée
    Sans centricité, la communication est unilatérale, c’est de la manipulation réussie à nos dépens. Ce qui vient de l’invisible doit être ajusté ici, à nos frais consentis ici sur le plan matériel.

    Edwige
    Un ego qui communique seul avec lui-même ou le plan astral se fait interférer par des intrus qui lui font payer cher l'addition de cette intrusion.

  • #33

    Edwige (mardi, 10 décembre 2019 12:04)

    13 Josée
    C’est notre discernement ici sur Terre qui établit le réel dans le grand sidéral. Notre discernement est un outil indispensable aux circuits universels. Mais pour le développer il faut voir en quoi il nous est indispensable à nous. Nous nous syntonisons avec les circuits universels chaque fois que nous ajustons ce que le mental envoie dans ce canal qui nous traverse, qui constitue notre conscience. Croire va au contraire ajouter de l’opacité au canal. Croire c’est s’attacher au passé.

    Edwige
    Le discernement est le GPS vibratoire d'une perfection absolu qui ne nous perd jamais dans les méandres brumeux du passage de l'inconscience à la conscience. Ce GPS vibratoire va droit au but de son objectif, sans douter, sans hésitation, sans se retourner en arrière.

  • #34

    Edwige (mardi, 10 décembre 2019 12:05)

    14 Josée
    La science de l’émotion, c’est ici qu’elle va être inventée. Notre moulin va tourner, notre rivière va couler. Et tout ce qui court comme énergie dans l’univers va se débloquer un tant soit peu.
    La solitude de l’inconscience est une promiscuité avec les entités astrales. En faisant table rase de ces intrus, on se libère se l’englobement d’un chagrin d’être seul que l’astral avait induit.


    Edwige
    La science de l'énergie de l’émotion existe déjà dans les éthers elle sera étudiée scientifiquement dans la matière. Le sentiment de solitude est une promiscuité avec les entités astrales qui sont réellement seules car déconnectées de leur esprit, c'est elles qui ont du chagrin nous faisant croire que c'est nous qui en avons…

  • #35

    Edwige (mardi, 10 décembre 2019 12:05)

    15 Josée
    Il est tentant de voir le plan mental comme quelque chose d’extérieur à notre personne qu’il faut inclure dans la résolution de nos problèmes et qui par ailleurs nous règle des problèmes vieux comme le monde, mais par surprise - comme un ami qui passe chez vous quand tu n’es pas là et qui sort son doigté d’homme à tout faire pour te réparer 2-3 trucs. Mais cet ordonnancement des choses émane de l’élévation soudaine de notre taux vibratoire qui nous intègre plus avant dans les circuits universels et fait que la puissance passe désormais par nous, le plus souvent par bouffée volontaire de conscience mais parfois aussi juste par notre état vibratoire, à l’insu de l’ego.

    Edwige
    Le plan mental a toujours été là mais inaccessible a notre ego qui avait des expériences matérielles à vivre pour comprendre ce plan mental. L’élévation de notre taux vibratoire est déclenchée par l'éveil progressif de l'énergie de vie dormante, au bas de la colonne vertébrale. Cette énergie intelligente nous connecte aux circuits universels pour rendre notre contact avec eux de plus en plus prolifique. La conscience d'être habité par elle nous rend moins défensif dans le travail vibratoire qui, le plus souvent, se fait à l'insu et en dehors de la volonté de l'ego.

  • #36

    Edwige (mardi, 10 décembre 2019 12:06)

    16 Josée
    Comment ça, ils vont nous prendre en mains ? En tout cas, pour commencer avec ce qui est plus clair, la nature humaine doit être centrée ici, gérée ici, équilibrée par nous-mêmes. Mais cette prise en mains ne correspond qu'avec la phase de l'intégration de la fusion. Quand on se morontialise, on vit une programmation mur à mur, comme le visiteur du musée qui se fait diriger de salle en salle et expliquer les choses par un écouteur dans son oreille. Comme dans l'exemple, on est content quand même parce qu'on va de découverte en découverte.

    Edwige
    Nous sommes seuls aux commandes de notre évolution mais heureusement habités et soutenus par nos instances éthériques qui testent incessamment notre volonté d'aller au bout du processus. On n'en oublie pourtant pas qui nous sommes, ni empêchés de vivre notre programmation matérielle car ces instances ont aussi beaucoup à apprendre de nous par symbiose.

  • #37

    Edwige (mardi, 10 décembre 2019 12:07)

    17 Josée
    Sur la Terre, la personne riche veut continuer à s’enrichir, la vedette veut devenir encore plus populaire, l’intello veut toujours manger de nouveaux livres, mais au niveau vibratoire, plus ta fréquence monte, plus s’estompe ton ancien désir de monter parce que le désir ne survit pas à cette altitude.

    Edwige
    Autrement dit mieux vaut ne pas être riche, populaire et intello… Le détachement de l'ascension sociale et intellectuelle favorise l'élévation des fréquences vibratoires des corps subtils et la chute des vibrations de désirs égotiques qui ne se sentent pas à leur place aux sommets de la gloire.

  • #38

    Edwige (mardi, 10 décembre 2019 12:08)

    18 Josée
    Je me demande si la mécanique éthérique qui produit la capacité de croire ne vient pas de la présence du règne élémental dans l’éther de nos neurones. Car il me semble que, comme les bactéries qui soutiennent le travail de nos intestins, les entités élémentales ont toujours soutenu le travail de notre corps éthérique. Peut-être que leur travail de bas éther plaçait nos neurones sous la vibration astrale où tout est associé par croyance. Le contact avec l’espace outre-astral les fait peut-être changer d’allégeance et cesser de participer à notre capacité à croire.

    Edwige
    La capacité de croire vient de notre naïveté spirituelle, dans les espoirs non fondés d'être une bonne personne avec une âme pure, un ego dévoué, un esprit protecteur. Les entités astrales squattent notre subjectivité, nous trompent et nous mentent sans cesse pour exister par procuration et par dépit de la chiantitude de leur vie dans le plan de la mort. Elles nous vampirisent contrairement à la flore intestinale qui font un réel travail pour la salubrité et l'hygiène de nos transits. Les basses besognes de croyances astrales se font plus facilement dans notre premier cerveau (reptilien ou émotionnel) vieux de 400 millions d'années, encore actif et commun aux animaux assujettissables aux comportements défensifs, réflexifs, pavloviens etc… Il a été trafiqué ou amélioré dans une période appelée "chainon manquant" entre l'apparition chez l'homme du cerveau limbique (65 millions d'années) et le néocortex (4 millions d'années) jusqu'à ce qu'il soit devenu ce qu'il est à ce jour … Le cerveau reptilien est un met de choix, pour les entités astrales car c'est là que sont logées nos mémoires anciennes, on peut supposer que nous en avons un bon stock à ce niveau-là pour des festins orgiaques énergétiques dans cette période cruciale de fin de cycle pour l'humanité.

  • #39

    Edwige (mardi, 10 décembre 2019 12:09)

    19 Josée
    Ça ne goûte pas pareil vibratoirement, de s’écouter parler avec mysticisme et d’être partie prenante de la systématisation consciente et intégrale du moi humain. Mais tant qu’on n’est pas rendu dans cette dernière, on aura seulement une idée sur les deux. Et quand on marche avec seulement une idée psychologique des choses, on ne marche pas avec notre centre de gravité et on glisse de tout côté parce qu’on s’échappe et qu’on est récupéré par mille béquilles.

    Edwige

    "être partie prenante de la systématisation consciente et intégrale du moi humain" est incomptables avec un mix des anciens conditionnements spirituels,
    Avoir une idée de ce que sont les plans spirituels et le plan mental endurci le discernement qui nous sort de la psychologie involutive pour nous faire entrer dans le centre de l'objectivité de l'analyse vibratoire et là pas besoin d'autre support que son mental supérieur.

  • #40

    Edwige (mardi, 10 décembre 2019 12:09)

    20 Josée
    Rien ne pouvait se manifester sur Terre et rester intact d’une récupération par les forces de domination. Tout ce qui fut beau fut enlaidi, tout ce qui fut simple devint compliqué, etc, parce que tout s’enfonçait dans l’artifice mis en place pour optimiser notre dominabilité. Maintenant que l’entropie atteint son comble, il ne dépend plus que de nous, à force de générer sur Terre la volonté et l’intelligence inhérentes au réel, d’exercer nos droits réels et d’assurer notre intégration individuelle au réel.

    Edwige
    Entrer dans le réel de sa véritable nature n'est pas compatible avec un désir soumission et de domination d'où qu'elle vienne, on ne les tolère pas dans son champs d'intelligence et d'autorité intérieure qui nous font assumer et exercer nos droits afin de permettre notre intégration dans ces nouveaux plans de conscience.

  • #41

    Josée (jeudi, 12 décembre 2019 21:43)

    1 Edwige
    L'objectivité du regard et du senti, qu'il soit rationnel, intuitif ou émotionnel touche à de vieilles mémoires, karmiques et/ou spirituelles, dont on a besoin de couper les liens énergétiques qui nous relient à elle/lui, la mémoire ne se détruit pas, les liens énergétiques avec elle oui. Au début du processus on vient en contact avec la lumière de l'ego, comme un boulet de canon, avec toutes ses charges énergétiques de l'involution. Cette lumière va buriner l'ego pour opérer un retour en soi dans un reset progressif sur karmas, formatages et conditionnements divers qui vont nettoyer le passage de la communication télépathique.

    Josée
    La mémoire ne se détruit pas, c’est notre unicité. Par contre les liens énergétiques qu’on a avec notre mémoire, ces liens dits karmiques, doivent être détruits, et ce, à partir de notre centricité. C’est pourquoi dès le début le contact mental met ces liens karmiques en évidence dans une série de face à face relationnels. Il s’agit de face à face avec des personnes avec qui on a des contrats karmiques profonds, qu’elles nous aient été introduites dans notre vie il y a très longtemps, comme une sœur, ou peu longtemps, comme une collègue. Peu importe l’histoire, dans chaque cas, un face à face intense est programmé pour fortement nous « menacer » de nous enfermer dans un très vieux nœud de notre égrégore personnel, et ce, afin de nous pousser à détruire ce noeud. En début le contact mental, ce genre de test est impitoyablement répétitif, il en est exaspérant parce qu’il sort de la zone de confort. mais il débouche sur une aération bienvenue.

  • #42

    Josée (jeudi, 12 décembre 2019 21:43)

    2 Edwige
    Seule permet un travail de l'ego réel et certain à son centre télépathique vers les circuits universels d'où coule le savoir. Tout autre support de communication sera astral, considérant que l'astral a pu aider, parfois, à l'aboutissement de belles et grandes choses expérimentales dans des domaines qui ont servi à faire évoluer l'homme a son stade involutif.

    Josée
    Après que l’ego ait pris contact directement avec la réalité du plan mental, la programmation change de calibre et, vu selon notre sensibilité, met toute la gomme. Car au niveau du senti, tout augmente. Plus que jamais l’ego doit jouer son rôle d’intermédiaire : il doit absolument respecter les corps de l’homme mais garder la barre en même temps. Ce double travail de l'ego devient si impératif que, pour assurer ses priorités il lâche du lest. Il peut lâcher prise d’attitudes superficielles mais tenaces comme par exemple il peut lâcher prise d’une certaine attitude morale et défensive par rapport à la civilisation. Pour poursuivre sur cet exemple, le lâcher prise est immédiat. celle-ci soudain s’avère capable de lui procurer les moyens urgents de gérer sa journée. l’ego n’a plus le goût de s’ériger en bloc contre des formes psychologiques et découvre dans son lâcher-prise de multiples nouvelles facettes de sa créativité.

  • #43

    Josée (jeudi, 12 décembre 2019 21:44)

    3 Edwige
    L'initiation solaire fait tomber une à une les barrières de la matrice expérimentale, elle laisse l'ego en état de choc au début. L'esprit, lumière de l'ego, dirige le flash partout où les nettoyages sont indispensables. Se relever de ce choc de transmutation des vielles énergies prend le temps qu'il faut pour éroder cet ego alourdi par des expériences émotionnelles, par des caractères et tempérament acquis au fils des incarnations, impétueux et orgueilleux. Quand l'orgueil et la vanité de la découverte sont "tassé(e)s" la relation se fait en binôme horizontalement et non plus verticalement, sans possibilité de nourrir l'astral.

    Josée
    Bernard appelle « intégration » le moment précis durant lequel a lieu le passage de la verticalité à l’horizontalité. Fini le temps où l’ego découvrait l’ensemble de la phénoménologie avec son vocabulaire et le manque de contenance typique des débuts. Il a fini d’être joué par l'orgueil et la vanité inhérents à toute découverte : il les a repérés dans sa mécanique. De façon générale, il est rendu au point où il a repéré le fondement de son illusionnement psychologique.
    C’est ainsi qu’il en vient à répérer son ultime adversaire : cette spiritualité si proprement luciférienne qui le maintient toujours au moins partiellement dans l’astral et qui l’empêche de pleinement se posséder, s’horizontaliser en tant que centre, donc en tant qu’égal des magnitudes.
    OK C’est bien beau d’avoir répéré out ça et même identifié son ultime adversaire, cette spiritualité. Mais ça ne sert à rien de réel si l’ego maintenant ne détruit pas son lien avec tout ça. Car « tout ça » place le mental au dessus de lui… alors que le centre de l’action, il est en lui. Logique !

  • #44

    Josée (jeudi, 12 décembre 2019 21:45)

    4 Edwige
    L'attente d'information vient du désir de l'ego qui ne sera jamais satisfait, car tout vient à lui selon un temps qui sied à la vibration de ses corps subtils qui lui permettent l'intégration à son rythme de ce qu'il a à savoir. Entrer dans son autorité lui fait accomplir la tâche de se mettre à l'ouvrage pour coucher sur papier ce qui descend. Dans le perfectionnement de sa maitrise à comprendre vibratoirement ce qui descend ça lui permet d'écrire compréhensivement ce qu'il écrit télépathiquement.

    Josée
    L’ego ne peut pas accéder à des réponses à partir de son inconscience. Il ne peut pas accéder à des réponses à partir de son désir quand même il serait en voie de conscience. L’ego ne peut rien obtenir de la vie si ce n’est que dans le cadre d’une programmation, qu’elle soit karmique, évolutive ou intégrative. Quand la programmation devient intégrative, il peut arriver que l,ego obtienne la chance de faire de l’écriture automatique. Mais l’écriture automatique n’est en fait que de la programmation intégrative noir sur blanc : ceci justifie sa programmation à cet égard, comme quoi il canalise de l’écriture, mais ce n’est pas une chance.
    L’écriture automatique permet à l’ego de ressentir clairement en lui-même un besoin réel qui lui appartient : celui de convertir sa volonté en intelligence. Par l’écriture automatique, l’ego entre dans un surenchérissement mutuel entre sa volonté et son intelligence. Plus il aborde volontairement son inspiration et plus ainsi il s’intègre au plan mental et devient intelligent. Et, à mesure qu’il s’intègre au plan mental, il gagne en capacité de comprendre la nécessité de chaque micro-situation qui lui est programmée en cours d’écriture. Écrire, quelle aventure !

  • #45

    Josée (jeudi, 12 décembre 2019 21:45)

    5 Edwige
    Les seuls besoins que nous ayons sur terre sont ceux qui permettent de maintenir en vie, d'une manière cohérente, tous les mécanismes internes biologiques de notre organisme psycho-corporel-énergétique. Pour le chemin que nous avons à parcourir il est certes plus important que les buts des désirs camouflés en besoins…
    La compréhension est une nécessité pour l'ego afin de le sortir de son coma millénaire.
    La télépathie mentale, par le biais de l'écriture consciente, lui permet de jouir de réponses qui vont procurer en lui un état de bien-être énergétique et non égotique. Le reste du temps il se contentera de vaquer à ses occupations terrestres car il s'est incarné pour ses besoins d'expériences matérielles et émotionnelles, fussent-elles le doute et autres, qui vont stocker de l'énergie en vue de sa fusion.

    Josée
    L’écriture consciente exprime le processus de fusion de façon concrète. Elle sert à faire descendre le taux vibratoire capable de mettre de l’ordre dans nos dossiers terrestres et de finaliser la combustion de notre karma. Elle ne sert plus à stocker de l'énergie en vue d’étapes ultérieures mais à contenir au fil de la plume l’astralité de toute l’énergie préalablement stockée.

  • #46

    Josée (jeudi, 12 décembre 2019 21:46)

    6 Edwige
    Tous les mensonges qu'on se faits à soi-même, en s'illusionnant sur soi ou en montrant une image qui n'est pas notre réelle identité… participent à entretenir le mensonge cosmique qui a eu son utilité pour ne pas "déboussoler" un ego involutif en voie d'évolution.
    Parfois nos propres mensonges agissent comme des gardes fous ou des mécanismes de défense quand la lumière est trop éblouissante ou sur le point de nous combustionner sur le champ de la réalité et non de la "vraie vie"…
    Ruminer, vomir, régurgiter, ruminer à nouveau est un travail à temps plein de nettoyage mémoriel et cellulaire, la vibration sort peu à peu des profondeurs astrales. Vouloir apporter au monde ce qu’on est en train de découvrir sur le mensonge c'est mettre des œillères aux mensonges des autres qui sont différents des nôtres, chacun va devoir dealer avec ses propres mensonges qui peuvent ne pas en être pour d'autres.

    Josée
    On n’a pas à apporter au monde ce qu’on est en train de comprendre sur quoi que ce soit. A force d’évoluer notre simple présence finira par être susceptible de créer des chocs à la ronde. Notre impact sera vibratoire, insoupçonné et accidentel. L’immense population terrestre vit dans le mensonge collectif. Elle ne peut pas prévoir la souffrance collective qui découlera du mensonge. Mais l’immense population terrestre ne prévoit pas non plus qu’elle sera confrontée à des contacts fortuits avec des gens qui seront la preuve de l’existence, en l’homme, du pont entre l’homme et un réel qui a lieu outre-mensonge.

  • #47

    Josée (jeudi, 12 décembre 2019 21:47)

    7 Edwige
    Il n'y a pas d'attribut dans la permanence de notre présence, hormis une lumière qui éclaire l'ego pour lui montrer où se trouve le cap et où se trouvent les aires de repos pour la souffrance vibratoire comme sur une autoroute. La présence est toujours là, même sur ces aires de repos, pour alléger les turbulences entre les croyances narcissiques de l'ego qui vit des souffrances psychologiques et le savoir réel dans le mental qui provoque des souffrances vibratoires, évolutives. La dualité souffrances psychologiques et souffrances vibratoires ne peut trouver de trêve que dans l'accomplissement d'un travail de conscientisation d'un lien télépathique indéfectible avec sa source. Prendre le contrôle de ce lien ouvre toutes les portes de possibilités créatives.

    Josée
    Notre ego a besoin d’aborder sa programmation sous l’angle d‘un destin étalé sur un paramètre fixe appelé le temps. Le temps n’est pas un paramètre mais une bulle individuelle, une programmation individuelle, un programme de maturation individuelle. Le temps est une manufacture, un engrenage constitué de moments nécessaires, indispensables. Le temps est un programme toujours en train d’offrir du nouveau même lorsqu’il semble se répéter. Se conscientiser c’est tirer profit du temps et développer ainsi de la permanence.

  • #48

    Josée (jeudi, 12 décembre 2019 21:47)

    8 Edwige
    Sur le plan mental il n'y a pas de domination ni de manipulations de notre contrepartie qui est le MOI cosmique ou jumeau éthérique qui campe dans les univers des esprits universels. L'ajusteur de pensée, appelé plus tard l'esprit personnel, est une énergie sans forme qui contient la lumière et l'étincelles de la source, contenues également dans l'âme. L'âme domine l'égo et l'esprit, l'esprit manipule l'ego. Ces dominations ne sont pas de même nature que les plans astraux, elles sont les outils invisibles de l'ego pour l'aider à se sortir des pièges matriciels et de l'enfer du mensonge cosmique, c'est son ticket gagnant vers la porte énergétique de la conscience du mental supérieur, qui ouvre sur une avenue où on apprend à déjouer tout ce qui fait interférence a notre évolution.

    Josée
    Le plan mental ne nous manipule pas avec ruse et dans un intérêt comme le fait le plan astral. Le plan mental nous manipule parce qu’il entre dans sa fonction originelle de nous amener jusqu’aux clés du paradis. L’effet de manipulation qu’on ressent lors d’un contact télépathique avec le plan mental est généré par l’égrégore astral résiduel qui le sépare de nous. Pour continuer sur une métaphore très visuelle, la lumière se colore délibérément et nous fait voir notre manipulabilité comme dans un miroir. Mais notre manipulabilité - ou périsprit ou égrégore - est vaste et le rayon le traverse où il le doit selon sa logique fusionnelle qui est chrono-logique. De son côté l’ego, dans la permanence de la continuité du temps, capte la vibration de chaque instant tel qu’il est « coloré ». Or – et c’est là la beauté du plan, l’homme tire profit du temps et de sa vibration et du plan mental dans la mesure où il colle à sa vibration, où il la subit sans la polariser. Si l’ego, dans l’instantanéité de sa vibration, la vibre sans la prendre au sérieux, fût-elle très émotionnelle, il profite de la manipulation du plan mental dans son plus grand intérêt.

  • #49

    Josée (jeudi, 12 décembre 2019 21:48)

    9 Edwige
    L'évolution croissante amène du vidangeage astral et du brûlage de karma par la rupture des liens énergétiques avec les mémoires d'expériences passées. Progressivement on ne fabrique plus de karma, on éteint les circuits de sa mémoire.

    Josée
    Une nouvelle puissance de notre centricité est acquise par notre opposition plus alerte aux tests continuels de notre nouveau contact mental. Ces tests sont plus profonds et plus impitoyables car ils nous placent en position de vibrer notre karma, notre contrat avec les morts, ce nid de couleuvres qu’on a gardé sous le rocher de l’habitude sociale. Pour nettoyer à la grande vadrouille le karma qui nous dégoûte plus que jamais, on est obligé de parfaire notre centricité. On voit s’éteindre les circuits associatifs que la centricité a renvoyés à leur irréalité.

  • #50

    Josée (jeudi, 12 décembre 2019 21:49)

    10 Edwige
    La vibration de l’esprit universel touche chaque ego programmé pour une conscientisation vibratoire dans cette période de fin de cycle. La sensibilité aidant, l'ego se retrouve dans son champ de bataille avec un passé qui s'éloigne et un devenir plus présent et productif au travers des ouvertures que propose l'instruction. Accepter ce qui vibre en nous et dépolariser les conditionnements de bien/mal c'est entrer dans une nouvelle phase de respect de soi. Ça donne l'énergie d'imposer qu'on vous respecte, qu'on cesse de faire intrusion dans votre conscience, de s'écarter de tout ce qui fait chuter le taux vibratoire de nos différents corps physique, subtils, psychiques.

    Josée
    Rester à l’affût de la justesse de notre vibration permet de rompre avec des comportements qu’on voyait à tort comme anodins, alors qu’ils nous aliénaient de notre vibration. Par conséquent ou par l,effet de notre justesse vibratoire, l’erreur, qui est pourtant une composante importante de notre comportement, ne nous tient plus autant sous sa tyrannie. L’ego sensible à la justesse de sa vibration va plus facilement décider de ne pas aller dans l’erreur. Il se protège, il fait moins montre de charité à la ronde, il retient ses excès, etc, et tout ça simplement au nom du respect de sa personne multidimensionnelle.

  • #51

    Josée (vendredi, 13 décembre 2019 19:28)

    11 Edwige
    Savoir se mettre en opposition, authentiquement et vibratoirement, est un attribut privilégié du caractère et du tempérament de l'ego qui a appris à se respecter enfin.
    L'ego devenu centrique et transparent par la force de l'équilibre de ses 3 cerveaux rationnel, intuitif, émotionnel deviendra créatif dans n'importe quelle situation, que ce soit de manière subliminale ou volontaire. Se soumettre à d'anciennes victimisations n'a plus de sens, si tant est qu'elles aient pu un jour être évolutives… mise à part cet écœurement qui nous fait bondir vers des contrées plus libres de cette soumissions astrale. L’intelligence universelle nous ramène à objectiver les tenants et les aboutissants de notre cheminement vers notre réel territoire intérieur.

    Josée
    Il y a une grande communication entre le plan mental et nous, il y a une écoute, une oreille est collée à monitorer notre taux d’intégration de leur longueur d’onde. Cette implication du plan mental fournit chaque situation. Tout est programmé mais nous on devient conscient de la raison d’être liée à chaque situation, qui est toujours la même : l’intégration de leur longueur d’onde. Tout est programmé mais la supériorité tactique du plan mental s’estompe dans notre intégration. D’ailleurs la programmation est graduellement réarticulée en ce sens, par notre autorité – découlant de l’intégration à leur longueur d’onde. Notre journée est programmée mur à mur mais désormais, avec le contact conscient, c’est aussi par la cohérence dont nous participons par l’ordre que nous mettons.
    Nous mettons de l’ordre dans l’égrégore planétaire chaque fois que nous nous opposons à une tentation de nous y soumettre. Ainsi là je me sens soumise au bon usage de la langue française qui veut qu’on dise que nous nous plaisons quand nous nous faisons chier avec ce « nous ». on va mettre notre discernement partout, on va commencer à être intelligent et à écrire les choses qui nous viennent comme elles nous conviennent à nous, dans un laboratoire d’écriture en chantier, en rénovation intégrale , en désinfection ou désinfestation de toutes les petites souris de la soumission - comme par exemple la soumission au « on » ou au « nous ». Écrire n’a pas à invoquer le panthéon de l’académie française – qui en passant ne sont même pas des linguistes. Ce n’est pas facile d’avoir ce discernement quand on est une ancienne secrétaire versée en correction. Il y a des étapes graduées selon nos particularités. L’opposition à toute tentation de nous soumettre vient plus facilement quand on sait que c’est la tentation qui est la raison d’être de chaque situation, cette situation fût-elle une phrase en chantier sur un écran. Comprendre ainsi le cheminement de la journée comme étant programmé et « guidé vers notre réel territoire intérieur » permet de conclure qu’il n’y a plus lieu de s’inquiéter de quoi que ce soit.

  • #52

    Josée (vendredi, 13 décembre 2019 19:29)

    12 Edwige
    Un ego qui communique seul avec lui-même ou le plan astral se fait interférer par des intrus qui lui font payer cher l'addition de cette intrusion.

    Josée
    Avec l’influence de la pensée, on se retrouve ballotté par des vents très forts de l’astral spirituel qui nous emportent comme fétu de paille pour s’emparer de nous entièrement. Sans influence aucune, c’est nous qui nous emparons de nous et tout aussi entièrement le temps d’un éclair mental.
    Se faire emparer de soi c’est comme se faire voler sa carte de crédit. S’emparer de soi c’est comme miser tout son budget dans l’instant sachant que notre budget se restaure en ce faisant.

  • #53

    Josée (vendredi, 13 décembre 2019 19:30)

    13 Edwige
    Le discernement est le GPS vibratoire d'une perfection absolu qui ne nous perd jamais dans les méandres brumeux du passage de l'inconscience à la conscience. Ce GPS vibratoire va droit au but de son objectif, sans douter, sans hésitation, sans se retourner en arrière.

    Josée
    Le discernement est l’émanation de la centricité. Ce rayonnement fusionne les principes d’intelligence et de volonté. On y a droit bien sûr vu qu’il sort de nous, et si on n’en dispose pas c’est parce qu’on hésite, c’est parce qu’on se retourne et qu’on lorgne le passé, dominé par l’âme qui est habituée à revenir sur elle-même.
    Ce qui est étonnant c’est que le but de l’âme est à la fois d’accumuler des expériences et de tourner en rond.

  • #54

    Josée (vendredi, 13 décembre 2019 19:30)

    14 Edwige
    La science de l'énergie de l’émotion existe déjà dans les éthers elle sera étudiée scientifiquement dans la matière. Le sentiment de solitude est une promiscuité avec les entités astrales qui sont réellement seules car déconnectées de leur esprit, c'est elles qui ont du chagrin nous faisant croire que c'est nous qui en avons…

    Josée
    L’homme ressent durant sa vie l’isolement qui accable les âmes défuntes, alors que seules ces dernières sont réellement isolées. Ce n’est que dans la mort que la perception d’être isolée est légitime et sans solution autonome. Les populations mortes recevront l’aide de leur pair humain mais d’un humain qui se sera finalement individualisé et morontialisé à force de justement ne pas aider. L,homme qui se déspiritualisera d’aider à force de se libérer de son réflexe à aider, saura aider sur le plan de la mort.

  • #55

    Josée (vendredi, 13 décembre 2019 19:31)

    15 Edwige
    Le plan mental a toujours été là mais inaccessible à notre ego qui avait des expériences matérielles à vivre pour comprendre ce plan mental. L’élévation de notre taux vibratoire est déclenchée par l'éveil progressif de l'énergie de vie dormante, au bas de la colonne vertébrale. Cette énergie intelligente nous connecte aux circuits universels pour rendre notre contact avec eux de plus en plus prolifique. La conscience d'être habité par elle nous rend moins défensif dans le travail vibratoire qui, le plus souvent, se fait à l'insu et en dehors de la volonté de l'ego.

    Josée
    On saisit mieux certains concepts au moment où il y a de la circulation entre le haut et le bas, et ce qu’on désigne par le haut devient plus clair et défini dans ce processus : c’est le plan du mental. Mais ce qu’on désigne par « le bas » retarde à se faire définir par ce processus. Je salive sur ce mystère et ne me satisfais même pas de mes hypothèses préférées– qui d’ailleurs sont de vagues esquisses sur mon écran visuel embrouillé par ma curiosité intellectuelle, ce désir astral qui résulte en ce que mes questions demeurent astrales et irrésolues. Le mental des cellules est-il présent dans toutes les cellules du système nerveux ? l’âme est-elle présente dans toutes nos cellules au niveau de notre ADN ou juste dans celui de nos neurales ? (cellules du système nerveux =neurales) « le mental des cellules » est-il cette énergie qui dormait et qui s’éveille dans le noyau de la neurale qui perd son périsprit ? etc…

  • #56

    Josée (vendredi, 13 décembre 2019 19:31)

    16 Edwige
    Nous sommes seuls aux commandes de notre évolution mais heureusement habités et soutenus par nos instances éthériques qui testent incessamment notre volonté d'aller au bout du processus. On n'en oublie pourtant pas qui nous sommes, ni empêchés de vivre notre programmation matérielle car ces instances ont aussi beaucoup à apprendre de nous par symbiose.

    Josée
    Une fois désastralisé, on connaîtra la liberté du plan mental. C’est une liberté qui se résume à une parfaite coïncidence entre ce qu’on veut et ce qu’on fait. cette liberté étrangement rayonne de paix et de clarté d’esprit mais sans aucune fantaisie au niveau décisionnel, permettant par contre pleinement la fantaisie au niveau émotionnel dans la mesure oû celle-ci fait partie de ce que nous sommes, de ce que nous avons amené à maturité en tant qu’humain. On n’a pas développé de la fantaisie ou quoi que ce soit d’autre d’émotionnel et de beau tout ce temps-là pour l’annihiler. Lë noyau de l’âme est un trésor de vibrations et on va introduire ce vibrant trésor dans l’univers.

  • #57

    Josée (vendredi, 13 décembre 2019 19:32)

    17 Edwige
    Autrement dit mieux vaut ne pas être riche, populaire et intello… Le détachement de l'ascension sociale et intellectuelle favorise l'élévation des fréquences vibratoires des corps subtils et la chute des vibrations de désirs égotiques qui ne se sentent pas à leur place aux sommets de la gloire.

    Josée
    Il y a de la spiritualité derrière tout désir quel qu’il soit, parce que la spiritualité c’est la soumission à notre pensée. C’est la spiritualité qui est en cause et qui se fait mettre en branle en vue de son évacuation, quand débute la pénétration de l’esprit qu’on appelle l’évolution. On entre alors dans une phase d’exacerbation de notre désir d’être « spirituel » , c.a.d. dans une phase d’exacerbation de notre désir d’aider autrui, de s’élever, de saisir les magnitudes, etc, ce qui crée beaucoup d’opposition.
    Notre désir d’être spirituel mourra quand auront été sevrés les désirs matériels de confort et sécurité matériels incluant le désir de rester dans une matérialité corporelle. Le sevrage et l’extinction des désirs matériels se finaliseront à mesure que s’estompera en nous toute capacité d’avoir peur.

  • #58

    Josée (vendredi, 13 décembre 2019 19:33)

    18 Edwige
    La capacité de croire vient de notre naïveté spirituelle, dans les espoirs non fondés d'être une bonne personne avec une âme pure, un ego dévoué, un esprit protecteur. Les entités astrales squattent notre subjectivité, nous trompent et nous mentent sans cesse pour exister par procuration et par dépit de la chiantitude de leur vie dans le plan de la mort. Elles nous vampirisent contrairement à la flore intestinale qui font un réel travail pour la salubrité et l'hygiène de nos transits. Les basses besognes de croyances astrales se font plus facilement dans notre premier cerveau (reptilien ou émotionnel) vieux de 400 millions d'années, encore actif et commun aux animaux assujettissables aux comportements défensifs, réflexifs, pavloviens etc… Il a été trafiqué ou amélioré dans une période appelée "chainon manquant" entre l'apparition chez l'homme du cerveau limbique (65 millions d'années) et le néocortex (4 millions d'années) jusqu'à ce qu'il soit devenu ce qu'il est à ce jour … Le cerveau reptilien est un met de choix, pour les entités astrales car c'est là que sont logées nos mémoires anciennes, on peut supposer que nous en avons un bon stock à ce niveau-là pour des festins orgiaques énergétiques dans cette période cruciale de fin de cycle pour l'humanité.

    Josée
    L’homme étant unique, il est mis en contact avec une mentalisation sur mesure, incluant des pistes de révélation qui lui sont particulières. Son attention ou ouverture revêt très tôt une direction particulière, qui est déjà une injection dans son parcours d’âme du travail du plan mental (ou plus précisément, de son jumeau sur ce plan : son ajusteur de pensée). Le hasard n’existe pas et rien n’est fortuit dans notre formation, y compris notre exposition à une formation qui diverge de la nötre.
    Ce traitement ciblé de la révélation par le plan mental rajoute au défi de la solitude ainsi qu’aux tests de respect de la divergence. Les mystères destinés à autrui ne peuvent pas être partagés avec nous, ils peuvent être amenés à nos sens mais ne peuvent pas être adoptés vibratoirement par si ce n’est par leur forme si on se met sous la vibration de la personne attitrée à la révélation.
    Si on étudie le phénomène de l’information ou révélation ou réception, on voit qu’il y a un temps. Une maturité précise doit être mise en place au niveau des formes pour la pénétration d’un mystère dans un ego, et ce, que le mystère vienne de l’extérieur ou de l’intérieur. Notre sensibilité vibratoire ne suffit pas pour sauter les étapes évolutives. L’intégration multidimensionnelle d’un mystère est un processus évolutif.
    Mais s’exposer à la révélation d’autrui ou amener sa révélation à autrui ne sont nécessairement des tests. Il y a toujours quelque chose d’intéressant pour notre propre télépathie dans la révélation d,autrui et il y a toujours un plaisir authentique à parler de ce qu’on sait. Ce qui compte c’est de se sentir libre spirituellement et intégré au plan mental, le plan de notre programmation évolutive permanente. S’il y a échange soutenu avec le porteur d’une révélation, il y a un travail mental qui se développe à notre insu sur la neutralisation de toutes les formes qui nous voilent. La divergence ne devient un test que s’il y a un besoin d’intégrer du respect dans la divergence.

  • #59

    Josée (vendredi, 13 décembre 2019 19:33)

    19 Edwige
    "être partie prenante de la systématisation consciente et intégrale du moi humain" est incompatible avec un mix des anciens conditionnements spirituels.
    Avoir une idée de ce que sont les plans spirituels et le plan mental endurci le discernement qui nous sort de la psychologie involutive pour nous faire entrer dans le centre de l'objectivité de l'analyse vibratoire et là pas besoin d'autre support que son mental supérieur.

    Josée
    Tous les aspects de notre évolution se renchérissent. Tous les aspects de notre évolution collaborent de façon organique, par esprit mutuel, tout est uni en coulisses. Le mouvement résultant de cette cohérence est si nouveau pour notre mental que souvent seules des métaphores réussissent à l’exprimer tant il manque de vocables assez justes.

  • #60

    Josée (vendredi, 13 décembre 2019 19:34)

    20 Edwige
    Entrer dans le réel de sa véritable nature n'est pas compatible avec un désir soumission et de domination d'où qu'elle vienne, on ne les tolère pas dans son champs d'intelligence et d'autorité intérieure qui nous font assumer et exercer nos droits afin de permettre notre intégration dans ces nouveaux plans de conscience.

    Josée
    La spiritualité est anti-homme. Elle sait être subliminale elle sait cacher de la domination dans tous les recoins, tous les détours. Notre champ d’autorité a la surface d’une tête d,aiguille, mais quelle aiguille ! C’est maintenant l’aiguille qui cherche dans les bottes de foin, pour déloger le bon dieu qui se cache en petits morceaux partout dans le foin de nos réflexes spirituels. Notre champ d’autorité est plus puissant que n’importe quelle technologie de la matrice. C’est comme tu disais un pur centre d'objectivité pour l'analyse vibratoire des formes contenues dans chaque pensée, parole d’autrui ou événement.

  • #61

    Edwige (samedi, 21 décembre 2019 06:19)

    1 Josée
    La mémoire ne se détruit pas, c’est notre unicité. Par contre les liens énergétiques qu’on a avec notre mémoire, ces liens dits karmiques, doivent être détruits, et ce, à partir de notre centricité. C’est pourquoi dès le début le contact mental met ces liens karmiques en évidence dans une série de face à face relationnels. Il s’agit de face à face avec des personnes avec qui on a des contrats karmiques profonds, qu’elles nous aient été introduites dans notre vie il y a très longtemps, comme une sœur, ou peu longtemps, comme une collègue. Peu importe l’histoire, dans chaque cas, un face à face intense est programmé pour fortement nous « menacer » de nous enfermer dans un très vieux nœud de notre égrégore personnel, et ce, afin de nous pousser à détruire ce noeud. En début le contact mental, ce genre de test est impitoyablement répétitif, il en est exaspérant parce qu’il sort de la zone de confort. mais il débouche sur une aération bienvenue.

    Edwige
    La destruction des liens énergétiques se font par la conscientisation de ces liens, karmiques ou émotionnel, et par la volonté d'en finir avec cette dépendance à la forme. C'est un dur labeur qui chaque jour remet son ouvrage lorsqu'il passe par la porte et revient par la fenêtre. Les mémoires sont nombreuses ce qui les ravives n'ont pas forcément de lien avec l'évènement mais comment cet évènement a été vécu émotionnellement, c'est la charge énergétique polarisée qui est à renverser pour la rendre neutre et inopérationelle lors le prochain évènement.

  • #62

    Edwige (samedi, 21 décembre 2019 06:19)

    2 Josée
    Après que l’ego ait pris contact directement avec la réalité du plan mental, la programmation change de calibre et, vu selon notre sensibilité, met toute la gomme. Car au niveau du senti, tout augmente. Plus que jamais l’ego doit jouer son rôle d’intermédiaire : il doit absolument respecter les corps de l’homme mais garder la barre en même temps. Ce double travail de l'ego devient si impératif que, pour assurer ses priorités il lâche du lest. Il peut lâcher prise d’attitudes superficielles mais tenaces comme par exemple il peut lâcher prise d’une certaine attitude morale et défensive par rapport à la civilisation. Pour poursuivre sur cet exemple, le lâcher prise est immédiat. celle-ci soudain s’avère capable de lui procurer les moyens urgents de gérer sa journée. l’ego n’a plus le goût de s’ériger en bloc contre des formes psychologiques et découvre dans son lâcher-prise de multiples nouvelles facettes de sa créativité.

    Edwige
    L'ego conscient et sensible à une autre réalité éthérique ouvre progressivement son canal télépathique pour communiquer avec les plans. Comme un artichaut il enlève ses feuilles pour atteindre le cœur tendre de sa lucidité. Tout en étant dans le respect de l'évolution d'autrui il suit sa vibration qui est valable pour lui comme pour l'autre, il a dépassé le stade du regard des autres, il vit son programme sans juger ses attitudes et ses comportements qui, s'ils sont conscients, ont leur place dans chaque moment créatif d'une journée vécue dans l'instant présent...

  • #63

    Edwige (samedi, 21 décembre 2019 06:20)

    3 Josée
    Bernard appelle « intégration » le moment précis durant lequel a lieu le passage de la verticalité à l’horizontalité. Fini le temps où l’ego découvrait l’ensemble de la phénoménologie avec son vocabulaire et le manque de contenance typique des débuts. Il a fini d’être joué par l'orgueil et la vanité inhérents à toute découverte : il les a repérés dans sa mécanique. De façon générale, il est rendu au point où il a repéré le fondement de son illusionnement psychologique.
    C’est ainsi qu’il en vient à répérer son ultime adversaire : cette spiritualité si proprement luciférienne qui le maintient toujours au moins partiellement dans l’astral et qui l’empêche de pleinement se posséder, s’horizontaliser en tant que centre, donc en tant qu’égal des magnitudes.
    OK C’est bien beau d’avoir répéré out ça et même identifié son ultime adversaire, cette spiritualité. Mais ça ne sert à rien de réel si l’ego maintenant ne détruit pas son lien avec tout ça. Car « tout ça » place le mental au dessus de lui… alors que le centre de l’action, il est en lui. Logique !

    Edwige
    Oui tout ça reste du spéculatif intellectuel si dans la pratique au quotidien il n'y a pas volonté de transmuter ces énergies astrales mémorielles qui manipulent nos vieux réflexes conditionnés.

  • #64

    Edwige (samedi, 21 décembre 2019 06:21)

    4 Josée
    L’ego ne peut pas accéder à des réponses à partir de son inconscience. Il ne peut pas accéder à des réponses à partir de son désir quand même il serait en voie de conscience. L’ego ne peut rien obtenir de la vie si ce n’est que dans le cadre d’une programmation, qu’elle soit karmique, évolutive ou intégrative. Quand la programmation devient intégrative, il peut arriver que l,ego obtienne la chance de faire de l’écriture automatique. Mais l’écriture automatique n’est en fait que de la programmation intégrative noir sur blanc : ceci justifie sa programmation à cet égard, comme quoi il canalise de l’écriture, mais ce n’est pas une chance.
    L’écriture automatique permet à l’ego de ressentir clairement en lui-même un besoin réel qui lui appartient : celui de convertir sa volonté en intelligence. Par l’écriture automatique, l’ego entre dans un surenchérissement mutuel entre sa volonté et son intelligence. Plus il aborde volontairement son inspiration et plus ainsi il s’intègre au plan mental et devient intelligent. Et, à mesure qu’il s’intègre au plan mental, il gagne en capacité de comprendre la nécessité de chaque micro-situation qui lui est programmée en cours d’écriture. Écrire, quelle aventure !

    Edwige
    Une programmation intégrative pour l'ego le devient pour l'âme aussi qui expérimente une série d'évènements. Ils seront polarisés par l'ego qui vit l'émotion, en dégage l'énergie siphonnée par les plans, ce qui reste est stockée dans le sac animique. Dans cette expérience l'âme et l'énergie de l'esprit ouvrent une brèche qui permet à l'ego de faire l'état de lieux de son évolution. Au travers de l'écriture automatique il assouvit quelques besoins, voire quelques désirs narcissiques, sans comprendre encore que ce qui descend sous sa plume n'est qu'une voie expérimentale. Le chemin vers la communication avec son double télépathique sera long et ardu mais c'est en forgeant qu'on devient forgeron…

  • #65

    Edwige (samedi, 21 décembre 2019)

    5 Josée
    L’écriture consciente exprime le processus de fusion de façon concrète. Elle sert à faire descendre le taux vibratoire capable de mettre de l’ordre dans nos dossiers terrestres et de finaliser la combustion de notre karma. Elle ne sert plus à stocker de l'énergie en vue d’étapes ultérieures mais à contenir au fil de la plume l’astralité de toute l’énergie préalablement stockée.

    Le processus de fusion est une tornade psychique qui bouleverse l'ego dans chaque recoin de son inconscience. Les changements vibratoires tous azimuts des corps subtils l'oblige à regarder à la loupe tous les endroits de sa vie. L'écriture sert d'exutoire au début mais fini par devenir un videngeage dégoulinant de toute l'astralité de ses différents territoires karmiques et mémoriels avec pertes et fracas salvateurs.

  • #66

    Edwige (samedi, 21 décembre 2019 06:24)

    6 Josée
    On n’a pas à apporter au monde ce qu’on est en train de comprendre sur quoi que ce soit. A force d’évoluer notre simple présence finira par être susceptible de créer des chocs à la ronde. Notre impact sera vibratoire, insoupçonné et accidentel. L’immense population terrestre vit dans le mensonge collectif. Elle ne peut pas prévoir la souffrance collective qui découlera du mensonge. Mais l’immense population terrestre ne prévoit pas non plus qu’elle sera confrontée à des contacts fortuits avec des gens qui seront la preuve de l’existence, en l’homme, du pont entre l’homme et un réel qui a lieu outre-mensonge.

    Edwige
    C'est par ses actions concrètes et leurs rayonnements, qui deviennent vibratoires et magnétiques, que l'ego touche les personnes programmées au processus, il devient une personne ressource autrement dit un "passeur". En sortant de ses propres mensonges et de ceux de l'entourage il s'engage vers moins de souffrances qu'il en endure durant son propre processus.

  • #67

    Edwige (samedi, 21 décembre 2019 06:25)

    7 Josée
    Notre ego a besoin d’aborder sa programmation sous l’angle d‘un destin étalé sur un paramètre fixe appelé le temps. Le temps n’est pas un paramètre mais une bulle individuelle, une programmation individuelle, un programme de maturation individuelle. Le temps est une manufacture, un engrenage constitué de moments nécessaires, indispensables. Le temps est un programme toujours en train d’offrir du nouveau même lorsqu’il semble se répéter. Se conscientiser c’est tirer profit du temps et développer ainsi de la permanence.

    Edwige
    Le droit à la télépathie est un droit que l'ego prend par les cornes dans le temps du processus, ce temps affine l'accroissement de la présence du double ad vitam aeternam.

  • #68

    Edwige (samedi, 21 décembre 2019 06:26)

    8 Josée
    Le plan mental ne nous manipule pas avec ruse et dans un intérêt comme le fait le plan astral. Le plan mental nous manipule parce qu’il entre dans sa fonction originelle de nous amener jusqu’aux clés du paradis. L’effet de manipulation qu’on ressent lors d’un contact télépathique avec le plan mental est généré par l’égrégore astral résiduel qui le sépare de nous. Pour continuer sur une métaphore très visuelle, la lumière se colore délibérément et nous fait voir notre manipulabilité comme dans un miroir. Mais notre manipulabilité - ou périsprit ou égrégore - est vaste et le rayon le traverse où il le doit selon sa logique fusionnelle qui est chrono-logique. De son côté l’ego, dans la permanence de la continuité du temps, capte la vibration de chaque instant tel qu’il est « coloré ». Or – et c’est là la beauté du plan, l’homme tire profit du temps et de sa vibration et du plan mental dans la mesure où il colle à sa vibration, où il la subit sans la polariser. Si l’ego, dans l’instantanéité de sa vibration, la vibre sans la prendre au sérieux, fût-elle très émotionnelle, il profite de la manipulation du plan mental dans son plus grand intérêt.

    Edwige
    Toute manipulation est la résultante d'un objectif intéressé. En transmutant le mot manipulation il devient processus, chaque plan à un processus évolutif ou de survie fait de manipulations et de compromis pour arriver au but. L'ego absorbe ou non la vibration qui le touche selon son état d'avancement et son taux vibratoire. Il saura l'intégrer en prenant le recul nécessaire, sans y mettre l'idée du bien ou mal, mais avec un peu d'humour pour se dérider au passage.

  • #69

    Edwige (samedi, 21 décembre 2019 06:27)

    9 Josée
    Une nouvelle puissance de notre centricité est acquise par notre opposition plus alerte aux tests continuels de notre nouveau contact mental. Ces tests sont plus profonds et plus impitoyables car ils nous placent en position de vibrer notre karma, notre contrat avec les morts, ce nid de couleuvres qu’on a gardé sous le rocher de l’habitude sociale. Pour nettoyer à la grande vadrouille le karma qui nous dégoûte plus que jamais, on est obligé de parfaire notre centricité. On voit s’éteindre les circuits associatifs que la centricité a renvoyés à leur irréalité.

    Edwige
    L'ego qui sort de sa stupeur de s'être fait "avoir" sa vie durant, prisonnier d'une matrice mensongère entre le haut et le bas, s'engage dans une guerre tranquille semée de "sacres".
    Il devient habile à rester droit dans ses bottes quand il fait "mouche", mais en alerte permanente car l'habileté des mouches consiste à revenir incessamment. C'est à lui de trouver des moyens plus radicaux pour les sortir de sa vie sans culpabilité.

  • #70

    Edwige (samedi, 21 décembre 2019 06:29)

    10
    Rester à l’affût de la justesse de notre vibration permet de rompre avec des comportements qu’on voyait à tort comme anodins, alors qu’ils nous aliénaient de notre vibration. Par conséquent ou par l,effet de notre justesse vibratoire, l’erreur, qui est pourtant une composante importante de notre comportement, ne nous tient plus autant sous sa tyrannie. L’ego sensible à la justesse de sa vibration va plus facilement décider de ne pas aller dans l’erreur. Il se protège, il fait moins montre de charité à la ronde, il retient ses excès, etc, et tout ça simplement au nom du respect de sa personne multidimensionnelle.

    Edwige
    Tout est dans la vibration, même dans l'aliénation qui n'est que tests pour montrer à l'ego, comme un GPS, où il se trouve dans son chemin. Les essais et les erreurs font partie de ce chemin, l'ego ne décide rien. Il expérimente toute une gamme d'attitudes et de comportements qui génèrent des énergies d'expériences pour l'âme et des énergies d'émotions pour lui. Ces énergies serviront à la complétude de l'ego intégral fusionné avec son jumeau cosmique.

  • #71

    Edwige (samedi, 21 décembre 2019 06:31)

    11 Josée
    Il y a une grande communication entre le plan mental et nous, il y a une écoute, une oreille est collée à monitorer notre taux d’intégration de leur longueur d’onde. Cette implication du plan mental fournit chaque situation. Tout est programmé mais nous on devient conscient de la raison d’être liée à chaque situation, qui est toujours la même : l’intégration de leur longueur d’onde. Tout est programmé mais la supériorité tactique du plan mental s’estompe dans notre intégration. D’ailleurs la programmation est graduellement réarticulée en ce sens, par notre autorité – découlant de l’intégration à leur longueur d’onde. Notre journée est programmée mur à mur mais désormais, avec le contact conscient, c’est aussi par la cohérence dont nous participons par l’ordre que nous mettons.
    Nous mettons de l’ordre dans l’égrégore planétaire chaque fois que nous nous opposons à une tentation de nous y soumettre. Ainsi là je me sens soumise au bon usage de la langue française qui veut qu’on dise que nous nous plaisons quand nous nous faisons chier avec ce « nous ». on va mettre notre discernement partout, on va commencer à être intelligent et à écrire les choses qui nous viennent comme elles nous conviennent à nous, dans un laboratoire d’écriture en chantier, en rénovation intégrale , en désinfection ou désinfestation de toutes les petites souris de la soumission - comme par exemple la soumission au « on » ou au « nous ». Écrire n’a pas à invoquer le panthéon de l’académie française – qui en passant ne sont même pas des linguistes. Ce n’est pas facile d’avoir ce discernement quand on est une ancienne secrétaire versée en correction. Il y a des étapes graduées selon nos particularités. L’opposition à toute tentation de nous soumettre vient plus facilement quand on sait que c’est la tentation qui est la raison d’être de chaque situation, cette situation fût-elle une phrase en chantier sur un écran. Comprendre ainsi le cheminement de la journée comme étant programmé et « guidé vers notre réel territoire intérieur » permet de conclure qu’il n’y a plus lieu de s’inquiéter de quoi que ce soit.

    Edwige
    L'ego parvenu à une communication télépathique fluide avec son jumeau dans l'éther n'a à s'inquiéter de rien, ni à juger ce qui sort de sa plume. La vibration, dépolluée des désirs de l'ego, sera respectée dans la forme et couchée créativement sur papier. Le discernement dans l'emploi des JE, MOI, NOUS, ON, vient lorsque l'ego observe sa participation narcissique en s'attribuant le fruit du travail du double, en se déresponsabilisant de ses attitudes, ou dans des projections personelle, mettant tout le monde dans son panier de crabes imaginaire, croyant que tous lui ressemblent, en méconnaissance de la diversité et de l'unicité des expériences de chaque ego, esprit, double. Un laboratoire quel qu'il soit est, comme tous les laboratoires, fait d'essais et d'erreurs évolutionnaires… Le laboratoire cherche la perfection des rendus d'expériences, peu important les susceptibilités mal camouflées derrières des revendications ou des constats appartenant à la période involutive. Le double ne soumet pas à son autorité, le double tient au respect de l'information qu'il délivre, c'est à dire une information neutre, blanchie de toute intrusion égotique astrale et astrale.

  • #72

    Edwige (samedi, 21 décembre 2019 06:32)

    12 Josée
    Avec l’influence de la pensée, on se retrouve ballotté par des vents très forts de l’astral spirituel qui nous emportent comme fétu de paille pour s’emparer de nous entièrement. Sans influence aucune, c’est nous qui nous emparons de nous et tout aussi entièrement le temps d’un éclair mental.
    Se faire emparer de soi c’est comme se faire voler sa carte de crédit. S’emparer de soi c’est comme miser tout son budget dans l’instant sachant que notre budget se restaure en ce faisant.

    Edwige
    Les pensées involutives astrales sont énergivores, prendre les rennes de sa vie est sous le contrôle et la volonté ferme de l'ego à se dégager de ce vampirisme.

  • #73

    Edwige (samedi, 21 décembre 2019 06:33)

    13 Josée
    Le discernement est l’émanation de la centricité. Ce rayonnement fusionne les principes d’intelligence et de volonté. On y a droit bien sûr vu qu’il sort de nous, et si on n’en dispose pas c’est parce qu’on hésite, c’est parce qu’on se retourne et qu’on lorgne le passé, dominé par l’âme qui est habituée à revenir sur elle-même.
    Ce qui est étonnant c’est que le but de l’âme est à la fois d’accumuler des expériences et de tourner en rond.

    Edwige
    Le discernement est un attribut qui se développe peu à peu dans l'intégration de l'intelligence.
    Il y a la volonté de filer droit devant soi, sans retour au passé, et la volonté de mater l'âme pour l'empêcher de jouer au derviche tourneur.

  • #74

    Edwige (samedi, 21 décembre 2019 06:34)

    14 Josée
    L’homme ressent durant sa vie l’isolement qui accable les âmes défuntes, alors que seules ces dernières sont réellement isolées. Ce n’est que dans la mort que la perception d’être isolée est légitime et sans solution autonome. Les populations mortes recevront l’aide de leur pair humain mais d’un humain qui se sera finalement individualisé et morontialisé à force de justement ne pas aider. L,homme qui se déspiritualisera d’aider à force de se libérer de son réflexe à aider, saura aider sur le plan de la mort.

    Edwige
    Ce qui fut valable dans le passé par les conditionnements strictement émotifs, devient obsolète quand l'ego a compris que les défunts dans leur monde sont anti-hommes, jaloux et pourvoyeurs de tous immondices terrestre. Il y a des egos dans l'isolement de leurs griffes autant que des âmes qui ne trouvent pas refuge dans leur lieu d'origine. Pourquoi continuer avec des concepts spirituels d'aide à autrui ?... Le monde astral changera lorsqu'il se prendra en main comme le monde terrien qui fait bouger les lois en manifestant, aider le plan de la mort se fait par le rayonnement de l'action des vivants.

  • #75

    Edwige (samedi, 21 décembre 2019 06:35)

    15 Josée
    On saisit mieux certains concepts au moment où il y a de la circulation entre le haut et le bas, et ce qu’on désigne par le haut devient plus clair et défini dans ce processus : c’est le plan du mental. Mais ce qu’on désigne par « le bas » retarde à se faire définir par ce processus. Je salive sur ce mystère et ne me satisfais même pas de mes hypothèses préférées– qui d’ailleurs sont de vagues esquisses sur mon écran visuel embrouillé par ma curiosité intellectuelle, ce désir astral qui résulte en ce que mes questions demeurent astrales et irrésolues. Le mental des cellules est-il présent dans toutes les cellules du système nerveux ? l’âme est-elle présente dans toutes nos cellules au niveau de notre ADN ou juste dans celui de nos neurales ? (cellules du système nerveux =neurales) « le mental des cellules » est-il cette énergie qui dormait et qui s’éveille dans le noyau de la neurale qui perd son périsprit ? etc…

    Edwige
    Le contact télépathique du plan mental au plan universel amène des réponses avant que la question ne soit posée. Il n'y a pas de mystère juste des réponses que l'on n'entend pas, une absence de curiosité ou que le temps n'est pas venu à l'ego de tout savoir sur tout… pour évoluer, dans un premier temps, il n'a pas besoin de s'encombrer de tout savoir, d'autant que sans mémoire il ne se rappelle jamais de rien, même de ce qu'il a écrit juste avant.

  • #76

    Edwige (samedi, 21 décembre 2019 06:37)

    16 Josée
    Une fois désastralisé, on connaîtra la liberté du plan mental. C’est une liberté qui se résume à une parfaite coïncidence entre ce qu’on veut et ce qu’on fait. cette liberté étrangement rayonne de paix et de clarté d’esprit mais sans aucune fantaisie au niveau décisionnel, permettant par contre pleinement la fantaisie au niveau émotionnel dans la mesure oû celle-ci fait partie de ce que nous sommes, de ce que nous avons amené à maturité en tant qu’humain. On n’a pas développé de la fantaisie ou quoi que ce soit d’autre d’émotionnel et de beau tout ce temps-là pour l’annihiler. Lë noyau de l’âme est un trésor de vibrations et on va introduire ce vibrant trésor dans l’univers.

    Edwige
    La liberté du mental vient en son temps avec la matérialisation de l'ego éthérique qui utilise ses potentiels de volonté pour matérialiser également se pensées. Il n'a ni âme ni ego pour désirer quoi que ce soit, il subvient à des besoins ajustés à ceux de l'homme nouveau.

  • #77

    Edwige (samedi, 21 décembre 2019 06:38)

    17 Josée
    Il y a de la spiritualité derrière tout désir quel qu’il soit, parce que la spiritualité c’est la soumission à notre pensée. C’est la spiritualité qui est en cause et qui se fait mettre en branle en vue de son évacuation, quand débute la pénétration de l’esprit qu’on appelle l’évolution. On entre alors dans une phase d’exacerbation de notre désir d’être « spirituel » , c.a.d. dans une phase d’exacerbation de notre désir d’aider autrui, de s’élever, de saisir les magnitudes, etc, ce qui crée beaucoup d’opposition.
    Notre désir d’être spirituel mourra quand auront été sevrés les désirs matériels de confort et sécurité matériels incluant le désir de rester dans une matérialité corporelle. Le sevrage et l’extinction des désirs matériels se finaliseront à mesure que s’estompera en nous toute capacité d’avoir peur.

    Edwige
    La spiritualité est un conditionnement à la perversion de la pensée humaine qui change de camps par l'allumage du projecteur de la lumière de l'esprit sur l'ego qui se réveille. Les oppositions avec les anciennes croyances sur soi et autrui démolissent l'image synthétisée et propre sur soi, jusqu'au sevrage de tout désirs de valorisation au dépend d'autrui pour la seule satisfaction de l'ego insécure.

  • #78

    Edwige (samedi, 21 décembre 2019 06:42)

    18 Josée
    L’homme étant unique, il est mis en contact avec une mentalisation sur mesure, incluant des pistes de révélation qui lui sont particulières. Son attention ou ouverture revêt très tôt une direction particulière, qui est déjà une injection dans son parcours d’âme du travail du plan mental (ou plus précisément, de son jumeau sur ce plan : son ajusteur de pensée). Le hasard n’existe pas et rien n’est fortuit dans notre formation, y compris notre exposition à une formation qui diverge de la nötre.
    Ce traitement ciblé de la révélation par le plan mental rajoute au défi de la solitude ainsi qu’aux tests de respect de la divergence. Les mystères destinés à autrui ne peuvent pas être partagés avec nous, ils peuvent être amenés à nos sens mais ne peuvent pas être adoptés vibratoirement par si ce n’est par leur forme si on se met sous la vibration de la personne attitrée à la révélation.
    Si on étudie le phénomène de l’information ou révélation ou réception, on voit qu’il y a un temps. Une maturité précise doit être mise en place au niveau des formes pour la pénétration d’un mystère dans un ego, et ce, que le mystère vienne de l’extérieur ou de l’intérieur. Notre sensibilité vibratoire ne suffit pas pour sauter les étapes évolutives. L’intégration multidimensionnelle d’un mystère est un processus évolutif.
    Mais s’exposer à la révélation d’autrui ou amener sa révélation à autrui ne sont nécessairement des tests. Il y a toujours quelque chose d’intéressant pour notre propre télépathie dans la révélation d,autrui et il y a toujours un plaisir authentique à parler de ce qu’on sait. Ce qui compte c’est de se sentir libre spirituellement et intégré au plan mental, le plan de notre programmation évolutive permanente. S’il y a échange soutenu avec le porteur d’une révélation, il y a un travail mental qui se développe à notre insu sur la neutralisation de toutes les formes qui nous voilent. La divergence ne devient un test que s’il y a un besoin d’intégrer du respect dans la divergence.

    Edwige
    Le jumeau éthérique est la contrepartie du Moi terrestre et vice versa ; l'ego matériel est la contrepartie du MOI cosmique. La formation de cet ego, aussi utile soit-elle dans son expérience passée sur terre, n'a aucun intérêt pour son mental, elle est trop colorées par les mémoires anciennes qui ont véhiculé et calqué ces formations.
    Le double affine une partie de la formation désastralisée contenue dans le mental. Il n'y a aucun mystère pour l'ego intelligent qui a appris à dépolariser, identifier objectivement et à désacraliser absolument tout. A ce stade l'info est amenée vibratoirement tel quel pour que l'intelligence d'autrui en comprenne le sens, sans rien croire, ni se sentir dévalorisé, au contraire se disant "ç'est ça" ou "ça je le savais", ou "ça tombe sous le sens de ma vision" etc… Dans cet aspect des choses recevoir ou révéler quelque chose n'est pas une forme détournée de tests ou de divergence, au contraire c'est une matière proposée pour un échange plus élaboré sur les plan mental/universel.

  • #79

    Edwige (samedi, 21 décembre 2019 06:43)

    19 Josée
    Tous les aspects de notre évolution se renchérissent. Tous les aspects de notre évolution collaborent de façon organique, par esprit mutuel, tout est uni en coulisses. Le mouvement résultant de cette cohérence est si nouveau pour notre mental que souvent seules des métaphores réussissent à l’exprimer tant il manque de vocables assez justes.

    Edwige
    Les échanges génératifs et respectueux en bas permettent une collaboration irréprochable du haut, dès l'instant que les buts réciproques du haut et du bas sont nourrissants et productifs en créativité originales. Les mots sont des prisons, "ce qui se conçoit bien s'énonce clairement", cette clarté est dans la vibration du fond du discours et non dans la forme du discours.

  • #80

    Edwige (samedi, 21 décembre 2019 06:44)

    20 Josée
    La spiritualité est anti-homme. Elle sait être subliminale elle sait cacher de la domination dans tous les recoins, tous les détours. Notre champ d’autorité a la surface d’une tête d,aiguille, mais quelle aiguille ! C’est maintenant l’aiguille qui cherche dans les bottes de foin, pour déloger le bon dieu qui se cache en petits morceaux partout dans le foin de nos réflexes spirituels. Notre champ d’autorité est plus puissant que n’importe quelle technologie de la matrice. C’est comme tu disais un pur centre d'objectivité pour l'analyse vibratoire des formes contenues dans chaque pensée, parole d’autrui ou événement.

    Edwige
    Le monde de la mort est anti homme, le haut astral ne cherche pas la libération de l'homme il l'assujetti à des croyances qui le détourne de son centre de gravité identitaire. En entrant dans son autorité intérieure il use et abuse de son droit à la télépathie avec discernement pour sortir de cette matrice.